Bonnet phrygien

très présent « bataillons », « envahisseurs », « ravageurs » ainsi que la référence à la révolution Française « vent révolutionnaire », « un bonnet rouge » (bonnet Phrygien). De même l’utilisation de la métaphore comme principale figure de style vient s’opposer aux énumérations et personnifications de la première partie « je fis souffler », « je mis un bonnet », « je fis une tempête », « je bondis hors du cercle ». Il est à noter l’utilisation de verbes d’actions. Cela traduit sa volonté de changer

l’œuvre tiennent leurs regards vers une femme du peuple, coiffée d'un bonnet phrygien. Celle-ci est représentée en pied et occupe la place principale. Elle tient un drapeau tricolore. Sa poitrine est en partie découverte. On distingue quatre autres personnages aux abords de la barricade : deux enfants des rues ,l'un coiffé d'un béret brandissant des pistolets de cavalerie, la bouche ouverte sur un cri, l'autre coiffé d'un bonnet de police s'agrippant au pavé . Les couleurs dominantes sont les bleu

envahit la Pologne, une action qui déclenche une deuxième guerre avec l'Europe. Plumer le coq est un photomontage réalisé par John Heartfield . Il est composé du portrair d'Hitler, Georges Bonnet qui était anticommuniste et qui pendant la guerre se range du côté de Pétain et un coq portant le bonnet phrygien avec la cocarde tricolore.

homme est un bourgeois ou un chef d'atelier. Son chapeau haut de forme fait aussi penser a un citadin à la mode. Il tient un fusil dans ses mains. On peut se poser la question : Ce visage est-il celui de Delacroix ? La Liberté : Une femme au bonnet phrygien, brandissant le drapeau tricolore et un fusil semble mener l' attaque. Sa poitrine dénudée, ses pieds nus, l'aspect antique de sa robe, son profil de statue, sa grande taille : tout la différencie du reste de la scène. Cette femme du peuple est

fondateur des valeurs et des principes de la démocratie 2 – Les Symboles Drapeau : monarchie (blanc) encadré par le peuple (rouge, bleu) Devise : liberté, égalité, fraternité depuis 1848 Marianne : droits naturels (sécurité, alimentation) ; bonnet phrygien (liberté) ; république (mère de la patrie et de la nation) Marseillaise : union, ralliement Coq : orgueil ; patriotisme, fierté nationale, représentation sportive Fête nationale : le 14 juillet 1789, prise de la bastille Les droits de l’homme

peuple, coiffée d'un bonnet phrygien qui laisse s'échapper des boucles. Celle-ci est représentée en pied et occupe de fait une place importante. Elle brandit par la hampe un drapeau tricolore qui occupe l'axe médian de la toile. Sa poitrine est en partie découverte. On distingue quatre autres personnages aux abords de la barricade : deux enfants des rues – l'un coiffé d'un béret brandissant des pistolets de cavalerie, la bouche ouverte sur un cri, l'autre coiffé d'un bonnet de police s'agrippant

droits (congés payés, augmentation de salaire, semaine des 40 heures, droit syndical). Sur cette photo on voit la foule dans la rue, le drapeau de la république avec le bonnet phrygien, le personnage important de la photo est la petite fille portée sur des épaules coiffée d’un bonnet phrygien. Sa mère lui avait confectionné ce bonnet comme symbole de liberté. Elle s’appelle Suzanne et elle est devenue le symbole du Front Populaire. La photo est en noir et blanc. C’est une photo prise sur le vif. Willy

photomontage satirique 2)Le coq avec son bonnet Phrygien = c’est la France Tourne le dos, ne voit pas le danger bien réel( les agressions du IIIe reich se multiplient en 1938) Conclusion : Heartfield dénonce le nazisme (sa violence, son agressivité) mais aussi la complicité de certains pays comme la France. Il utilise une technique qui demande une réflexion au lecteur : le photomontage n’est pas réaliste, c’est un détournement 3) L’homme à gauche , c’est George bonnet, ministre français des affaires étrangères

a plusieurs corps de soldat qui s’entassent, ces cadavres apparaissent tordus et désarticulés, un paysans vêtu de bleu, foulard noué sur la tête, émerge des décombres, le corps et le regard tendus vers une femme du peuple, celle-ci porte un bonnet phrygien (comme symbole de la liberté, du civisme et de la révolution Française). Elle occupe une place très importante dans ce tableau car elle est au centre. Elle brandit le drapeau bleu blanc rouge, son regard se porte sur le peuple qui l’a suit. Cette

AnalyseLe lieu de l’exécution se déroule sur la place de la révolution là où d’importantes personnalités de la Révolution française sont exécutés tel que Danton, Louis XVI et Marie-Antoinette. Les bonnets rouges sont en réalité des bonnets phrygiens qui représentent la liberté. Ils sont adoptés par les plus fervents partisans de la révolution. Les personnes touchées par le régime de la terreur faisaient partie de toutes les classes sociales, mais sur l’estampe, les personnes qui dansent font probablement