Bonapartisme

L’HISTOIRE CONSTITUTIONNELLE ET LES PREMICES DE LA Vème REPUBLIQUE » I – Documents présentés : ► Extraits de la Constitution de 1791, page 2 ► Sieyès, Ecrits politiques, Edition des archives contemporaines, 1985 (voir séance n°1) ► Ch. Bidegaray, « Bonapartisme », in O. Duhamel, Y. Meny, Dictionnaire Constitutionnel, P.U.F., 1992, page 3 ► P. Albertini, Le droit de dissolution et les systèmes constitutionnels français, P.U.F., 1978, page 4 ► J. Grevy, Intervention lors du débat sur le statut du Président

directe est assuré ? I/ La démocratie direct : idéal révolutionnaire utopique. a) La négation est la virtualité du référendum dans les const révolutionnaires (1793 ET 1791) b) Le détournement à des fins autoritaires 1789 1802 1804 = donc le bonapartisme II/Le référendum dans la Const de 58 a) La réhabilitation du référendum par de Gaulle Référendum de 62 Celui de 61 Celui de 62 Celui de 69 Le peuple participe réellement au enjeu de la nation ou instrumentaliser pour détourner les blocages

marqué par sa défaite à Sedan qui a fait perdre à la France l’Alsace-Lorraine. Conclusion : Qu’est-ce qui fait échouer la République ? * L’analphabétisme politique (importance de l’éducation de la conscience politique des masses alors que le bonapartisme s’appuyait sur la docilité des masses.) * Un pouvoir exécutif neutralisé par le pouvoir législatif. La République a fait du suffrage universel un élément de la légitimité politique, elle est à l’origine de l’abolition de l’esclavage, et

détiennent pouvoir politiques ou éco. Bonapartistes affaiblis par mort prince impérial en 1879 Successeur fils de Jérome- Napoléon, prince Victor => scission jusqu’à mort de Jérome en 1891 Une partie s’oriente vers forme du radicalisme proche du bonapartisme, adversaires notables de l’Eglise. Affaiblis mais conservateurs ont encore poids. Evolution structures sociales modifie pas : -liens financiers notables/clientèle ds régions rurales -force patronat paternaliste, milieux d’affaires légitimistes

libre. « Assisté du gvt, du psdt… » ⎝ N’est pas accept ! DG voulait pouvoir disposer librement du droit de dissolution. Il voulait pouvoir soumettre sous référendum tte loi refusée par le plmt. Ce que veut faire DG, ici, c’est de retenir le « bonapartisme » : idée d’un gvt seul, soutenu par le peuple. B – Séparation Exécutif et Législatif Une seule idée mise en œuvre (et appliquée !) qui est de rendre incompatibles les idées de députés et de ministres. Sous la 4ème république, député qui

perdant :  • BONAPARTE premier consul • LEBRUN second consul • CAMBACERES, troisième Consul => Nous sommes toujours en République. La Révolution à prit fin le 19 Novembre 1799 lorsque Bonaparte est élu. L’emprunte napoléonienne 1) Le bonapartisme C’est l’exercice du pouvoir de façon autoritaire, avec recours au peuple, en sautant les députés. • Les étapes. BONAPARTE est consul à vie depuis 1802. > 1799-1804 : Consulat. On a affaire à BONAPARTE, qui est en 1799 Premier

l'ex-lieutenant Armand Laity, lointainement apparenté à la famille de Beauharnais, publie à 10 000 exemplaires une brochure, sans doute financée par Louis-Napoléon, intitulée Relation historique des événements du 30 octobre 1836, qui est une apologie du bonapartisme. La brochure est saisie, Laity est arrêté et jugé devant la Cour des pairs qui le condamne à 5 ans de détention et 10 000 francs d'amende le 11 juillet 1838. À la suite de cet incident, le gouvernement français demande à la Suisse, au début du

démocratie bourgeoise va donc nécessairement vers une crise dont l’issue va dépendre du rapport de forces existant. La résolution du conflit passe par une alternative simple : soit la démocratie régresse vers un régime autoritaire (par exemple le bonapartisme qui est une négation du conflit de classe), soit elle évolue vers le socialisme et le communisme (vers la réalisation d’une société sans classes). Marx appelle évidemment à la fin de la démocratie bourgeoise et milite en faveur de l’établissement

des principes de 1789 (liberté, égalité, souveraineté nationale), mais les encadre par un régime autoritaire qu’il sera contraint de libéraliser progressivement à partir de 1860. 4. La doctrine politique de Napoléon III. * Le « bonapartisme » ; un régime plébiscitaire. Promulguée le 14 janvier 1852, la Constitution (document bref de 58 art.) concentre l’essentiel des pouvoirs (exécutifs et initiative des lois) entre les mains du prince-président (un régime fort). - préambule : reconnaît

sont souvent fortement influencés par les forces politiques en présence dans l’enceinte de leur Parlement. En France, la Troisième République a longtemps été aux mains des opportunistes, frange modérée du républicanisme opposé au royalisme et au bonapartisme, avant qu’ils ne soient supplantés par les radicaux, qui ont dominé la vie politique française jusqu’à ce que les socialistes ne les devancent en 1936. Le même phénomène s’est reproduit de 1958 à 1973 lorsque les gaullistes ont accédé au pouvoir