Bois sacré

de la lune et du soleil et le triangle de celles de la montagne ou des arbres aux cimes pointées vers le ciel. Seul le carré ne semble pas né de l'observation de la nature et apparaît alors comme une création de l'homme afin de délimiter l'enclos sacré, la parcelle de terrain. Aussi, le motif central de chaque peinture rituelle est celui du carré, le "cauk"(ou caukat), au centre duquel l'on trouve "Palaghata", la déesse mère, symbole de fécondité et de fertilité. Il est important de noter que les

démesure, folie. Notre thème propose une réflexion sur la frontière particulièrement ténue entre le monde de la fête religieuse et celui de la fête profane ou, mieux encore, païenne à travers le carnaval. La fête peut inverser les rapports du sacré au profane. Il faut dire que carnaval est la manifestation païenne la plus fêtée dans le monde chrétien, si bien qu’il contraint l’Eglise à accepter les ripailles, les réjouissances de toutes sortes, les farandoles, la mascarade qui parodie

humaines. Elle nous plonge dans le monde du “sacré” où règne une justice terrible et inviolable. Son célèbre personnage, Antigone, n’hésite pas en effet à contrer le roi Créon (représentant le droit terrestre), qui refuse au frère de celle-ci une digne sépulture. Antigone invoque le droit sacré d’enterrer les morts, et désobéit. Mais le respect du “sacré” n’implique pas forcément la religion. Bien sûr, donner une sépulture aux morts est un droit et un devoir « sacré » au sens où le salut « éternel » (si

Temple, les lieux sacrés sont fermés par une porte. Le passage dans ces lieux ne peut se faire que par certaines personnes habilitées à y pénétrer. La porte elle-même du Temple marque la séparation entre le domaine profane et le domaine sacré. Ce passage d’un état à un autre peut être dans certaines cultures l’occasion de fêtes à caractères religieux. Dans l’Ancienne Rome, c’était le Dieu Janus (porte d’entrée en latin se dit Janua), qui avait pour mission de surveiller

quartier à l’autre, ou d’une zone géographique à l’autre (du profane au sacré, ou inversement). Ce passage s’accompagne de rites, puisqu’on passe d’un milieu à un autre. Il faut des «formalités » matérielles, pour entrer par exemple dans une zone sacrée, ou dans un édifice sacré. La porte est la limite entre le monde étranger et le monde domestique s’il s’agit d’une habitation ordinaire ; entre le monde profane et le monde sacré s’il s’agit d’un temple. « Passer le seuil » signifie s’agréger à un monde

d'Apprenti. Elle sert au Maître à tracer des plans et à dessiner des projets. Le rituel le met en relations avec le Volume de la Loi Sacrée, premier meuble de l'atelier : La planche à tracer sert au Maître à tracer des plans et à dessiner des projets afin de permettre aux Frères de construire le futur édifice avec régularité et exactitude. De même le Livre de la Loi Sacrée peut à juste titre être nommé la planche à tracer spirituelle du Grand Architecte de l'Univers. Sur cette planche à tracer sont

sans prévenir.  CL Infidélité: « infidélité » l.35, « injure », « lâche », Intrigue amoureuse, abandon, infidélité. « perfidie »  CL Amour : « son cœur » l.17, « chastes feux », « d’amour », « vœux »…  Référence à la religion : « obstacle sacré du couvent » l.54, « seins nœuds du mariage », « ne croit ni ciel, ni saints, ni dieu » l.64 AXE II. Présentation des personnages principaux 1. Dom Juan  Ses origines sociales : « un homme de sa qualité », Tragédie ? « Dom », « mon maître »

aux autres grandes religions, l'hindouisme n'a pas de fondateur. Elle n'a pas un livre sacré mais plusieurs. On estime que l'hindouisme est apparu environ 2000 avant J.C. avec l'arrivée des peuples indo-européens, dans le nord de l'Inde. Il faut noter que l'hindouisme ne s'est pas toujours exprimé sous sa forme actuelle et qu'il a beaucoup évolué. Les historiens appellent védisme et brahmanisme les principales expressions des cultes liés aux Védas tels qu'ils existèrent

plusieurs dieu. Ce n'est pas la croyance en un seul dieu qui définit la religion. =>C'est le sens du SACRE qui définit la Religion. Exemples : Rudolf Otto : Le sacré Mincea Eliade : Le sacré et le profane. Roger Caillois : l'Homme et le sacré. Vient du mot lation sancio : rendre qqch d'inviolable. Donne également le mot Sanction. R.Otto= Sentiment du Mysterium tremendum. Ambivalence du sacré:1) Fascination, 2) Répulsion. => La Religion par rapport à la société, Le rapport de l'homme à la

remplir les obligations . Cet hommage est le signe du dévouement. Comme on est au XI ème, les fiefs sont héréditaires & à chaque changement de vassaux , le nouveau vassal doit prêter serment & un nouvel hommage. A cet occasion, lorsqu'un nouveau Roi est sacré, normalement, les grands personnages du royaume doivent lui prêter un nouvel hommage. Il se trouve qu'en pratique, à chaque fois qu'un nouveau monarque monte sur le trône, ces hommages ne sont pas systématique. Pourquoi? Parce qu'ils considèrent