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De Kyoto à Copenhague Soumis par Mathieu Doray le mar, 22/12/2009 - 17:31 * copenhague 2009 * climat * alternatives Un rappel des objectifs et mécanismes du protocole de Kyoto et un bilan du sommet de Copenhague, par le collectif nantais Urgence Climatique, Justice Sociale. Acte 1 : Kyoto (1997) * Le protocole onusien de Kyoto, signé en pleine période de capitalisme financier triomphant, a confié l'avenir climatique de notre planète à la mythique main invisible du marché * Des

répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Rapport Brundtland, 1987. Depuis ce rapport les individus ont pris conscience du développement durable : des conférences sont organisés, des protocoles sont ratifiés etc… Cependant, la situation actuelle est alarmante. En effet, dans un article de presse d’Alternative économiques paru en octobre 2011, Manuel Domergue explique que la comptabilisation des émissions de gaz à effet de serre par pays

Kyoto : L’accord de l'environnement de l'ONU (protocole de Kyoto (1997)) 38 pays industrialisés à réduire ou à éliminer d'ici 2012 leur émission de CO²  et d'autres gaz à effet de serre 5.2% en moyenne pas rapport au niveau de 1999 efficacité est limitée en raison du rejet  du plus grand polluant : les USA sous la présidence de G.W Bush. Malgré ce refus il est rentré en vigueur en 2005. Les océans captent naturellement une partie du CO² mais une faible quantité. Les chercheurs veulent pomper

Effets de Serre (GEZ) Les années 80 et 90 : 1987 : Prise d'engagement internationaux en faveur du développement durable. 1992 : Sommet de la Terre de Rio : 179 États réunis à Rio pour envisager la réduction des émissions des GES. 1997 : Protocole de Kyoto → engagement des pays industriels pour la baisse de la production de GES en divisant par 4 d'ici 2050. Depuis 1990 : Augmentation des décisions politiques en faveur de développement durable, au niveau local, national, européen et

le non-Accord de Copenhague ne fait ni reférence aux mécanismes flexibles ni aux règles établies sous le protocole de Kyoto. Il reste totalement imprécis sur la façon dont les pays pourront avoir recours à ces “Offsets”. Commentaire de Greenpeace: Le manque de règlementation de ces instruments mènera à la même situation que nous avons déjà observée dans le cadre de l’application du protocole de Kyoto. Au lieu de fixer des objectifs qui sont par la suite affaiblis par des règles de comptabilisation

encore du devenir de certaines population qui pourraient devenir des « refugiés climatiques » si personne n’agit. De ce fait plusieurs solutions ont été adoptés ou pour certaines juste envisagées. En effet, nous pouvons noter la mise en place du protocole de Kyoto en 1997 prévoyant une diminution de 5,5% de l’émission de gaz à effets de serres en 2012 par rapport à 1990. On observe également le fait que les états est mis en place de multiples normes environnementales visant à bannir les produits dangereux

l'introduction dans l'air, l'eau ou le sol de matières n'étant pas présentent naturellement dans le milieu) notamment les dégâts imputables au changement climatique occasionnés par les émissions de gaz à effet de serre, d'où la mise en place du protocole de Kyoto. Le protocole de Kyoto instaure selon la loi du marché des mécanismes d'échanges de crédits d'émissions de gaz à effet de serre, il distribue un nombre donner de permis de pollutions dit «droits à polluer» pour que les pays en développement polluent

le bâtiment. L’éco-prêt permet de financer les travaux d’économie d’énergie et les éventuels frais induits par ces travaux afin de rendre le logement plus économe en énergie, plus confortable et moins émetteur de gaz à effet de serre. Suite au protocole de Kyoto (adopté le 11 décembre 1997) et afin de lutter contre le changement climatique, l’Union Européenne s’est engagée à réduire d'au moins 8 % le niveau d'émissions de gaz atteint en 1990 pour 2012. Pour se faire, elle a créée un marché de droits

les générations futures et l’écosystème en mettant en place des politiques environnementales et en s’occupant du développement durable pour sensibiliser la population et la faire agir. Mais ces politiques ne sont pas toujours efficaces, comme le protocole de Kyoto qui n’a pas réellement été mis en place. De même, le PIB est un indicateur imparfait pour mesurer la croissance puisqu’il ne prend pas en compte tout ce qui est produit, et tout ce qui contribue au bien être de la population. En effet, il

d’éco-développement. En 1987 avec le rapport Brundtland, la notion de développement durable voit le jour. En 1992, à Rio au Brésil, se déroule le Sommet de la Terre où est signée la Charte de la Terre, le concept passe alors dans le grand public et, en 1997, le Protocole de Kyoto impose une baisse de 5.2% des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2010 par rapport à 1990, une comptabilisation des forêts, et institut un marché des permis d’émission et favoriser des modes de développement plus propre. Le développement