Boris Vian Courants Littéraires

(p. 18-19) ¡Lee y actúa! ◗ Conformarse o no Dans cette unité on poursuivra l’étude du même sujet, l’intégration professionnelle et sociale des jeunes espagnols, à partir, non plus d’un reportage journalistique, mais d’un extrait d’une œuvre littéraire. Nous verrons que si Judit, la protagoniste du texte extrait du roman de Maruja Torres, connaît les mêmes problèmes que ceux des jeunes gens présentés à l’unité 2, elle n’a pas adopté du tout la même attitude. Elle ne se résigne pas à sa situation

- Dirigeants de la France Libre et gouverneurs de l’Afrique noire française - Propose l’émancipation à l’intérieur du « bloc français » - Rejette l’idée de self government B. Les partisans de l’anticolonialisme - Le courant anticolonialiste s’alimente de l’idéologie marxiste : - Hô Chi Minh, Sjarifuddin (Indonésie) et Than Tun (Birmanie) adapte ses concepts de « lutte des classes » en Asie - Révolution chinoise en 1949 qui sert d’exemple - Influence plus

la Chapelle. Le pôle de la Neustrie assurera les échanges bus-tramway. Il sera formé d’une structure haute pour les espaces d’échanges bus-tramway, et d’une structure basse pour les quais bus et tramway. Le début des travaux est prévu dans le courant de l’année 2003. Cela s’inscrit dans une logique d’aménagement vers le périphérique. Le futur pôle d’échanges de la porte de Grand-Lieu permettra une connection des lignes de bus qui drainent cette partie de l’agglomération et se substituera alors

communismes ne sont pas que liés au système politique ou à la guerre. Il faut les lier à l’irruption des masses sur la scène politique après la première GM. On se rend compte que l’on ne peut plus faire sans les masses : le fascisme sera le premier courant à intégrer les masses, qui font peur car elles arrivent en masse. Il y a une peur de l’impact des idéologies sur les masses omniprésentes : c’est l’anticommunisme. 2) L’année 1917 : la fatigue des peuples A. Kriegel dit que la lassitude des peuples

Boris Vian L’ÉCUME DES JOURS 1947 Table des matières Avant-propos ............................................................................ 5 I ................................................................................................. 6 II .............................................................................................. 15 III ............................................................................................ 19 IV .............................................

[pic] Boris Vian L’ÉCUME DES JOURS 1947 Table des matières Avant-propos 5 I 6 II 15 III 19 IV 25 V 27 VI 30 VII 33 VIII 35 IX 37 X 40 XI 45 XII 53 XIII 59 XIV 65 XV 67 XVI 74 XVII 76 XVIII 79 XIX 83 XX 86 XXI 89 XXII 97 XXIII 99 XXIV 103 XXV 107 XXVI 110

Boris Vian L’ÉCUME DES JOURS 1947 Table des matières Avant-propos ............................................................................ 5 I ................................................................................................. 6 II .............................................................................................. 15 III ............................................................................................ 19 IV .......................................

théâtre) : autour de cette pièce, c'est deux visions du monde qui s'affrontent, les anciens et les modernes, les vieux et les jeunes ! C'est dans ce XIX° siècle troublé (politiquement, mondialement) que vont s'affronter le plus violemment les différents courants artistiques, c'est d'ailleurs la première fois que l'on peut à proprement parler de mouvements artistiques. Avant cette époque, peu de changements, seul. Aussi bien sociétalement qu'artistiquement, tout restait en place pour des siècles. Dans les

trem­ blant, et lorsque je revenais de l'école, je me suis perdue ici. » Elle me dit : « Suis ce chemin, et vous arriverez chez vous »... » Rêve de Razafi, garçon de treize à quatorze ans : Il est poursuivi par des tirailleurs (sénégalais) qui en courant « font un bruit de cheval au galop », « ils mon­ trent leurs fusils devant eux. » Le sujet échappe en deve­ nant invisible. Il monte un escalier et trouve la porte de la maison... » Rêve d'Elphine, fille de treize à quatorze ans : « Je rêve d'un bœuf

l'adolescence sans heurt, respectant les passages piétons. À vingt ans, elle envisageait l'avenir comme une promesse. Elle aimait rire, elle aimait lire. Deux occupations rarement simultanées puisqu'elle préférait les histoires tristes. L'orientation littéraire n'étant pas assez concrète à son goût, elle avait décidé de poursuivre des études d'économie. Sous ses airs de rêveuse, elle laissait peu de place à l'à-peu-près. Elle restait des heures à observer des courbes sur l'évolution du PIB en Estonie,