Bouche

« baiser » et du même tour syntaxique pour juxtaposer les définitions de ce « baiser » : « un point... », « un secret... », « une communion... », « une façon... ». Il sait aussi jouer de la sensualité des évocations des parties du visage : « lèvres », « bouche », « oreilles » et du champ lexical des sensations : « doux », « goûts », « goûter », « frisson », « bruit ». L'érotisme de ces allusions est adouci par des métaphores empruntées à la nature : « goût des fleurs », « bruit d'abeilles » qui renvoient

dormant (inhalation de salive contenant des « restes » alimentaires, pouvant entraîner des infections respiratoires à répétition). Pour les personnes alitées, grabataires : Il sera préférable de remplacer le brossage des dents par les lavages de bouche, avec utilisation de compresses et produit adapté, en concertation avec l’infirmière. (limites de compétences). Pour les personnes porteuses de protheses dentaires : Brosser les prothèses sur le dessus et sur le dessous à l’aide d’une brosse pour

les veines, celles ci arrivent au foie par la veine porte, repartent par les veines hépatiques pour aller vers la veine cave inférieure. Veines intestinales > veine porte > foie > veines hépatique> veine cave inferieure. II; La bouche Description anatomique Cavité qui s’ouvre sur l’orifice buccal; limité par deux lèvres, contient langue et dents. Limitée en haut par la voûte qui se prolonge par le voile du palais qui se termine par la luette ; limité en bas par le plancher

couches. * La face superficielle qui est subcutanée. * La face profonde qui est composée d’une ou plusieurs couches de tissus fibreux. Groupes de muscles de l’économie animale Muscle du visage Le cutané facial L’orbiculaire de la bouche qui ne forme pas une bague complète, la défection se trouve au niveau de la lèvre supérieure. -L’élévateur nasolabial. -Le zygomatique -Le dépresseur de la lèvre supérieure -L’incisif inférieur -Le boccinateurf -L’orbiculaire oculaire

bien campée et plantureuse : « très grande, très forte pour ses dix- huit ans ». Son visage a des formes très nettement érotisés, comme une fossette au menton qui apparaît quand elle rit : « un amour de petit trou au menton » ou une bouche sensuelle « sa petite bouche rouge ». Quand ce qu’elle chante a une tonalité grivoise : « certains vers un peu vifs », les traits de son visage s’animent : « une friandise retroussait son nez dont les ailes roses battaient » ou bien « une flamme passait sur ses

Ce que l'on voit Ce que la sculpture représente On distingue un corps debout. Il est en appui sur ses jambes, la tête et les bras levés vers le ciel. Sur son visage, sa bouche est grande ouverte. Aux cotés de l'homme se trouve un tronc d'arbre amputé aux branches coupées. Les formes les formes de la sculpture sont déstructurées, fragmentées. Il n'y a pas de détails superflus. Elles s'arrondissent parfois ou au contraire dessinent des angles. Dans certains endroit elles sont géométriques, elles

J'appelle Melppmène en sa vive fureur, Au lieu de l'Hippocrène, esveillant cette sœur Des tombeaux rafraischis, dont il faut qu'elle sorte, Affreuse, eschevelée, et bramant en la sorte Que faict la biche après le fan qu'elle a perdu ; Que la bouche luy saigne, et son front esperdu Face noircir du ciel les voûtes esloignées ; Qu'elle esparpille en l'air de son sang deux poignées, Quand, espuisant ses flancs de redoublez sanglots, De sa voix enrouée elle bruira ces mots :La mort joue elle-même

sait plus où donner de la tête , mais il se dit : « Je vais être direct avec lui et lui dire c'est note médiocre , après tout cela lui apprendra à vouloir faire mes devoirs de français.» Et d'un coup en déglutissant sa cuillère de soupe il ouvrit la bouche et dit : « Alors fiston , ton devoir eut un franc succès ? Et le petit Béruchard a eu combien ? Euh … , Rétorqua-t-il Béruchard a eu treize . Et moi ? Tu as eu trois papa , un minuscule trois ! S'exclama-t-il Quoi ?

calme, assis sur une chaise où il ne restait que quelques brins de paille. La jeune fille tenta de détourner son regard mais l’attention qu’elle portait à l’homme (qui se prénommait Marius) l’en empêchait. Elle restait là, captivée par sa bouche, cette magnifique bouche, logée entre ses lèvres, les plus vermeille, qui abritaient les dents les plus blanches du monde. Son sourire corrigeait tout ce que sa physionomie avait de sévère. Ses narines ouvertes et passionnées étaient en parfait accord avec son

tels des noisettes lançaient des regards électriques à toute personne qui le dérangeait. Son front était habité pa de rides de vieillesse et de mépris. Son nez suivant le trait de ses sourcils épais était lui aussi large et gros, souvent rouge. Sa bouche, elle, très fine et très peu chaleureuse, ne souriait que occasionnellement de manière hypocrite. Son menton doublé avec le temps, cachait le cou presque inexistant de ce bourgeois. Ses cheveux devenus gris avec la vieillesse étaient quelque peu dégarnis