Blâme Sur La Paresse

«Ignorant comme une carpe» (page 83) ; - «le grand chasseur aimable comme un sanglier» (page 85) ; - «elle l’empâtait de mets choisis comme un bichon de marquise» (page 86) - «elle le métamorphosait en une sorte d’idole japonaise» (page 86) ; - « parés comme des châsses » (page 88) ; - « Il est des mots qui, semblables aux trompettes, aux cymbales, à la grosse caisse des saltimbanques, attirent toujours le public » (page 89) ; - « le poète se trouve alors comme un ange essayant de chanter un hymne

activée et mobilisée dans des interactions répétées. Introduire une dimension culturelle dans l’approche des institutions implique d’éviter l’écueil de l’essentialisme, par lequel on risquerait d’attribuer certains traits à une population souvent par paresse empirique et on risquerait de faire de ces caractéristiques le facteur d’explication de différences constatées ou présumées entre les différentes sociétés, ce qui rejoint la recherche de caractère nationaux en fait, qui correspondent à des sens communs

le levain de la malice et de la corruption, mais avec les pains sans levain de la sincérité et de la vérité. S. Paul vient de parler de deux fautes, celle du chrétien coupable de fornication et celle des Corinthiens qui toléraient son crime; il blâme maintenant l’une et l’autre: d’abord la faute de ceux qui toléraient le crime de fornication, ensuite celle du fornicateur luimême, à ces mots (VI, 13): "Mais le corps n’est point pour la fornication." Sur la première de ces fautes, l’Apôtre reprend

orgueil (orgueilleux - orgueilleuse) : Sentiment élevé de fierté, de dignité, d'honneur personnel. Synonyme: amour-propre. • cacher sa souffrance par orgueil. - paresse (paresseux - paresseuse) : Répugnance à l'effort physique ou intellectuel, au travail et à toute action pénible. Synonyme: fainéantise. • Un enfant d'une grande paresse. - pédanterie (pédant - pédante) : Affectation prétentieuse propre au pédant ou à ce qui est pédant. [Remarque d'usage: souvent péjoratif]. Synonyme: pédantisme

jours, reprit Mme de Bonnivet, qu'il n'y a de certain que les monuments. -- Oui, pour l'histoire des Romains et des Grecs, gens riches qui eurent des monuments; mais les bibliothèques renferment des milliers de manuscrits sur le moyen âge, et c'est paresse toute pure chez nos prétendus savants si nous n'en profitons pas. -- Mais ces manuscrits sont écrits en si mauvais latin, reprit Mme de Bonnivet. -- Peu intelligible peut-être pour nos savants, mais pas si mauvais. Vous seriez fort contente des lettres

proie à de grands projets, oppressé par de vastes pensées, ou rassemblant sa respiration pour prendre son élan. La gorge se ferme, pour ainsi dire. Le palais est desséché par une soif qu'il serait infiniment doux de satisfaire, si les délices de la paresse n'étaient pas plus agréables et ne s'opposaient pas au moindre dérangement du corps. Des soupirs rauques et profonds s'échappent de votre poitrine, comme si votre ancien corps ne pouvait pas supporter les désirs et l'activité de votre âme nouvelle

«Ignorant comme une carpe» (page 83) ; - «le grand chasseur aimable comme un sanglier» (page 85) ; - «elle l’empâtait de mets choisis comme un bichon de marquise» (page 86) - «elle le métamorphosait en une sorte d’idole japonaise» (page 86) ; - « parés comme des châsses » (page 88) ; - « Il est des mots qui, semblables aux trompettes, aux cymbales, à la grosse caisse des saltimbanques, attirent toujours le public » (page 89) ; - « le poète se trouve alors comme un ange essayant de chanter un hymne

d’après la fortune. Ils établissent aussi la liste des sénateurs, ils ont le pouvoir de rayer des listes tout citoyen indigne, même un sénateur indigne. Ils doivent censurer les mœurs publiques et privées. Ils peuvent décerner un blâme à un citoyen pour l’acheter, pour paresse dans l’accomplissement de ses devoirs. L’individu censuré est frappé d’ignominie. Tous les 5 ans, les censeurs font des adjudications. Ils y mettent certains impôts, les fournitures militaires, les travaux publics, ils rédigent

«Ignorant comme une carpe» (page 83) ; - «le grand chasseur aimable comme un sanglier» (page 85) ; - «elle l’empâtait de mets choisis comme un bichon de marquise» (page 86) - «elle le métamorphosait en une sorte d’idole japonaise» (page 86) ; - « parés comme des châsses » (page 88) ; - « Il est des mots qui, semblables aux trompettes, aux cymbales, à la grosse caisse des saltimbanques, attirent toujours le public » (page 89) ; - « le poète se trouve alors comme un ange essayant de chanter un hymne

38), vice (v. 41) => portrait-charge de l’homme avec lequel Alceste est en procès (v. 23), et par là même de toute la société. Partie II. Un réquisitoire contre le genre humain 1er § : Alceste dénonce l’hypocrisie des hommes, question 7. 2e § : blâme du genre humain à travers le « franc scélérat » (v. 23) avec lequel il est en procès, question 5. 3e § : Alceste = représentant d’une morale trop absolue, mais susceptible d’émouvoir le spectateur : « de mortelles blessures, / De voir qu’avec le vice