Bougival

F par an, plus 600 F donnés par son père, et “ tire le diable par la queue ”. A cette époque, il passe au ministère de l’Instruction publique. Il y reste jusqu’en 1880, puis se met en congé (il est rayé des cadres en 1882). Canotage : Chatou, Bougival, Argenteuil, en 1873 (il est surnommé “ Joseph Prunier ” dans son groupe d’amis) ; puis 1875, à Bezons. Il loue une chambre à l’auberge Poulin. Joyeuse vie ; des filles, prouesses sexuelles. Les effets d’une syphilis se font sentir dès 1877. Cure

d'accepter l'hospitalité de sa famille à Saint-Adresse. A son retour il partage l'atelier de Bazille. Dans le courant de l'année 1868, il s'installe à Bonnières-sur-Seine, Fécamp, Etretat. Mais en 1869, il séjourne à Saint Michel, sur la Seine, près de Bougival. Il peint alors avec Renoir La Grenouillère, pittoresque embarcadère autour duquel s'agitent continuellement les barques et les promeneurs aux vêtements multicolores. En 1870, il épouse son ancien modèle Camille Doncieux, la compagne dont

d'optique de la lumière et de la couleur qui les passionnaient était plus intense. Un carrefour important de l'évolution de Monet fut lorsqu'il peignit en 1869 avec Renoir une série de tableaux à La Grenouillère, un lieu de loisirs et de rencontre à Bougival très prisé des Parisiens, avec baignade, canotage et un restaurant flottant. Les toiles qu'ils peignirent en travaillant avec des touches de couleur rapides et vigoureuses, correspondant à l'animation turbulente du petit monde qui s'y pressait, marquent

conséquent, je n'ai plus peur de l'attraper ! ... » — 8 Pendant huit ans, de 1872 à 1880, sa distraction est le canotage sur la Seine, toujours en galante compagnie, le dimanche, et pendant les vacances. Il va à Bezons, Argenteuil, Sartrouville, Chatou, Bougival et le plus souvent se rend à l’auberge Poulin à Bezons, à la Maison Fournaise à Chatou et à La Grenouillère, un radeau-établissement de bains située face à Croissy-sur-Seine9,10. Une autre activité de Maupassant est la chasse : il ne manquera que

conséquent, je n'ai plus peur de l'attraper ! ... » — 10 Pendant huit ans, de 1872 à 1880, sa distraction fut le canotage sur la Seine, toujours en galante compagnie, le dimanche, et pendant les vacances. Il va à Bezons, Argenteuil,Sartrouville11, Chatou, Bougival et le plus souvent se rend à l’auberge Poulin à Bezons, à la Maison Fournaise à Chatou et à La Grenouillère, un radeau-établissement de bains située face à Croissy-sur-Seine12,13. En compagnie de ses amis, « Tomahawk » (Henri Brainne), « Petit Bleu »

le déjeuner traditionnel des environs de Paris. Il ne nous restait plus qu'à savoir où nous irions. Ce fut encore Prudence qui nous tira d'embarras. – Est-ce à une vraie campagne que vous voulez aller ? demanda-t-elle. – Oui. – Eh bien, allons à Bougival, au Point-du-Jour, chez la veuve Arnould. Armand, allez louer une calèche. Une heure et demie après nous étions chez la veuve Arnould. Vous connaissez peut-être cette auberge, hôtel de semaine, guinguette le dimanche. Du jardin, qui est à la hauteur

déjeuner traditionnel des environs de Paris. – 180 – Il ne nous restait plus qu'à savoir où nous irions. Ce fut encore Prudence qui nous tira d'embarras. – Est-ce à une vraie campagne que vous voulez aller ? demanda-t-elle. – Oui. – Eh bien, allons à Bougival, au Point-du-Jour, chez la veuve Arnould. Armand, allez louer une calèche. Une heure et demie après nous étions chez la veuve Arnould. Vous connaissez peut-être cette auberge, hôtel de semaine, guinguette le dimanche. Du jardin, qui est à la hauteur

Maître, Maupassant s'est trouvé un dérivatif puissant : le canotage. Chaque week-end, dans sa yole "l'Étretat" qu'il remise à Bezons chez l'aubergiste Poulain, il rame le long des berges fleuries de la Seine, ivre d'air pur, en direction de Chatou, de Bougival, de l'île du Pecq aux guinguettes tressautantes sous le cancan, entre les barques effilées des "camarades", Léon Fontaine et Robert Pinchon, alias La Tôque et Petit Bleu, les comparses attendris de "Mouche" (1890). A l'approche de la belle saison

déjeuner traditionnel des environs de Paris. Il ne nous restait plus qu’à savoir où nous irions. Ce fut encore Prudence qui nous tira d’embarras. – Est-ce à une vraie campagne que vous voulez aller ? demanda-t-elle. – Oui. – Eh bien, allons à Bougival, au Point-du-Jour, chez la veuve Arnould. Armand, allez louer une calèche. Une heure et demie après nous étions chez la veuve Arnould. Vous connaissez peut-être cette auberge, hôtel de semaine, guinguette le dimanche. Du jardin, qui est à la hauteur

le déjeuner traditionnel des environs de Paris. Il ne nous restait plus qu’à savoir où nous irions. Ce fut encore Prudence qui nous tira d’embarras. – Est-ce à une vraie campagne que vous voulez aller ? demanda-t-elle. – Oui. – Eh bien, allons à Bougival, au Point-du-Jour, chez la veuve Arnould. Armand, allez louer une calèche. Une heure et demie après nous étions chez la veuve Arnould. Vous connaissez peut-être cette auberge, hôtel de semaine, guinguette le dimanche. Du jardin, qui est à la hauteur