Bonheur Selon Descartes

La modernité I- La modernité La modernité est une notion polysémique. Elle a un sens différent selon le domaine auquel elle s’applique. On va s’intéresser ici à sa dimension philosophique avec sa portée juridique. Il y a trois segments de la modernité : - la modernité philosophique et politique (avènement de l’individualisme, de la subjectivité, de la démocratie). - la modernité sociale (avènement du capitalisme libéral, étude de l’évolution des comportements) - la modernité culturelle

Le bonheur est une question centrale en philosophie : on ne peut pas comprendre les démarches des grands philosophes si on ne saisit pas leur rapport au bonheur. Cela n’a rien d’étonnant, car comme l'a montré Aristote (cf texte en fin de cet article -toute allusion à un philosophe dans cet article renvoie aux textes joints), le bonheur est avant tout le but poursuivi par tout homme (dès qu’il se donne une fin propre). En effet, pourquoi travaille-t-on sinon pour gagner de l’argent ? Et pourquoi veut-on

l’impossible pour être heureux ? » Selon Saint Augustin, "Le bonheur, c'est de continuer à désirer ce qu'on possède ". Ici, ce théologien désigne le bonheur tel une volonté de faire perdurer le plus possible le désir. En effet, désirer est source de sentiments et d’émotions, plus ou moins positives, mais qui nous enrichissent chaque fois. Ce qu’il entend par « ce qu’on possède » fait allusion à ce dont nous disposons, nous détenons et savons. En d’autres termes, le bonheur est ce qui nous constitue et

il ne faut pas rechercher tous les plaisirs» La réalisation du désir apporte du plaisir, de la satisfaction. La non réalisation du désir apporte de la souffrance, ce sont des faits que chacun peut constater. II] Désir, malheur et bonheur Faut-il pour être heureux réaliser le plus de désir possibles? Le désir ne s'arrête qu'avec la mort. Cycle désir – réalisation – désir Shopenhower, Le monde comme volonté et comme représentation, conclu que dans ce cycle, il y a plus de

de devoirs moraux à des êtres dénués de sens et qui sont inférieurs à l’Homme. La deuxième serait que nous avons des devoirs moraux à respecter, pour le bien personnel, mais aussi pour le bien de l’animal en question. Ainsi, il sera question de Descartes et Aristote qui défendront la première position, par la hiérarchisation de l’Homme et l’Animal. Par la suite, de David Hume qui défendra la deuxième position avec l’implication des sentiments dans la création de devoirs moraux. J’irai défendre la

de monade. La force Pour Leibniz, la physique a sa raison dans la métaphysique. Si la physique étudie les mouvements de la nature, quelle réalité est ce mouvement ? Et quelle cause a-t-il ? Le mouvement est relatif, c'est-à-dire qu'une chose se meut selon la perspective d’où nous la regardons. Le mouvement n’est donc pas la réalité elle-même ; la réalité est la forcequi subsiste en dehors de tout mouvement et qui en est la cause : la force subsiste, le repos et le mouvement étant des différences phénoménales

physiquement. Selon Hébert, ce sont des gens qui se sont dispensés physiquement dans leurs milieux naturels. Diffusion en France. La méthode : marcher, courir, grimper (corde) , sauter dans la nature, lancer, apprentissage de la natation, apprentissage du combat (lutte corps à corps), de la quadrupédie (sous ou sur obstacles), à porter et à lever. Tout cela dans la nature.  Gymnastique naturelle. II) La gymnastique médicale, le sport de compétition et la philosophie de Descartes. Descartes est un

nous ne devons pas cesser de désirer pour atteindre le bonheur. Faut-il renoncer à nos désirs pour être heureux ? Être heureux semble en effet être un but que chacun se fixe : avoir une vie heureuse, atteindre une satisfaction pleine et durable. On se demande si renoncer à nos désirs, c’est-à-dire abandonner, refuser de réaliser quelque chose dont on a envie mais qui ne nous serait pas nécessaire pour vivre, est en fait une condition au bonheur. Les désirs empêchent-ils d’être heureux ? Ou bien,

paradoxalement la distance qui l'éloigne de la réalité et qui, par là, nous fait éprouver un plaisir pur. Ce qu’on ne peut atteindre fait rêver, excite. Selon Anatole France : « Le désir de l’inconnu embellit l’univers » On a besoin de rêve, le quotidien ne suffit pas. Le rêve donne un sens à notre vie. L’impossible fait rêver tout être humain et le divertit. Selon Blaise PASCAL dans Les pensées : « Si le roi est sans divertissement le voila malheureux, et plus malheureux que le moindre de ses sujets qui joue

Jean-Jacques Rousseau (Livre 6) (1764) Problématique : Dans quelles mesures la place de la mémoire révèle les circonstances épicuriennes et étranges du narrateur ? Plan : 1- Les circonstances du bonheur du narrateur A) La façon dont le bonheur est envisagé par le narrateur B) Le bonheur déjà présent chez lui même 2- La place de la mémoire dans cette théorie épicuriennes A) Le passé du narrateur et son séjour chez Mme De Warens B) La signification de ce moment omniprésent