Bonheur Vérité Descartes

Ferdinand Alquié Descartes Collection dirigée par Laurence Hansen-Løve Edition numérique : Pierre Hidalgo La Gaya Scienza, © octobre 2011 1 Table des matières Introduction : L’ordre cartésien .................................... 3 1. Le collège. Les premiers écrits. Le rêve d’une science universelle et l’idée de méthode. ..................................13 2. L’œuvre scientifique ................................................ 38 3. La métaphysique ...........................

A quoi bon rechercher la vérité ? - La vérité : adéquation entre un discours et un fait o Idéal de connaissance : dire le monde tel qu’il est ; savoir de quoi est constituée la réalité o Idéal moral : ne pas cacher la vérité, ne pas mentir, ne pas tromper - « A quoi bon » : à quoi ça sert, est-ce que c’est utile ? Sous entendu : ça ne sert à rien… o Utile pourquoi ?  Pour vivre et survivre ?  Dans le monde ? dans la société ?  Pour être heureux ? pour être libre ?  Pour connaître

humaine. BACON : Le progrès que l’humain développe depuis plusieurs année à travers l’avancement des sciences et des techniques permet d’atteindre l’idéal que les hommes se fixent, ils pourront donc arriver à combler tous les désirs (=atteindre le bonheur). Leur conduites pourraient donc être moralement bonnes. ex. Les pays développés ont plusieurs machines qui leurs permettent d’accéder à un mode de vie supérieure. LEVI-STRAUSS : Dés qu’une civilisation n’est pas très développée sur le domaine

discussion longue et périlleuse sur l'utopie et autres on peut dire que le désir fondamental de l'homme, de tout homme, est d'être heureux, la quête du bonheur. Néanmoins cette aspiration n'induit pas le rapport de l'homme avec la nature mais celui de l'homme avec son semblable, avec l'homme. Chacun, et je cite Hegel, veut être reconnu par l'autre, ce bonheur, s'acquière en partie (ou totalement, à discuter) par la reconnaissance. Exister comme une conscience de soi ce n'est pas uniquement exister, être

rationnel, raisonné, posé. Qui utilise son esprit au lieu de son corps Bilan : Critère de l’âge = social Critère du savoir / science = essentiel, indispensable pour la sagesse La prudence dans l’action et la maitrise. III- Pour quel bonheur ? [A quoi bon philosopher ?]  Cela permet l’anatomie de la pensée, on pense par soi-même et on évite les pensées toutes faites, les idéologies, les préjugés. : développer – exercer son esprit critique (différent d’exercer son esprit de contradiction)

histoire 1er chapitre : Race et culture Confusion par Cobineau de la notion de race (biologique) et de culture (produit psychologique et social) qui mène à la théorie raciste. 2ème chapitre : Diversité des cultures Recherche des sources de vérité. Les cultures sont très difficiles à unifier parce qu’il y a des points de convergence et des points de divergence. D’une part, il y a juxtaposition des cultures dans l’espace et d’autre part, il y a succession des cultures dans le temps. De plus

corps (maladies, vieillesse, mort…) Intellectuellement, il est limité par le fait qu’il n’accède jamais à la vérité. Les puissances trompeuses (telles que l’imaginations qui brouille ses perceptions) le dominent. Dans sa vie sociale, il obéit à des coutumes, conventions. Au niveau de sa morale, il fuit sa misère et tente d’y échapper par le divertissement. 2 - A la recherche d’un faux bonheur Son amour propre est satisfait par l’amour des apparences. Il s’étourdit dans les jeux, les plaisirs etc

d'abord apprendre à penser.(4) Ainsi, Platon nous montre que l'individu ne se fiant nullement à sa raison, mais à lui-même, sera entraîné par l'illusion de son amour-propre dans l'acte de penser, et prendra donc ses impressions sensibles pour la vérité.(5) Si par exemple je regarde un tableau et que je déclare : "ce tableau est le plus beau du monde !" sans avoir exercé ma pensée, sans m'être demandé pour quelle raison je trouvais ce tableau si beau, alors, j'ai montré que je ne savais pas penser

le pseudo-bon sens populaire selon lequel les apparences sont souvent trompeuses, les théories du complot sont l’occasion de se demander, avec un sujet du baccalauréat : faut-il chercher la vérité au-delà des apparences ? ◘ Le sens courant du mot vérité : les vérités de fait. En ce sens, la vérité consiste dans la correspondance entre une idée (ou une parole) et la réalité à laquelle elle se rapporte : ce que je dis ou ce que je pense est vrai si et seulement si cela correspond à la réalité

servir de ton propre entendement ! Voilà la devise des Lumières. Pour les intellectuels du XVIIIe siècle européen, l'homme doit faire un usage critique à l'encontre des préjugés et des superstitions. En cela, ils sont les héritiers de Galilée, de Descartes puis de Newton, qui les premiers ont donné la priorité à la raison et à l'expérience sur la Révélation divine et l'autorité religieuse. Ils en viennent du même coup à critiquer la monarchie de droit divin.  Les Lumières ne connaissent pas de frontières