Bouddhisme theravāda

rythme, et prenne du temps pour soi, que chacun s'offre du temps pour réfléchir. Et vous alliez le dire, j'en suis sur, je l'ai lu sur le bout de votre langue : n'y a-t-il pas de meilleur exemple pour illustrer ma pensée que le bouddhisme et sa méditation ? Le but du bouddhisme, par la méditation, est l'éveil. L'éveil de soi, c'est ça, le but de la réflexion. Et la méditation peut très bien servir de réflexion, tant que aboutissement est l'éveil de soi par rapport au monde qui nous entoure. Et c'est

individus, qui cherche des réponses à des questions, qui dépasse le simple questionnement et qui demande une réelle recherche, se sont tournés vers d’autres pratiques. En restant dans un contexte un tant soit peu religieux, les religions comme le bouddhisme ou le confusionnisme impliquent un travail de soi plus intense avec des séances de méditation. La méditation est l’exercice de la contemplation, elle permet d’approfondir le sens d’un sujet métaphysique ou philosophique. C’est par cet acte qu’un

le but de pratique méditative afin de réaliser son identité spirituelle). La méditation implique généralement que le pratiquant amène son attention de façon centripète sur un seul point de référence1 . La méditation est au cœur de la pratique du bouddhisme, de l'hindouisme, du jaïnisme, du sikhisme, du taoïsme, du yoga, de l'islam, de la chrétienté ainsi que d'autres formes plus récentes de spiritualité mais également médicale. C'est une pratique visant à produire la paix intérieure, la vacuité de

.Lnde : Bouddha et le bouddhisme Introduction Le bouddhisme est apparu au Ve ACN en Inde. Il aurait 彋? cr澭 par un homme appel?Siddh漷ta Gautama ou Sakyamuni (ce qui signifie : ?le Sage du clan des Sakya ?. Qui est le fondateur du bouddhisme ? Autrement dit : qui 彋ait Bouddha ? Bouddha est un grand nom dans listoire de la philosophie ainsi que dans le bouddhisme qui est la plus ancienne des religions dsie. Il semblerait qul soit ?lrigine de cette religion que

En quoi le crime, pour Durkheim, constitue-t-il un fait social ? Dans Règles de la méthode, Durkheim définit ainsi le fait social : « est fait social toute manière de faire, fixée ou non, susceptible d’exercer sur l’individu une contrainte extérieure ou bien encore, qui est générale dans l'étendue d'une société donnée tout en ayant une existence propre, indépendante de ses manifestations individuelles». Le fait social est extérieur à l’individu dans la mesure où il le dépasse temporellement :

moine bouddhiste Zen est assis avec son élève. Ils sont tous deux sur une pierre à contempler l'infini de la voûte céleste. "- Dites moi, Maître, qu'est ce que le Zen ? - Le Zen, lui répondit le Maître. - Dites moi, Maître, qu'est ce que le Bouddhisme ? - Le Bouddhisme, lui répondit le Maître." Ce qui est, est. J'ai une graine dans la main droite. Je me tiens debout, devant une forêt. Je compte bien parvenir à planter cette graine, dans la forêt que je perçois. Chaque personne ayant étudié la Kabbale

chrétienne ou une juive est licite, le mariage d'une musulmane à un non musulman est totalement réprouvé sauf si ce dernier se convertit. Par ailleurs, le mariage avec les polythéistes ou les irréligieux est interdit tant qu'ils ne sont pas convertis Le Bouddhisme : Dans le monde bouddhiste et les religions asiatiques en général, il n'y a pas d'opposition idéologique au mariage interreligieux. Néanmoins, la participation à certains rites (culte des ancêtres p.ex.) ou l'adoption de certaines pratiques (végétarisme(5))

notamment s’intéresser à la Société du Lotus, qui loin de vouloir empêcher le savoir de se diffuser, dispose d’une grande école religieuse (bouddhiste) appelée École du Lotus, cherchant simplement à instruire et partager des connaissances autour du bouddhisme. Or depuis quand le simple apprentissage d’une religion s’avère-t-il être un danger? Par ailleurs, on dénote également la présence de l'École Essentialiste où personne ne paye ou n'est payé pour l'enseignement qui y est donné car il est gratuit

observation d’un moment, exprimée avec des mots simples visant à traduire une émotion, l’effacement (dans le sens de neutralité) du poète, l’effet de juxtaposition d’images immédiates chez le lecteur, l’existence supposée d’un lien entre le haïku et le bouddhisme zen sont autant de critères entrant dans la définition du haïku et qui ont fait et font toujours aujourd’hui l’objet de multiples discussions parmi les théoriciens du genre. L’utilisation ou non de figures de rhétorique dans le haïku est ainsi

Ne désire-t-on que ce dont on manque ? Introduction : Étymologiquement le mot « désir » provient du latin desiderare signifiant « regretter l’absence de quelqu’un ou de quelque chose ». Desiderare dérive, avec le verbe considerare qui signifie « constellation d’étoiles ». Ces deux verbes appartiennent à la lange des prêtres de l’Antiquité chargés de lire les présages, les augures, inspirés par l’observation du ciel étoilé. Considerare, c’est contempler le ciel étoilé, alors que desiderare, c’est