Bonheur Doccasion

péchés mais il y a la possibilité d'intégrer des dérèglements, des maladies du corps. Et d'un autre côté Platon considère qu'on doit aussi « être moral » en prenant soin de son âme. >Être moral c'est rechercher le bien et le bien se confond avec le bonheur. Inversement, celui qui est immoral c'est soir celui qui fait mal aux autres et à lui même mais c'est aussi celui qui est malheureux sans que ce soit de sa faute. >Platon remarque que les gens prennent soin de leur corps mais ils ne prennent pas

comme objectif la croissance du bonheur et d’absence de douleur, aussi selon Mill les actions morales dépendent de l’ensemble des conséquences sans se préoccuper de ses intentions. Exemple : Dénoncer son frère qui a violé son amie. Même si tu aime ton frère, tu le dénonces car il pourrait faire du tord à d’autres personnes. Pour Mill et sa théorie de l’utilitarisme la bonne action à faire est celle qui contribue au bonheur en général et pas seulement du bonheur personnel. Bref, à augmenter le plaisir

de partager ses émotions avec le lecteur quant à son amour pour la vie, le plaisir de vivre et d'aimer « j'écris pour le jour où je ne serai plus, on sache combien l'air et le plaisir m'ont plu ». Elle évoque ici, deux grands thèmes lyrique, le bonheur et la nature, « combien j'aimais la vie et l'heureuse nature », nous sommes face dans ce texte au registre lyrique. Le poème de Georges Fourest est une provocation, le titre le souligne « Pseudo sonnet que les amateurs de plaisanterie facile proclameront

goûters de pain et de chocolat, noyaux d’abricots thésaurisés, boîte à herboriser, billes d’agate, chansons de maman, leçons qu’elle me faisait repasser le matin, heures passées à la regarder cuisiner avec importance, enfance, petites paix, petits bonheurs, gâteaux de maman, sourires de maman, ô tout ce que je n’aurai plus, ô charmes, ô sons morts du passé, fumées enfuies et dissoutes saisons. Les rives s’éloignent. Ma mort approche. Lecture analytique Introduction Nous allons étudier un extrait

INTRODUCTION Le monde est là toujours présent, il est ce qui s’offre à nous et ce devant quoi l’homme est placé et qu’il doit accepter puisqu’il y est d’office projeté. Cependant l’homme peut toujours concevoir le monde autrement que comme il est, il peut l’imaginer comme il n’est pas afin de combler ses envies et ses manques, une projection de ses désires en somme. Nous savons que malgré tout l’homme est parvenu à transformer des parcelles du monde de manière à satisfaire ses désirs et sa curiosité

avoir), mais par nous-mêmes. Nous voyons donc en tout cas, qu'une réflexion sur l'amour ne peut faire l'économie d'une réflexion sur autrui. Comme le rappelle en effet Alquié, aimer c'est "vouloir le bien de l'être qu'on aime", c'est désirer le bonheur de l'autre. Mais dans l'expression "aimer l'autre", il y a certes l'idée d' "amour", mais il y a aussi, et c'est tout aussi fondamental, l'idée d' "autre". Que signifie alors aimer "l'autre" ? L'autre, par définition, c'est celui qui n'est pas moi

cette dernière, qui serait la source du bonheur. Ainsi, même si je peux désirer l’impossible, je devrais me l’interdire afin de m’éviter une trop grande souffrance. Dans la lettre à Ménécée, Epicure évoque une classification des désirs : « parmi nos désirs, les uns sont naturels, les autres sont vains et parmi les désirs naturels, les uns sont nécessaires et les autres naturels seulement. Parmi les désirs nécessaires, les uns sont nécessaires pour le bonheur, les autres pour la tranquillité du corps

où il nous fait part de sa souffrance suite à la mort de fille Léopoldine...........Aussi dans son poème, le poète parle aussi de sa joie, de son bonheur. Ainsi, en lisant un poème, on peut voir dans ses vers le sentiment de joie du poète. C’est le cas de Les Contemplations où Victor Hugo se remémore , dans la partie « Autrefois », ses moments de bonheur avec sa fille. On peut voir aussi à travers un poème l’expression des sentiments du poète vis-à-vis de la beauté de quelqu’un ou quelque chose.

s’adresse. La vie heureuse ne peut être atteinte que par la personne qui se donne les moyens nécessaires. On peut résumer sa théorie au fait qu’un homme heureux et un homme qui a travaillé dur pour atteindre ce bonheur, et non pas un homme qui a simplement attendu que sa chance tourne. Le bonheur, selon Sénèque, est le résultat de l’utilisation de la raison. Utiliser son temps dans le but d’atteindre la sagesse. Et donc ici, Sénèque montre au vieillard que son temps n’a pas été utilisé à bon escient

sommes plus sensibles. Le marketing, les médias et les publicités n’arrangent rien à cela. Grace à ces nouveaux concepts, ces moyens de communication et à travers les nombreux produits que nous pouvons acheter, la société cherche à nous vendre du bonheur, du rêve et de la reconnaissance. Nous aimons dépenser et rêver d’avoir toujours plus. Est-ce normal que le désir de posséder soit aussi important ? Certains ont beau vouloir sortir du moule et moins consommer, ce n’est pas pour autant qu’ils