Bon sauvage

comment Montaigne décrit-il les sauvages ? Pour répondre à cette question, on regardera les cannibales d’un point de vue purement ethnographique. Puis on étudiera la mise en place de l’image positive du bon sauvage. I. Une description ethnographique A. Caractère didactique de l’extrait B. Description précise des mœurs des indiens C. Mise en place de la notion de relativité II. La mise en place du mythe du bon sauvage A. L’éloge de la vie sauvage (naturelle) B. Description

pas, indiquant par-là que les idées valent par elles-mêmes, que le contexte soit réel ou fictif ! >cf. l’apologue si à la mode à l’époque. Pour le lecteur de l’époque, il est évident que Diderot s’inscrit dans la lignée des créateurs du mythe du bon sauvage, mais détournant la valeur de témoignage que prenaient les discours rapportés par un Montaigne dans des Cannibales et des Coches. Son porte-parole devient son propre porte-parole à la manière de ceux de Voltaire dans ses contes.

théâtre Double allitération au début, Jeune Ingénu qui marque l’insistance Paradoxe : la prison est le lieu où se développent les capacités de l'Ingénu L'Ingénu n'a pas été influencé par l'éducation => individu plein de bon sens face au texte ; il représente Le Bon Sauvage « La dernière scène m'a beaucoup ému » : concession de la part de l'Ingénu L'Ingénu est modeste et reconnaît qu'il peut se tromper => précautions oratoires de Voltaire. L’ingénu est pur. L'ingénu déclame (il récite des vers)

=> éducation réflexion sur la nature 4 Les thème essentiels des lumières la tolérance et la raison => nature nourricière + tolérance de l'homme et la femme étude des civilisation lointaine (égalité judiciaire) bonheur naturel ( mythe du bon sauvage) conclusion raison savoir => transmet l'encyclopédie valorisation Denis Diderot et l'encyclopédie Denis Diderot, le chahuteur de Langres il refuse la carrière ecclésiastique ( à être prête) Manque d'argent mène une vie de Bohème => presque

dans la jungle et est confronté à un peuple sauvage. Tout commence comme une histoire d’amour qui n’est en fait qu’une vision aveuglement optimiste de Candide du monde qui l’entoure. Alors que l’on croit lire un récit d’amour et d’aventures dans le début du chapitre, on en lit une parodie avec la présence des singes, des femmes qui vivent nues de façon sauvage. Ce chapitre est l’occasion pour Voltaire de présenter une réfutation du mythe du bon sauvage de Rousseau. Voltaire entend que seul le progrès

bénéfices. 14) Les nouvelles parties du monde qui sont explorées sont : - Le détroit de Bering, découvert par Vitus Bering en 1741. - Le détroit de la Perousse découvert par Jean François de la Perousse entre 1785 et 1788. 15) Le mythe du bon sauvage, qui s’est constitué suite à la découverte de l’Amérique, est l’idéalisation des hommes vivant en contact étroit avec la nature. Il répond, entre autres, à la quête de nouvelles valeurs du XVIIIème siècle ainsi qu’à son fougueux débat opposant

Autoportrait moral mélioratif « Ainsi j’avais la timidité de mon âge celle d’un naturel très aimant, très troublé par la crainte de déplaire. » à Rousseau était mal à l’aise en société et timide, pour lui la timidité est une grande qualité (mythe du bon sauvage). Opposition avec Voltaire - « J’arrive enfin ; je vois Madame de Warens » puis rupture avec le « je » narrant « Cette époque de ma vie a décidé de mon caractère (…) » à description de lui-même, portait moral Conclusion : Grâce à la mise

croire que l’état de nature à réellement existé dans le passé. L’état de nature n’est pas une époque historique. L'homme à l'état de nature n'est pas l'homme de Cromagnon! L’homme à l’état de nature n’est pas le « bon sauvage » de Bernardin de Saint-Pierre. Le bon sauvage, si sauvage soit-il est déjà un être social et un être moral. Il n’a jamais été question pour Rousseau de prôner un retour à l’état de nature, et ce pour deux raisons : la première est que cela n’aurait pas de sens de retourner

la nature ici nous comprenons alors que Diderot défend le mythe du bon sauvage .D'autre part le vieillard met en évidence la simplicité de la vie tahitienne, en effet le tahitien est heureux puisque ses besoins primaires sont toujours comblés (lorsque que nous avons faims nous avons de quoi manger) ,de plus la ligne 3 fait échos avec les lignes 29 a 34 :nous sommes heureux ligne 3 puisque tous ce que est nécessaire et bon nous le possédons Diderot révèle également une autre facette de cette

confiance dans son génie et dans ses progrès. Les contacts de plus en plus étroits avec d'autres civilisations ont pu susciter, il est vrai, quelques doutes quant au bien-fondé des valeurs occidentales et à leur supériorité. Mais si le mythe du bon sauvage a séduit certains d'entre eux (on pense à Rousseau et au Diderot du Supplément au voyage de Bougainville_), la plupart des philosophes du siècle sont animés par la conviction qu'un "amour de l'ordre anime en secret le genre humain" (Voltaire, Essai