Bons baisers de Russie

KOWEIT LIBAN LIBYE LITUANIE LUXEMBOURG MACEDOINE MALAISIE MALTE MAROC Mexique NORVEGE NLLE CALEDONIE NOUVELLE ZELANDE 80 PAKISTAN PAYS BAS 89 6 8 32 2 HEBERGEMENTS INDIVIDUELS PEROU PHILIPPINES POLOGNE PORTUGAL QATAR REPUBLIQUE TCHEQUE ROUMANIE 14 RUSSIE SERBIE SLOVAQUIE SLOVENIE SOUDAN SUEDE SUISSE SYRIE THAILANDE TUNISIE UKRAINE URUGUAY U.S.A. VIETNAM DIVERS TOTAL ETRANGERS TOTAL FRANCAIS TOTAL HEBERGEMENTS 520 2 501 12 968 15 469 416 2 937 7 728 10 665 117 120 104 13 15 GROUPES GROUPES

terme et pour établir le fils. On achète des emprunts d’état (Russie, Empire Ottoman, Serbie, Roumanie par exemple... = taux d’intérêts élevés, garantis par le gouvernement, fortement recommandé par gouvernement français). Cependant cet argent est placé à l’extérieur et n’est pas investi dans l’éco française (somme des intérêts individuels ne correspond pas avec intérêt général!). Allemagne et Autriche-Hongrie Dans le cadre de la Russie et de l’Allemagne: Universalen Bank. En Allemagne, les industriels

négocier les prix ; avec la CSO, la qualité est garantie, et tout le monde est soumis aux mêmes conditions. [4] La fin du monopole Ces dernières années, des compagnies concurrentes ont découvert et exploité d’énormes gisements diamantifères en Russie, au Canada, en Australie (cf. graph. ci-dessous), et l'israélien Lev Leviev s’est emparé des marchés russes, angolais et congolais. En 2003, la De Beers ne contrôle plus que 45 % de l’offre mondiale. {draw:frame} Natif de l’ex-URSS

constitue donc de loin le premier pôle de commerce international dans le monde, ses exportations représentant plus du triple des exportations des États-Unis et six à sept fois celles du Japon. Dans chaque secteur du système productif, l'UE affiche de bons résultats. L'industrie européenne est la première au monde avec 20 % de la valeur et de l'emploi mondiaux. Ses points forts sont l'automobile (Volkswagen, Renault, Fiat, Mercedes, BMW, etc.), la sidérurgie, la chimie (Bayer), le pétrole (Shell, BP

assiste au double phénomène de désintermédiation et de dérégulation. Par ailleurs il y a une liquidité et une mobilité accrues des produits financiers qui deviennent de plus en plus diversifiés. D’un point de vue des investisseurs on assiste à une baisse de l’aversion au risque, a une augmentation impressionnante des actifs gérés par les investisseurs institutionnels, une montée en puissance des fonds dits « spéculatifs » et le rôle approfondi des banques centrales et des « fonds souverains ». Ce

économique et au risque souverain en zone euro, avec ses conséquences négatives (notamment sur la perception du risque bancaire). On observe depuis un rebond sensible. Outre une situation technique sans doute trop extrême compte tenu de la rapidité de la baisse, d’autres facteurs ont joué : d’une part la résistance de l’économie américaine, illustrée par les dernières statistiques économiques (voir page 3), d’autre part l’espoir de mesures en zone euro pour juguler la crise. Nous sommes sceptiques quant

comme principal émetteur.           Source:  CDG  Capital  Research,  Maroclear,  Bourse de Casablanca   La dette privée offre un fort potentiel de croissance  Dans un contexte de manque de liquidité de la dette souveraine, de niveaux stables des bons  du Trésor, de grande compétition pour les crédits bancaires, le marché de la dette privée se  présente comme une solution de financement idéale.         Comparaison à l’International  Un système ouvert à l’international devrait permettre un meilleur positionnement du marché 

sous l’effet de conditions météorologiques défavorables. La baisse prévue de la production mondiale en 2014 s’explique principalement par les résultats négatifs attendus en Asie, où la campagne devrait s’achever en légère baisse (0,5 pour cent) et atteindre 674,4 millions de tonnes (449,8 riz usiné). En effet, l’ensemble de la région a souffert de conditions climatiques difficiles au cours de la campagne, qui pourraient entraîner des baisses substantielles de la production en Inde, en Indonésie, au

croissance de l'industrie. La concurrence internationale se fait très forte, la baisse des prix est le résultat de la lutte entre fractions du capital. Elle entraîne une transformation des structures productives et de nouvelles dormes de production. Jusqu'ici la contrainte aux cadences était extérieure au travail, mais à la fin du siècle elle s'inscrit dans les conditions de travail. L'utilisation d'énergies nouvelles baisse le coût de production. De nouveaux matériaux et de nouveaux produits apparaissent

milliards - Si la baisse des résultats 2009 peuvent aisément s’expliquer par la crise, il ne semble pas en être de même pour 2008, vu que cette même année le chiffres d’affaires augmente : les raisons sont sans doute plutôt d’ordre endogène 2010 Prix du Brent Parité €/$ Marge de raffinage Production hydrocarbure Résultat net ajusté 79,5 1,33 27,4 2378 10 288 2005 54,5 1,24 41,6 2489 12 003 Une situation financière florissante malgré une stagnation de la production et une baisse sensible de la