Bons baisers de Russie

8 avril 1966 : Premier Secrétaire du Comité central du Parti communiste de l'Union soviétique, 8 avril 1966 - 10 novembre 1982 : Secrétaire général du Parti communiste de l'Union soviétique) Staline Né à Gori (Géorgie) le 21/12/1879 ; Mort à Moscou (Russie) le 05/03/1953
 Homme fort de l’URSS pendant plus d’un quart de siècle, Staline fut l’un des acteurs majeurs de l’histoire contemporaine. « Petit père des peuples » et fondateurs des goulags, il est à la fois le grand vainqueur d’Hitler, le modernisateur

A) Situation du Yuan avant la crise économique B) Le yuan aujourd’hui C) L’avenir du Yuan Partie 2 A)Le dollar avant et pendant la crise B)Le dollar aujourd’hui C)L’avenir du dollar Partie 3 A)Les consequences de la baisse du dollar sur la zone euro B) Les consequences sur les pays dévellopés Partie 4 A) Situation des BRIC B) Situation des NPI C) Situation de l’ex bloc de l’EST D) D’autres cas notables Conclusion Dernièrement

deux tiers des Géant Casino font moins de 50 M€ de chiffre d’affaires. Auchan place 46 hypers dans le top 100, c’est un de plus qu’en 2008. Le chiffre d’affaires cumulé de ces 46 Auchan dépasse de peu les 9 milliards d’euros (avec carburant), en baisse de près de 4 %. Le CA moyen des Auchan figurant dans le top 100 frise les 196 millions d’euros. Seuls trois d’entre eux ont vu leur ventes augmenter en 2009 : Cesson-Melun (77) à 182,1 M€ (+ 4,4 %), Mont-St-Martin (54) à 147,3 M€ (+ 0,7 %) et Aubagne

les dépenses de la guerre du Vietnam, ont fait prendre conscience à de nombreux pays que les états unis ont imprimé beaucoup plus d’argent qu’ils n’en avaient en or. Ils ont donc commencé à réclamer de l’or en retour. Evidemment cela a déclenché une baisse rapide de la valeur du dollar. La situation a atteint son paroxysme en 1971, lorsque la France a tenté de retirer ce qu’elle possédait en or et que Nixon a refusé. Le 15 août 1971, il prononça le discours suivant : (Changement d’image)  « J’ai chargé

commerciaux. En 1913, l’Angleterre vit plus de ses revenus de services que de ses revenus industriels. 3. L’empire colonial L’empire colonial britannique est alors le premier du monde par sa taille (33 millions de km², 2 fois la Russie d’aujourd’hui), par sa population (400 millions de consommateurs). Les anglais n’ont pas voulu tout colonisé, ils ont privilégié certains pays et en délaissant d’autre. Les choix privilégiés sont les débouchés commerciaux pour l’industrie britannique

extérieur  et maximiser le taux de croissance.  Or, ce carré est magique car presque jamais un pays ne peut obtenir les quatre objectifs à la fois. Il est difficile d’obtenir un taux de croissance du PIB et un solde du commerce très élevés, avec la baisse voire quasi- nullité des taux de chômage et d’inflation. A)   La croissance  Quand on dit croissance, on entend PIB (valeur) PNB (entreprises nationales que l’on enregistre). Quel est l’indicateur de cette croissance ? C’est la valeur ajoutée

devant lui seul, les ambassadeurs, les hauts fonctionnaires. B. Les faiblesses du Directoire : Elles sont les suivantes : - D’abord le manque de soutien national : la constitution ne reconnaît pour citoyens qu’une minorité aisée. Tandis que de bons patriotes –les soldats par ex- ne votent pas. Ceux qui avaient joué un rôle essentiel dans la grande crise révolutionnaire, celle de 1793-1794, sont tenus pour suspects ou ignorés. - Puis l’agitation provoquée par des élections annuelles : chaque

la politique budgétaire influence le niveau des prix, plus particulièrement, à travers : * les impôts sur la dépense, dont la répercussion est directe à la hausse comme à la baisse, * l’impôt sur le revenu des entreprises. Cet effet se démontre avec l’exemple français : fin du XX siècle, les baisses successives à la fois de la TVA et de l’IS ont largement contribué à la désinflation. 2 – Les aspects monétaires Les aspects monétaires se caractérisent, entres autres, par les

glissement est généralement plus faible que l’écart entre l’inflation domestique (anticipée ou cible) et une estimation de l’inflation étrangère ; le taux de dévaluation est réduit progressivement, ce afin de guider les anticipations inflationnistes à la baisse. Le taux de change joue ici le rôle d’ancre nominal pour les anticipations, aussi une certaine appréciation réelle est-elle tolérée. Cette règle de gestion était très utilisée dans les plans de stabilisation dans les années 70 par les pays en développement

croissance qui n’a atteint qu’un demi-point par an entre 1991 et 2000. Leur principale conséquence a été une envolée de l’endettement public qui est passé de60 à120% du PIB en l’espace d’une décennie. De même, la banque centrale a entamé une série de baisse de taux d’intérêts qui sont passés d’une valeur moyenne de 7.4% en 1991 à zéro à la fin de la décennie. Une telle inefficacité de la politique monétaire révèle l’existence d’une véritable trappe à liquidité. Depuis le dégonflement de la bulle financière