Bois-le-Duc

Les époux arnolfini INTRODUCTION Le Tableau Les époux Arnolfini est un tableau peint en 1434 par le peintre Jan Van Eyck (1390-1441).C’est une peinture a l’huile réalisé sur bois de 82 cm sur 60 cm. il s’agit d’un double portrait représentant une scène de la vie d’un couple flamand a la Renaissance en Hollande. Ce tableau est conservé au National Gallery de Londres Le Contexte ANALYSE Le Tableau est représenté dans une pièce avec un lit à baldaquin a droite, un fauteuil au fond, une commode a gauche

magazines, chaque détail avait un rôle dans la narration de la scène. Il use aussi de la caricature pour accentuer le caractère comique de certaines situations.  B) La composition : 1° plan: On peut voir une petite fille assise sur un tabouret en bois, elle a un magazine sur les genoux où il y a le visage d’une star Hollywoodienne des années 1950, Jane Russel. A ses pieds un peigne, une brosse, un rouge à lèvres et une boite de fard. La fille est coiffée d’un chignon et porte une robe blanche.

tactiques, s'ajoute un atout logistique capital : |Pour ravitailler le secteur, il ne reste plus qu’un chemin de fer à | |les Allemands bénéficient d'un important réseau de communications (7|voie étroite (le Chemin de fer meusien) reliant Bar-le-Duc à Verdun,| |voies ferrées normales ainsi que la proximité du formidable camp |la prise de Saint-Mihiel par les Allemands en 1914 coupant | |retranché de Metz) alors que du côté français on ne peut utiliser |définitivement la ligne de

Bataille de Cyrano de Bergerac avec le singe de Brioché sur le Pont-Neuf. En 1653, à bout de ressources, il accepte la protection du duc d'Arpajon, qui l'aide à publier l'année suivante chez Charles de Sercy ses Œuvres diverses et La Mort d'Agrippine10. Cyrano est blessé, en 1654, par la chute d’une poutre en bois alors qu’il entrait dans la maison de son protecteur, le duc d’Arpajon. On ignore s’il s’agit d’une tentative délibérée contre sa vie ou simplement d’un accident, de même qu’il est impossible

122) ; il anticipe l’aveu, verbal, direct, au duc de Nemours qui sera en même temps un adieu lors de leur dernière rencontre pp.178- 185. Entre temps cette scène aura été redoublée p.175 : la PC découvre que Nemours l’épie, à Paris, depuis les fenêtres du marchand de soieries ; là aussi il voit son « jardin » symbole d’intimité, en même temps que sa façade (donc ses fenêtres) ; en se promenant dans un bois des faubourgs, elle surprend ensuite le duc

fidèlement que Marc lui donna en récompense la belle Blanchefleur, sa sœur, que le roi Rivalen aimait d’un merveilleux amour. Il la prit à femme au moutier de Tintagel. Mais à peine l’eut-il épousée, la nouvelle lui vint que son ancien ennemi, le duc Morgan, s’étant abattu sur le Loonnois, ruinait ses bourgs, ses camps, ses villes. Rivalen équipa ses nefs hâtivement et emporta Blanchefleur, qui se trouvait grosse, vers sa terre lointaine. Il atterrit devant son château de Kanoël, confia la reine

Guillaume de Poitiers et quelques vies de saints. Le passage de l’Historia ecclesiastice que nous allons étudier a été publié pour la première fois par l’historien François Guizot en 1825, et a été traduit en français par Louis Du Bois, un érudit normand. Louis Du Bois l’a renommée en Histoire de la Normandie. Cet extrait raconte la cérémonie du couronnement d’une manière générale. Le deuxième texte est quand à lui plus porté sur le serment du sacre de Guillaume par l’archevêque Ealdred. Il

Quand épouses−tu le duc ? .... Ce coup de pointe était si direct, mon regard si bien affronté avec le sien, et sa main si doucement posée dans la mienne, que son tressaillement, si léger qu'il fût, ne put être entièrement dissimulé ; son regard fléchit sous le mien, une faible rougeur nuança ses joues : − Le duc ! Que voulez−vous dire ? répondit−elle en feignant un profond étonnement. − Je sais tout, repris−je ; et, dans mon opinion, vous ne devez plus tarder : il est riche, il est duc ; mais il est plus

​ A la ​ mort de ce dernier en 1425 il est appelé par le Duc de Bourgogne, Philippe le Bon​ , qui en fait son peintre officiel et lui assure une confortable rente à vie. Parlons de l’œuvre : La Vierge du chancelier Rolin ou Vierge d'Autun est un tableau peint par Van Eyck pour​ Nicolas Rolin​ ​ ,​ chancelier​ du duc de Bourgogne. Il est conservé depuis 1805 au​ musée du Louvre​ ​ .​ Le tableau est un ex-voto​ ,a​ tempera ​ et huile sur bois de 66 cm de haut et 62 cm de large, et fut initialement présenté

de Henri II appelée la reine dauphine nièces des de Guise Roi de Navarre  : excelle dans la guerre Duc de Guise  : soutien de de Navarre possède de grandes qualités Cardinal de Lorraine  : frère du duc de Guise ambition démesurée esprit vif défend la religion catholique frère du chevalier de Guise Duc de Nevers  : vie glorieuse par la guerre Prince de Clèves  : fils de Nevers brave magnifique