Boue rouge

«sauveur» avance à découvert ne craignant pas l’attaque ennemie et n’étant pas soucieux non plus de se défendre. 2) Les couleurs dominantes sont des nuances de brun et de rouge, gris bleuté. Les couleurs sont sombres, ternes.. Mais la couleur dominante reste le brun, celle de la boue, de la terre, des tranchées et le rouge qui représente le ciel, la violence, le sens, les combats… III – Interprétation du tableau : On peut dire qu’aux yeux d’Otto Dix la guerre est un cauchemar avec plusieurs

peut voir du feu, un ciel bleu strié de faisceaux bleus et rouges qui représentent peut-être les retombées d'Obus. Il y a de la fumée qui représente surement les nuées toxiques. La pluie tombe pour montrer que l’univers des soldats est un univers de boue. C'est un paysage dévasté dans une vallée à cause de la guerre Cette œuvre représente une scène historique (la bataille de Verdun). Le tableau est une composition abstraite de la bataille puisqu’elle ne présente pas les choses en réalité (il

: elles sont très sombres, tantôt froides (noir, gris…), tantôt chaudes (beaucoup de tons rouges et ocres) mais toutes sont associées à la mort et à la destruction. Les couleurs les plus employées sont le gris, le marron et le rouge. Elles symbolisent la pluie, la boue et le sang dont parlent tous les témoignages de poilus. Parallèle Otto dix inscrit donc son travail dans une perspective religieuse. Il s’inspire en particulier de l’un des retablesles plus célèbres : le retable d’Issenheim (Alsace)

guerre. LES COULEURS : elles sont très sombres, elles sont froides, noir, gris, chaudes, beaucoup de tons rouges mais toutes sont liées à la mort et à la destruction. Les couleurs les plus utilisées sont le gris, le marron et le rouge. Elle évoque la pluie, la boue et le sang dont témoignent les poilus. Conclusion : Cette œuvre est dure mais aussi très riche. Elle sert à dénoncer les monstruosités de la guerre. Otto Dix dresse un portait à la fois très crue et réaliste de ce dont il a été

et la mort s’opposent par les nombreuses réflexions sur les couleurs. En effet le rouge et le blanc s’oppose très souvent : les géraniums rouges avec le visage pâle de Pérez qui s’évanouir, la terre couleur sang et la chair blanche des racines sur la bière de sa mère. Mais aussi le noir très présent dans l’extrait : le noir du goudron, le chapeau du cocher en cuir bouilli semblait avoir été pétri dans cette boue noir. Et cette conclusion que fait Pérez est très révélatrice : « j’étais un peu perdu

L’extérieur de ce vieux château était triste et lugubre OUH-OUH, avec ses pierres couleur de jais mais il n’était pas dépourvu d’un certain charme grâce à ses allées garnies de magnifiques roses noires comme des corbeaux. Un escalier couvert d’un tapis rouge sang conduisait à la porte d’entrée au-dessus de laquelle on pouvait apercevoir le portrait d’une jeune femme au teint digne de Blanche-Neige. Elisah-Naomi C’était le portrait de la propriétaire, la princesse Jessica, à qui ses parents avaient acheté

ruines : des restes de maison écroulées ou calcinées et le paysage est désertique. Il y à aussi encore quelques arbres par ci par là. Au fond du tableau, on peut apercevoir des montagnes. Le ciel a plusieurs couleurs : au fond, vers les montagnes, il est rouge-orangé, puis il dégrade vers le noir sur le milieu du ciel, puis sur la gauche du tableau, il devient bleu ou même blanc. La troisième partie, est située à la droite du triptyque et mesure 204 cm x 102 cm. Elle représente, au 1er plan, un homme

les artistes qui l’utilisent encore. Les couleurs dominantes Pour ce tableau, Otto Dix utilise toute une gamme de gris, de brun, et de rouge. Le gris marque les soldats : leurs casques, leurs vêtements, et leurs armes. Le brun est utilisé pour représenter la terre des tranchées, la boue c’est-à-dire l’environnement quotidien des soldats de la guerre 14-18. Le rouge est utilisé pour le ciel tourmenté (panneau de gauche), le tas de viscères (panneau centrale) et pour le feu du champ de bataille (panneau

Les Elles sont très sombres, tantôt froides (noir, gris…), tantôt chaudes (beaucoup de tons rouges et ocres) mais toutes sont associées à la mort et à la destruction. Les couleurs les plus employées sont le gris, le marron et le rouge. Elles symbolisent la pluie, la boue et le sang dont parlent tous les témoignages de poilus. Elle est très lisse, on ne peut distinguer les coups de pinceaux. Cet effet est dû à la technique utilisée (tempera et glacis). Il s’agit d’une des premières techniques utilisées

régnait la potence, par lagrâce de Dieu. À six ans, je n’avais plus ni père ni mère ; l’été, je faisais la roue dans la poussière au bord des routes, pour qu’on me jetât un sou par la portière des chaises de poste ; l’hiver, j’allais pieds nus dans la boue en soufflant dans mes doigts tout rouges ; on voyait mes cuisses à travers mon pantalon. À neuf ans, j’ai commencé à me servir de mes louches, de temps en temps je vidais une fouillouse, je filais une pelure ; à dix ans, j’étais un marlou. Puis j’ai