Bossu

La métaphore souligne ainsi l’aspect inhumain de ce travail. c- Les conséquences désastreuses - le champ lexical de la maladie est très significatif. Ces enfants sont irrémédiablement abîmés par le travail (« pâleur »v.12- « rachitisme »v.18- « bossu » « crétin » v.22-) - La progression des termes montre bien que les dégâts ne sont pas seulement physiques, l’esprit lui–même est tué. Ccl : Par l’emploi de procédés très marquants Hugo souligne donc avec force les caractéristiques de ce travail

« vêtu plus régulièrement, quoique très mal » ligne 26 et qui marche à pied « il se courbait un peu en marchand » ligne 27. Il fait de la musique « il portait sur ses épaules une basse de viole » ligne 26-27 avec une démarche de tortue car il est bossu (à cause de son instrument de musique) « on l'eut pris de loin pour une grosse tortue » ligne 28. Ce personnage est ridiculisé car il n'a pas l'air d'un homme habituel « quelque critique murmurera » ligne 28-29. Ces 3 personnes sont opposés les uns

Dans ce monde dur, glacial et usant, Victor Hugo va utiliser des verbes forts pour exprimer son désaccord avec cette forme d’exploitation « aie, qui tue ». Il pense aux conséquences que peut entraîner ce travail injuste « Et qui ferait d’apollon un bossu et de voltaire un crétin », de façon à montrer l’erreur que commettent les adultes envers ces enfants. Enfin, Victor Hugo insiste aussi sur le fait que les enfants appellent à l’aide mais que tout le monde ferme les yeux et reste sourds à ces

ou tout aussi moyen que nous, peut devenir le héros d'une aventure . Parmi les personnages médiocres on peut distinguer celui qui est médiocre physiquement et donc qui n'est pas parfait au niveau physique comme nous laisse voit Victor Hugo dans Le Bossu De Notre Dame dont le personnage est Quasimodo qui signifie "déformé" pourtant malgrès son physique et le contexte de l'époque , il va réussir à montrer le meileur de lui meme c'est à dire ses valeurs morales . Il y'a aussi Cyrano de Bergerac un homme

devra se cacher, poursuivi par les gendarmes. Tue le petit soldat Jules, la sentinelle du terri, sous prétexte qu'il "en avait envie". Retourne travailler à la mine avec sa mère après la grève. Alzire Maheu : Quatrième enfant des Maheu, petite bossue de 9 ans ; meurt de froid et de faim pendant la grève, gravement fiévreuse. Lénore Maheu : Cinquième enfant des Maheu ; 6 ans. Henri Maheu : Sixième enfant des Maheu ; 4 ans. Estelle Maheu : Septième enfant des Maheu ; 3 mois. Nicolas

Ils sont pales, affamés, épuisés. Ils ont avec eux leurs affaires car ils sont déportes des ghettos puis emmener dans ce camp sans savoir ce qu'ils allaient leurs arrivés. La grand-mère, elle, est épuisée, accablée. On le voit par sa tenue (dos bossu). De plus, ces petits-enfants se tiennent sur elle. Son regarde est vide. La mère qui se trouve derrière porte son bébé. On peut imaginer qu'elle crie car sa bouche est ouverte. D'ailleurs la bouche des autres membres de la famille est aussi ouverte

dérision de Georges Minois. Cet extrait nous parle du rôle des bouffons et de leurs caractéristiques. G. Minois nous explique que les bouffons au Moyen Âge étaient généralement choisie en fonction de leur particularité physique tel que le nanisme, les bossus ou encore les siamois. Pour les rois qui les possédaient, les bouffons, ou les fous comme on les appelait, étaient considérer pire que les animaux qui étaient dans leur ménagerie. De plus, afin de les railler encore plus lors de leur « spectacle »

trouvait remède à tout. Il y avait aussi Vieux-Os, le narrateur qui se posait beaucoup de questions sur la vie comme le prouve l’extrait suivant : «Comment Vava peut-elle m’aimer? Il n’y a rien en moi qui puisse lui plaire. Je suis trop maigre. Un peu bossu. Mes genoux sont cagneux. Et je ne sais même pas danser. » Cet enfant doute de lui et pourtant il a un potentiel fou. Tout au long du roman c’est un homme que je voyais derrière ce personnage. Il racontait son histoire avec naïveté, mais tout derrière

imposée à l'enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, oeuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les coeurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! - D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre, Qui produit la richesse en créant la misère, Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil ! Progrès dont on demande : Où va-t-il ? que veut-il ? Qui brise la jeunesse

séance 2 mélancholia© Edouard, collège Aumeunier-Michot H2 Etude de texte : Mélancholia (Hugo) Introduction - Poème qui appartient au recueil Les Contemplations (1855) - « Mélancholia » est le titre d’une gravure de Dürer (artiste allemand de la fin du moyen-âge) représentant un ange triste et pensif, comme le poète qui contemple la société. - Thème : dénonciation de l’injustice sociale sous toutes ses formes, ici le travail des enfants dans les usines au XIXème siècle. - Plan : tableau