Boileau Engagé

à des personnages hors du commun et/ou confrontés à des aventures originales. Selon la conception classique les personnages sont alors rarement des « petits, des obscurs, des sans grades ». « Des héros de roman fuyez les petitesses », conseille Boileau dans son Art Poétique. Les personnages se démarquent du quotidien par leurs actions extrêmes et leurs traits de caractère marqués : ainsi dans La Princesse de Clèves, l'héroïne une femme d'une beauté sans pareille qui, comme son nom l'indique, fait

acteurs … car montre que théâtre permet de dévoiler la vérité, c’est un lieu de magie qui ouvre sur le réel. Classicisme : deuxième moitié du XVIIème Richelieu : Mécénat, Académie française, Mesure, esthétisme, honnête homme et l’Art Poétique de Boileau : Règle des 3 unités (Qu’en 1 jour,qu’en 1 lieu,1 seul fait accompli/Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli) + Présentat° act° ds 1er acte (Que dès les 1ers vers, l’act° préparée / Sans peine du sujet aplanisse l’entrée) + Vraisemblance (Jamais

se dérouler une journée soit 24 heures, elle doit se dérouler dans un seul lieu et en gardant le même décor, elle en doit traiter que d'une seule intrigue, donc temps, lieu, action. Ces trois règles sont mis en place par Aristote dans La Poétique. Boileau les résume en vers dans L'Art Poétique en 1674, '"Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli, Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli." Il existe d'autres règles, dont les règles de la vraisemblance dont les valeurs fondamentales sont l'ordre

du XIXème siècle. C’est seulement avec Conan Doyle qu’émerge la première figure de détective vraiment scientifique. A l’inverse de Sherlock Holmes, personnage de pur enquêteur, sans émotions ni arrièreplan familial, ses contemporains français sont engagés dans le jeu des passions, des idéologies et des morales de leur époque. Ainsi, Gaston Leroux doit sa célébrité à un récit de chambre close où le détective Rouletabille conduit ses investigations jusqu’à la résolution de son destin oedipien...Quant

Racine, Corneille) qui les jugentdifféremment. 2°/ Après lui Cette seconde partie du poème débute avec fracas : c'est l'arrivée tonitruante du poète : « Alors,brigand, je viens » au vers 20. On peut établir un parallèle avec un des poèmes de Boileau, qui dans sonArt poétique, mentionne « Enfin, Malherbes vint ». Ce dernier va « discipliner » la création littéraire(par réaction aux excès du baroque). La situation poétique étant devenue intenable, V. Hugo arrive pour y remédier. A partir de

reçois. Je sais trop que je dois au bien de votre empire, Et le sang qui m'anime, et l'air que je respire: Et quand je les perdrai pour un si digne objet, Je ferai seulement le devoir d'un sujet. DON FERNAND Tous ceux que ce devoir à mon service engage Ne s'en acquittent pas avec même courage; Et lorsque la valeur ne va point dans l'excès, Elle ne produit point de si rares succès. Souffre donc qu'on te loue, et de cette victoire Apprends-moi plus au long la véritable histoire. DON RODRIGUE

forme que dans son contenu. Ainsi, quelle est la nature du poème et quels sont les formes et traits qui font d’un poème un poème ? On voit bien ici que l’on met en jeu les normes poétiques et littéraires et l’acte particulier, la parole particulière engagés dans le poème. C’est non seulement la nature du poème qu’il faut alors déterminer, mais ses caractéristiques formelles classiques et enfin ses enjeux. En effet, se demander ce qu’est un poème entraîne la question de la spécificité du message et de

Agamemnon représente pour elle non seulement le père aimé, mais encore le roi qu´elle honore infiniment. En pensant aux autres, elle n´est pas égoïste et n´a pas peur de la mort, elle accepte son sort, elle ne plaint que de ses proches qui sont engagés, Achille et sa mère. Bien que Ériphile ne soit pas toujours fidèle vis-à-vis de sa maîtresse et quoiqu´elle (Ériphile) la trahisse, celle-ci lui pardonne et même au moment où Eriphille avoue son amour pour Achille. Clytemnèstre, femme d´Agamemnon

.............................................. 102 »Les femmes savantes« und das Ideal der unpreziösen »honnêteté« ............ 109 »Le Malade imaginaire« als Ärztesatire ........................................................... 116 Nicolas Boileau, der bürgerlichste Repräsentant der Hochklassik ...123 Madame de Sévigné..........................................................................134 Der Lebensweg einer Adeligen...................................................................

Henriette d'épouser Clitandre. La fin de l’acte offre un rebondissement de l’action. Acte IV Scène 1 : Armande informe Philaminte de ce qu'a fait Chrysale. Scène 2 : Clitandre survenant, elle s'offre à lui, sans ambages. Scène 3 : Trissotin arrive et engage une dispute avec Clitandre. Scène 4 : Vadius reçoit un billet l'informant que Trissotin est un plagiaire et un coureur de dot. Mais Philaminte ne veut pas croire ces calomnies. Scène 5 : Chrysale fait chercher le notaire afin de marier Henriette à