Blessures Morales Et Physiques

de son fils attriste énormément Mme Raquin . Les deux amants vivent très mal le meurtre qu'ils ont organisé. En effet, Thérèse a des insomnies, et Laurent est extrêmement angoissé , au point de voir le spectre de Camille partout. En outre, sa blessure au cou ne disparaît pas et lui rappelle sans cesse son crime. Quelques temps après le deuil de Camille, Laurent obtient la main de Thérèse. Mme Raquin ne s'oppose pas a cette union mais n'est pas ravie pour autant. Mme Raquin devient paralytique

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Otto Dix : La guerre, un message pacifiste. Retable d'Isenheim, Matthias Grünewald, 1512/1516 les souffrances physiques et morales par OTTO DIX + livre p.34 Biographie Otto Dix est un peintre allemand né en 1891 et mort en 1969. Dix s'engage volontairement dans la première guerre mondiale et combat dans les tranchées de l'Artois et de la Champagne ( front français) et sur le front russe. Il déclare dans un entretien en 1961 : « C'est que la guerre est quelque chose de bestial : la faim,

des Français et les banques pour arriver à leur vendre des monuments aux morts qui n’existent pas. Mais cette manipulation parviendra-t-elle à subvenir aux besoins des jeunes hommes ? Et comment réussiront-ils à passer au-dessus de leurs blessures morales et physiques ? Quand Pierre Lemaître nous met en scène ces héros et une histoire bouleversante, nous ne pouvons qu’être comblés. Le suspens, la plume, le vocabulaire précis, les images que nous nous faisons des personnages… : tout est là. Dans

éloge du temps, force de guérison 1. La morale de la fable mise en exergue - Le lecteur sait dès le début du texte ce qui va se passer : morale (vers 1 à 15) = antéposé. - L'histoire débute par le vers 16 : "Jeune beauté" = jeune et belle : toutes les raisons réunies pour retrouver une autre vie (notamment sentimentale). - Au contraire de la veuve elle-même, le lecteur sait comment l'histoire va finir. Ignorance de la veuve due au chagrin ? - Morale répétitive -> insiste sur le fait qu'après

professeur de philosophie, la souffrance humaine refléterait l’état global d’un individu étant en désaccord avec son milieu ambiant, ce dernier incluant son propre corps. Ce désaccord peut se manifester dans le milieu physique de l’individu mais aussi dans son environnement psychique, moral ou social. Pour Roger Troisfontaines, la souffrance humaine est donc un état émotionnel aversif (qui provoque un mouvement affectif de rejet) concomitant à la prise de conscience de désordre. Désordre, prise de conscience

d’énervement. Violence : usage de la force pour contraindre autrui, conséquences extrêmes, tentative délibérée de provoquer une blessure psycho ou physique sérieuse => agression extrême. OMS : « Menace ou utilisation intentionnelle de la force physique ou du pouvoir contre soi-mm, autrui ou un groupe ou communauté qui entraine un décès, des dommages physique, un mal-dvp, ou des privations. » L’agression est un comportement social tjrs orienté vers qqn d’autre (sur soi-mm = violence).

C’est la force déréglée qui porte atteinte à l’intégrité physique ou psychique pour mettre en cause dans un but de domination ou de destruction l’humanité de l’individu4. La violence est ainsi souvent opposée à la force, celle-ci faisant un usage contrôlé, légitime et mesuré de celle-là, qui ne connaît pas de limites et tend vers la destruction totale. Le sens commun définit la violence5 comme une action brutale – physique ou morale – envers quelqu’un. Elle a comme synonyme  « agression ».

de la sonde, et du préjudice moral occasionné par l’annonce de la défectuosité de la sonde qui pouvait entrainer des lésions graves ou provoquer la mort, crainte dissipée qu’à l’explantation de la sonde. Malgré que l’arrêt n’eut pas été publié au bulletin, il semble tout de même poser des questions de grandes importances, doit-on indemniser une victime ayant accepté de subir un dommage en prévision d’un risque plus important ? Et doit-on réparer le préjudice moral engendré par la crainte de la

magasin. Cet extrait a une valeur documentaire qui cherche a apitoyer le lecteur. En effet, Zola peint le tableau de toutes les misères qui accablent les jeunes vendeuses du commerce. Pour ainsi faire, il décrit d'abord "les terribles fatigues" physiques qu' "elle eut à surmonter". Zola insiste sur le poids des paquets qui "lui cassaient les bras" au point qu' "elle criait la nuit en se retournant, courbaturée, les épaules meurtries". Ces hyperboles accentuent la pesanteur des caisses et la souffrance