Bnf Les Lumieres

Q DÉDICACE É À Mes Parents M. MBA Jean Et Mme WANGOU Julienne, ©MBA NDE Boris, Élève Ingénieur d’Application de la Statistique, 4ème année. Page iQ REMERCIEMENTS É Ce document a été rendu possible grâce à l’apport de plusieurs personnes que je tiens à remercier. Il s’agit de : Dr. Francial Giscard Baudin LIBENGUE DOBELE-KPOKA, Directeur Géné- ral de l’ISSEA et Chef du projet OPAC-AC, pour avoir été bienveillant d’accepter notre demande de stage et l’intérêt porter à notre égard pour le projet OPAC-AC

des bibliothèques Remerciements Marie-Noëlle Laroux, chargée de communication et de valorisation, SCD Lyon 2 Claude Berne, ancienne chargée de communication, SCD Lyon 1 Isabelle Copin, responsable de la coordination des services à distance de la BnF Caroline Gayral, directrice du SCD Lyon 2 Anna Toll, responsable du service marketing à l'Openbare Bibliotheek Amsterdam Alain Caraco, directeur du SCD de l'université de Savoie David Georges-Picard, responsable de l'action culturelle, des relations

élément du projet l'un après l'autre et en concentrant sur chaque phase toutes les ressources disponibles, on multiplie les chances de succès. Une telle démarche ne saurait donc nous échapper, car elle permet de planifier chaque nouvelle phase à la lumière de l'expérience acquise lors du déroulement de la phase précédente . 2 - Etat des lieux 2.1- Analyse de l’existant L’analyse de l’existant marque la première étape du travail. Elle se veut une photographie du fonctionnement actuel de la bibliothèque

il faut les aimer. Érasme, Lettre à Guillaume, duc de Clèves, 1529. 1. Selon Érasme, comment l’éducateur doit-il s’y prendre pour intéresser les enfants ? 2. Comparer sa méthode à celle des maîtres traditionnels, représentée doc. 4. 4 BNF, Paris. 6 Rabelais, Gargantua (1534). 1. Qu’est-ce que la règle d’une abbaye ? 2. Comment Gargantua justifie-t-il la règle qu’il établit pour l’abbaye de Thélème ? ■ Ce n’est pas parce que les humanistes s’intéressent à l’homme qu’ils

Poitiers Reims 525 505 spécifique + 790 m2 100 197 700 653 2175 2650 (salle de recherche fonds patrimoniaux) 3 000 400 375 591 170 m2 : salle de conférences 15 m2 : espaces malvoyants 120 m2 : maison du MoyenÂge (pôle associé BnF) 271 m : auditorium de 200 places 2 120 120 2e site Rennes Toulouse Troyes (% accueil commun NEC) 513 328 118 620 1129 835 2319 3000 3269 961 1 368 2e site (fonds ancien scénographié) 1 259 2 490 900 159 m2 (% de la

M. Dimanche : Emmanuel Guillon Charlotte: Sylvie Moussier Dom Louis: Jean-Marie Villégier Collaboration artistique : Jonathan Duverger Assistant à la mise en scène : Jean-Charles Di Zazzo Décor : Jean-Marie Abplanalp Costumes : Patrice Cauchetier Lumières : Cyrille Chabert Maquillages : Suzanne Pisteur Coiffures : Daniel Blanc Scène et Public – Pierre Beffeyte présente une coproduction de L’Apostrophe, Scène Nationale de Cergy-Pontoise ; du Théâtre de l’Ouest Parisien Boulogne-Billancourt ; du Théâtre

Denis Diderot 1 Denis Diderot Denis Diderot Diderot par Louis-Michel van Loo, 1767. Activité(s) Écrivain, philosophe, encyclopédiste Naissance 5 octobre 1713 Langres Décès 30 juillet 1784 Paris Langue d'écriture Mouvement(s) français Lumières Denis Diderot, né le 5 octobre[1] 1713 à Langres et mort le 31 juillet 1784 à Paris, est un écrivain, philosophe et encyclopédiste français. Diderot marque par sa culture, son esprit critique, sa puissance de travail et un certain génie. Il laisse

Peinture En peinture, Jan Van Eyck (1390-1441) invente la peinture à l’huile. Elle donne un meilleur rendu des couleurs et des textures (éclat et brillance). Elle autorise aussi une superposition de fines couches transparentes qui donne un effet de lumière et d’ombre. Elle sera introduite en Italie et les peintres de Venise, au début du XVIe siècle, vont remplacer le panneau de bois par une toile tendue sur un cadre : le tableau moderne est né. Léonard de Vinci (1452-1519) incarne le parfait idéal de

un chemin sinueux et une rivière qu'enjambe un pont de pierre. On peut remarquer une cassure de la ligne d'horizon. La tête de La Joconde sépare le tableau en deux parties dans lesquelles l'horizon ne se trouve pas au même niveau. La source de lumière provient essentiellement de la gauche du tableau. L'œuvre jouissait déjà d'une grande considération à la Renaissance. Voici ce qu'en dit Giorgio Vasari dans son ouvrage de 1550 : « Celui qui désiroit se convaincre jusqu'à quel point l'art peut

où la brise du printemps promenait un parfum de pétrole et de schiste mêlé à une autre odeur moins agréable encore. 1 Enfin, on avait traversé la Seine une seconde fois, et, sur le pont, ç’avait été un ravissement. La rivière éclatait de lumière ; une buée s’en élevait, pompée par le soleil, et l’on éprouvait une quiétude douce , un rafraîchissement bienfaisant à respirer enfin un air plus pur qui n’avait point balayé la fumée noire des usines ou les miasmes des dépotoirs. 5