Blasphème

obligés de fuir dans la forêt. A la fin il finit quand même par mourir sous les flammes. Une scène ma marqué, c’est la scène du pauvre. Quand Don Juan propose à un mendiant qui fait la quête contre une prière de lui donner un Louis d’or Contre un blasphème. Il insiste longuement et fortement mais le pauvre résiste. A la fin il lui donne quand même le Louis d’or car il a quand même une part d’humanisme.  2) Observation du cadre. Le public était placé devant la scène il n’avait pas vraiment

Juan, qui s'enfuit en échangeant ses vêtements avec Sganarelle. Acte III : Sganarelle et Dom Juan discutent de leurs croyances, et le valet reproche son impiété à son maître. Ils rencontrent un pauvre que le libertin entreprend en vain de faire blasphémer. Dom Juan secourt un inconnu attaqué par des voleurs. C'est l'un des frères d'Elvire qui n'a jamais vu Dom Juan. Son frère, Dom Alsonse, paraît, reconnaît Dom Juan et veut le tuer, mais Dom Carlos s'y oppose au nom de l'honneur. Dom Juan aperçoit

• L’histoire : Dom Juan, noble espagnol, multiplie de manière effrontée les conquêtes. Après avoir abandonné Elvire tout juste épousée, il se prépare à courtiser Charlotte, tout en faisant la cour à Mathurine. Non content de défier la morale, il blasphème. Cependant, le voilà bientôt rattrapé par ses créanciers, par les frères d’Elvire et surtout par la statue d’un commandeur, qu’il a tué jadis, et qui vient l’inviter à un repas funèbre avant de le précipiter dans les flammes de l’Enfer. • Une

théocratie ? Oui, car le mode de vie des Genevois a été complètement modifié, ils ont été surveillés de près (interdiction des habits de couleurs, des cheveux frisés, des jeux de cartes, de la danse et du théâtre + langage très surveillé, pas de blasphème ou de vulgarité). En ce sens, c’est presque un régime totalitaire, le Consistoire a le droit de savoir et de vérifier les pratiques et les pensées des fidèles. Non, car contrairement à l’Iran actuel et à l’Afghanistan, le Consistoire ne prend

mon point de vue, l’artiste a choisi de montrer la beauté extrême et envoutante de la déesse grâce aux couleurs, à la lumière et aux traits de Vénus doux et lisses qui nous mettent en confiance. A cette époque, ce tableau était considéré comme un blasphème, une scène païenne, en effet, dans la religion chrétienne jusque-là, seules les pècheresses comme Eve chassée du Paradis apparaissent nues dans les œuvres d’art. Ainsi, Botticelli brave les tabous de son époque afin de rentrer dans le vif du sujet

rois de la terre se sont livrés à l'impudicité, et c'est du vin de son impudicité que les habitants de la terre se sont enivrés. 17.3 Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. 17.4 Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or, remplie d'abominations et des impuretés de sa prostitution. 17

l’attention du lecteur - L’auteur impose une rythmique à son réquisitoire en utilisant l’anaphore rhétorique aux vers 2 et 3, 4 et 5, 24 et 25 et enfin 30 et 31 : « Maudit comme le vice où l’on s’abâtardit, Maudit comme l’opprobre et comme le blasphème ! » L'anaphore est donc la figure de style dominante de ce texte, on peut penser qu'elle renforce le discours de Victor Hugo, elle lui donne plus d'énergie et de conviction. - Champs lexicaux de l'enfance, du travail, de façon à montrer que ces

Dieu, un Dieu noir, heureusement pour moi, je comprends Dieu mieux que vous ; Dieu est énergie, il est créateur et ne peut ressembler à ces créatures, il n’a donc pas des couleurs de peau, il n’a pas de race ! Je n’oserais pas commettre le même blasphème que vous ! Allez-vous faire voir avec votre Dieu blanc que vous ne cessez de nous représenter ! Pour moi, ce n’est pas Dieu ! Même, jésus était un Africain sa mère aussi. Saint Augustin le savait mais il a été coopté!

particulier religieux et à devenir un libre penseur affranchi de l’éthique religieuse et de l’obscurantisme. Vis-à-vis de la religion, Dom Juan la remet en cause à plusieurs reprises comme dans l’acte III, scène 2 lorsqu’il pousse le Pauvre au blasphème : « je m’en vais te donner un louis d’or tout à l’heure, pourvu que tu veilles jurer. » Il tourne également le dos à la religion car il préfère penser par lui-même et croire seulement les choses concrètes : « Je crois que deux et deux sont quatre

attributs réservés d'habitude au Sauveur. Certes ; comme Mario Praz l'a illustré, le culte du satanisme est monnaie courante dans le romantisme européen. Mais le poème de Baudelaire offre des accents si émouvante que l'apparence de parodie, ou de blasphème, semble se dénoncer à son tour et laisser entrevoir l'idée, plus étrange, d'une parenté mystérieuse entre Satan et Dieu. Le choix de ce poème ce porte vraiment sur, comme je l'avais dit précédemment sur «  l'éloge de l'Ange et de la Révolte avec