Bodin Et Malestroit

l’agriculture qu’à l’industrie. J. BODIN, économie politique (1615), reprend la plupart des idées des arbitristes espagnols en prêtant une attention plus particulière à la population. « Il ne faut jamais craindre qu’il n’y ait trop de sujets, trop de citoyens, il n’y a de richesse, de force que d’hommes ». A. de MONTCHRETIEN, De la République (1576), Discours sur les causes de l’extrême cherté qui est aujourd’hui en France (1574), Réponse au paradoxe de monnaie de Malestroit touchant l’enchérissement de

amorce alors l'idée de la future théorie quantitative de la monnaie. L'analyse économique de l'époque est essentiellement mercantiliste, selon cette théorie, chaque pays se doit d'accumuler de l'or et d'exporter pour devenir prospère. Jean de Malestroit et Jean Bodin sont connus pour leurs réflexions sur le rôle de la monnaie. [modifier]Selon la doctrine des effets réels Cette école considère que toute monnaie est représentative d'actifs, qui ne sont pas nécessairement que l'or ou l'argent-métal comme

monnaie en circulation. Cette théorie à été développée par différents auteurs dans différents pays. Le précurseur de cette approche est Malestroit (1566) dont l’idée émise proclame le non renchérissement des marchandises, car celui qui est dû a la dépréciation de la valeur de compte par rapport au métal précieux. Il a été suivi deux ans après en 1568 par J. Bodin, défendant une idée différente et confirmant l’effectivité du renchérissement. Celui-ci argumente que l’afflux d’or et d’argent venant

Jean Bodin sopose à Jean de Malestroit sur la cose de la hausse d prix en France. La réponse de MALESTROITS il di ke c 1 illusion il niapa de hausse de prix. Il ya 1 dégradation d kalité d moné par lé trafic et en réalité certe lé prix on ogmenté mé la kantité de métal précieu napa ogmenté. Tous repose sur la kalité de la moné. C 1 d 1er penseurs à fer la différence entre lé valeur nominal (elle varie sil el ogmenete acose d mutation monétaire ) et réel ki elle reste constante. Jean Bodin C 1 espri

produit une augmentation de la quantité de monnaie en circulation dans l’économie.Jean Bodin, rédige en 1558 les Réponses aux paradoxes de M. de Malestroit, un rapport portant sur les causes de la cherté du blé à Paris. Pour la première fois fois, figure l’énoncé de la théorie quantitative de la monnaie. Le parlement de Paris avait demandé à M. de Malestroit un rapport sur les causes de l’inflation. Malestroit avançait deux réponses : * une cause réelle, les déséquilibres entre l’offre et la demande

AUTEURS ET OUVRAGES ESSENTIELS Alain BEITONE et Christine DOLLO I. LES MERCANTILISTES : * Thomas GRESHAM (1519-1579) "La mauvaise monnaie chasse la bonne" * Jean BODIN (1530-1596) "Il n'est de richesse ni de force que d'hommes" 1568 Réponses aux paradoxes de M. de Malestroit touchant l'enchérissement de toutes choses * Antoine de MONTCHRESTIEN (1576-1621) « Tout ce qui est étranger nous corrompt » 1616 Traité de l'économie politique Néo-mercantilistes

avec de l’or et de l’argent, cela à consister à une incitation à l’investissement. 2) Jean Bodin et la théorie quantitative de la monnaie. En France, Jean Bodin (mercantiliste), en 1568 écrit un livre « Réponse au paradoxe de Monsieur Malestroit touchant le fait des monnaies et l’enrichissement de toute chose ». On a une controverse : c’est tenter de comprendre le mouvement ascendant des prix en France. Malestroit donne comme réponse « Il y a une hausse des prix en France à cause des manipulations monétaires

Mobilisation de la main d’œuvre y compris les oisifs. Section 2- La controverse entre Malestroit et Bodin. Chose intellectuel entre les 2. Afflux de métaux précieux en Europe => hausse masse monétaire en Fr, hausse des prix. 1466 : Charles IX, roi de FR = se pose la question de la hausse des prix. Malestroit = membre de la chambre des comptes très proche du pouvoir central. Rapport en 2 parties de Malestroit 1ère partie : Aucun prix n’a augmenter en terme de poids d’or et d’argent. On

en a le moins. En France, un débat fait rage entre Malestroit et Bodin. Le premier explique que l’augmentation des prix n’est qu’apparente car elle est due à des mutations monétaires. Tous les Etats font une distinction entre la monnaie réelle et la monnaie de compte. Le rapport entre ces 2 monnaies est fixé par le souverain. Il peut donc réguler soit en diminuant, soit en augmentant la valeur de monnaie réelle en monnaie de compte. Jean Bodin réfute cette théorie car selon lui, les prix ont augmenté

l’auteur est d’en revenir à un système d’étalon or. Al-Maqrîzî propose une première expression de la théorie quantitative de la monnaie en reliant les prix à la circulation monétaire, faisant de lui un lointain précurseur de Jean Bodin, et même de Monsieur de Malestroit. Son analyse va même beaucoup plus loin, puisqu’il s’intéresse également aux effets de l’inflation : inégalités sociales et régression économique. Avant lui, Ibn Taymiya pointait aussi du doigt la désorganisation du commerce liée