Bonne foi

qui es aussi comme moi une créature de Dieu, ne vois-tu pas qu'ici en France, tu es en terre chrétienne ? Les oratoires pittoresques, les calvaires aux croisées des chemins, les flèches de nos cathédrales sont les témoins de pierre d'une foi vivante. Ma patrie, bonne et pieuse, a vu naître de grands saints. Le sens missionnaire de Saint Bernard, la vertu de Saint-Louis, la charité de Saint Vincent de Paul, le zèle du Curé d'Ars sont le vrai trésor laissé par nos ancêtres. De la grande Sainte Jeanne

tendant à nous démontrer le contraire. Et peut être aussi tout simplement parce qu’être charitable ce n’est pas forcément ni obligatoirement être généreux financièrement et ce d’autant moins lorsque les dons ou autres oboles ne servent qu’à se donner bonne conscience. La Charité n’est ce pas, peut être, avant tout la Générosité du cœur ? Un sourire, une main tendue, un bon mot. Celui qui réconforte, qui soulage. Le bon mot, le bon geste au bon moment, qui ramène et guide celui qui se perd. Et

réécriture. Dans la pièce d’Anouilh, la réécriture d’un mythe tragique passe le regard de l’écrivain sur cette tragédie inhumaine qu’est la guerre. Celle-ci donne un autre visage à l’héroïne mythique. Dans l’œuvre de Sophocle, Antigone était conduite par sa foi religieuse ; celle d’Anouilh a des accents patriotiques. : « Il faut faire ce que l’on peut. » dit-elle (p.71). C’est comme un cri de ralliement de la Résistance. A partir de cet instant dramatique, l’image de la Résistance, d’une Antigone résistant

d'écriture, cf 2 Pierre 1.21. Quand nous lisons la Bible, (chaque jour si possible), demandons à Dieu que l'Esprit-Saint, nous éclaire et souligne à notre esprit ce qui est important pour notre vie, pour ma vie, aujourd'hui et maintenant. Afin que notre foi en Dieu puisse grandir et s'exprimer avec amour et grâce dans les actions et projets de notre vie au quotidien. Quand un passage nous paraît incompréhensible, ne mettons pas en cause l'Ecriture, mais reconnaissons notre ignorance et notre besoin de

six ans, Edith est devenue aveugle. Sa grand-mère et toutes les filles de la maison close sont allées dans la cathédrale de Lisieux, demander à Sainte Thérèse de la guérir, et Edith a recouvré la vue. C`est à ce moment qu`Edith a commencé à avoir la foi en Dieu et en Jésus Christ, mais ses prières allaient davantage vers Ste Thérèse. Edith disait:” Nous nous comprenons mieux entre femmes”. Pendant tout le temps que j`ai connu Edith, chaque soir, s`agenouillait devant son lit et disait sa prière.

textes écrits. En plus des publications dans la presse ou des revues spécialisées (Les Corbeaux, La Calotte, L’Assiette au beurre), les caricatures sont diffusées sous la forme de feuilles volantes, de cartes postales : supports qui permettent une bonne circulation des idées anticléricales, et introduise l’esprit laïc dans les lois et dans les mœurs. Si au Moyen-âge l’Eglise ne se souciait pas des représentations satiriques la visant, sous la IIIème Rép elle s’en défend. D’une part, elle use elle

le domaine de la connaissance théorique ? 53 ............................................... > Notre rapport au monde peut-il n’être que technique ? > L’expérience est-elle un guide suffisant ? > L’art et le beau > La foi religieuse est-elle sans raison ? > Notre pensée est-elle prisonnière de la langue que nous parlons ? > La conscience de soi permet-elle une connaissance de soi ? > Le temps n’est-il qu’une dimension de l’existence ? ..........

de la mort de ce dernier. Les thèmes du récit Une peinture sociale Le récit met en scène un monde : celui des petits commerçants de province, du début du siècle à la fin des années soixante. Ce monde a ses rites, ses habitudes, ses coutumes (la foi religieuse : « le signe de croix sur le pain, la messe...») Les habitudes du père sont évoquées à travers des objets dont la simplicité a valeur de symbole : « Pour manger, il ne se servait que de son Opinel… ». On se rend compte de l’évolution de cette

mythe ? Sans doute parce que le lecteur ne retient que l’aventure, le mystère, l’île déserte, l’angoisse existentielle ; il découvre un homme obligé pendant de longues années à ne dialoguer qu’avec lui-même et à trouver, dans le travail et dans la foi, la force de vivre et de lutter victorieusement contre la mort. De nos jours, l’île déserte apparaît comme un endroit idéal, un petit paradis terrestre, un coin de la planète où persiste le souvenir d’une nature vierge et indomptée. C’est alors la

d’un air fier et un peu dédaigneux. Lorsque Maupassant dit « Les démocrates à longue barbe ont le monopole du patriotisme comme les hommes en soutane ont celui de la religion » (p.21), il veut montrer que la foi républicaine de Cornudet est aussi hypocrite et présomptueuse que la foi religieuse du clergé.Cornudet montre peu de solidarité envers Boule de Suif sans doute parce qu’elle a refusé ses avances. Celle-ci, en effet lui refuse l’entrée de sa chambre par « pudeur patriotique ». Autrement