Bouc

l’instauration d’un état totalitaire fondé sur les principes de la charia. Hitler, lui, utilisa les juifs pour canaliser la haine du peuple allemand qui écrasé par le traité de Versailles et le rapatriement des capitaux américains en 1929, cherche un bouc émissaire à toute leur misère. L’intolérance peut donc devenir une arme dans les mains des dictateurs car en donnant à la population un ennemi commun elle va rassembler les individus quelques soit leur milieu social et permet aux dictateurs de manipuler

annonce une décision qui est comme un coup fatal pour son ami juif : Il se rallie à Hitler. Leur amitié se fracture d’une manière irréversible car Martin demande à son fidèle ami de cesser leur correspondance, en lui écrivant : « Le juif est le bouc émissaire universel. Il doit bien y avoir une raison à cela… » Au nom de l’amitié qui les liait, Max insiste et demande à Martin d’aider sa petite sœur juive, Griselle qui joue dans un théâtre à Berlin. Les lettres que Max adresse à sa sœur vont

développé par La Fontaine qui en est devenu le maître Cette mise en scène d'un procès autour du Lion permet de critiquer l'arbitraire d'une justice archaïque qui désigne une victime expiatoire pour libérer la terre d'un fléau. C'est le principe du bouc émissaire qui est repris dans cette parodie de justice.  Questions envisageables: elles peuvent porter sur  -les registres;                                                                                    -le parcours argumentatif;         

discerner deux causes à cette folie criminelle : d’une part, l’hérédité familiale, une tare, celle de l’alcoolisme, qui a empoisonné tous les membres de sa famille et le rend fou, même lorsqu’il ne boit pas (l. 38-39). Jacques est en quelque sorte le bouc émissaire, la victime sacrificielle qui rachète la tare familiale (« Et il en venait à penser qu’il payait pour les autres, les pères, les grands-pères, qui avaient bu » l. 39-40). D’autre part, cette folie trouve aussi une origine plus lointaine dans

Sandoz : « Et cela n’allait point sans un immense mépris de tout ce qui n’était pas leur art, le mépris du monde, le mépris de la politique surtout. ». Le groupe soudés au début du roman se trouve éclaté à la fin du roman : en effet, Claude sert de bouc émissaire à ses camarades, il est perçu comme le responsable de leurs échecs respectifs : « C’est Claude qui nous a tués » affirma carrément Gagnière ». Claude s’est entêté dans sa peinture en ne voyant plus qu’elle, et comme il été connu pour sa peinture

opposition du groupe à son leader et par insatisfaction ou frustration réprimée. Dans la plupart des cas la décharge de tension (fou-rire général, le ralliement de tous à une solution de fuite, un brouhaha, une agitation générale, l’agression d’un bouc émissaire, une colère inopinée sur un point accessoire etc.) est une tentative de résolution des tensions mais la résolution véritable est la prise de conscience des causes déterminantes du malaise. I-3-Cohésion et dissociation des groupes La cohésion

climat poliitique en Allemagne : Le tract "juden raus!" ("Les Juifs dehors") près du cul-de-jatte au buste monté sur une planche à roulettes montre la montée de l'antisémitisme en Allemagne, dont une partie de la population cherche un responsable, un "bouc émissaire" à la misère. Le mutilé en chariot affiche un visage haineux et "revenchard"... Les ligues d'anciens combattants étaient en effet très sensibles à la propagande ultra-nationaliste, dont l'antisémitisme fut une des composantes très tôt, avant

gutturales [G et K] : « L’un agace son bec avec un brûle-gueule ». L’équipage se montre violent envers l’albatros. Le verbe « prend » connote une violence physique, une capture, tandis que les « huées » évoquent une violence morale. L’oiseau est le bouc émissaire, le souffre-douleur de ces hommes, ce que traduit le registre pathétique qui souligne l’enfer vécu par l’albatros. Sa situation est d’autant plus attristante qu’elle est fréquente ainsi que l’indiquent l’adverbe « souvent » au V1 et le présent

même groupe (culture, religion, langue...). L'étranger est perçu comme une menace pour l'équilibre de vie et, donc comme un ennemi. Les sentiments xénophobes se développent souvent dans les périodes de crise économique dont l'étranger devient le bouc émissaire ou lorsque deux cultures différentes doivent cohabiter. Lorsque la xénophobie s'applique à des individus en raison de leur appartenance à une autre ethnie, on emploie abusivement le terme de racisme1 alors qu'il s'agit plutôt d'ethnophobie

contraints. > Les « jeux » intentionnels : Tous les enfants participent de leur plein gré aux pratiques violentes. Quelques exemples de ce type de « jeu » : Le « jeu » du cercle infernal, le « jeu » de la cannette, le « jeu » du mikado, le bouc émissaire, le petit pont massacreur ou la mêlée, le jeu du jugement, le petit pont boulette, la tatane... Le principe est toujours le même. Au sein d’un cercle de jeu, un objet est lancé ; le joueur qui ne le rattrape pas devient la victime