Bougival

pour lui une sorte de mentor littéraire, guidant ses débuts dans le journalisme et la littérature. Chez Flaubert il rencontra le romancier Ivan Tourgueniev (un écrivain et dramaturge russe, né le 9 novembre 1818 à Orel et mort le 3 septembre 1883 à Bougival) et Emile Zola (un écrivain et journaliste français, né à Paris le 2 avril 1840 et mort dans la même ville le 29 septembre 1902), ainsi que de nombreux écrivains appartenant aux écoles naturaliste(c’est un mouvement littéraire qui désigne un ensemble

« vertige ». Les souvenirs personnels de l’auteur Maupassant a beaucoup recours, dans cette nouvelle, à ses propres observations et souvenirs. Les paysages lui sont familiers dans sa propre existence. Lui-même canotait souvent sur la Seine entre Bougival ou encore Chatou. Cela lui permet de porter un regard ironique, voire critique et moqueur sur l’admiration béate des citadins Dufour lors de leur escapade. Malgré la brièveté de la nouvelle, Maupassant prend grand soin de nous décrire les lieux

RESUME – LE HORLA GUY DE MAUPASSANT(1886) Le Horla est une nouvelle fantastique écrite par Guy de Maupassant et parue pour la première fois en 1886. Elle est rédigée sous la forme d’un journal intime où le narrateur relate une partie de sa vie. I. Les personnages principaux Le narrateur Le nom du narrateur n’est pas connu. Il rédige régulièrement, en mentionnant les dates, des notes sur sa vie, ses sentiments et ses angoisses. Ses écrits laissent apparaître de façon progressive sa paranoïa

je n'ai plus peur de l'attraper ! ... » — 8 Pendant huit ans, de 1872 à 1880, sa distraction est le canotage sur la Seine, toujours en galante compagnie, le dimanche, et pendant les vacances. Il va à Bezons, Argenteuil, Sartrouville, Chatou, Bougival et le plus souvent se rend à l’auberge Poulin à Bezons, à la Maison Fournaise à Chatou et à La Grenouillère, un radeau-établissement de bains située face à Croissy-sur-Seine9,10. Une autre activité de Maupassant est la chasse : il ne manquera que

aide ne fut que partielle. S'il sut conserver une structure à ses paysages, il se plia toujours aux nécessités de son thème, laissant libre cours à sa sensibilité. Il travailla essentiellement dans la vallée de la Seine et ses environs : Marly, Bougival, Louveciennes (1872-1876), Sèvre,Suresne, Sait-Mammès (1877-1882). Il se retira dans la petite ville de Moret où il résida jusqu'à sa mort. 5 Le pont de Villeneuve-la-Garenne ( 1872 ) Huile sur toile

de ses œuvres de la décennie 1870. On peut apercevoir dans ce tableau un nouveau modèle, Aline Charigot, qui deviendra sa femme en 1890 et la mère de ses trois enfants, Pierre, Jean (le cinéaste) et Claude dit "coco". Les trois danses (Danse à Bougival, Boston; Danse à la ville et Danse à la campagne, Musée d'Orsay, vers 1883) témoignent aussi de cette évolution. Entre 1881 et 1883, Renoir effectue de nombreux voyages qui le mènent dans le sud de la France (à l'Estaque, où il rend visite à Cézanne)

Marguerite? Mon père s’arrêta, me regarda avec dédain, et se contenta de me répondre: — Vous êtes fou, je crois. Après quoi, il sortit en fermant violemment la porte derrière lui. Je descendis à mon tour, je pris un cabriolet et je partis pour Bougival. Marguerite m’attendait à la fenêtre.

moderne de Manet, éclaircissement de la palette conseillé par Diaz) s'ajoute en effet l'intérêt de plus en plus vif pour toutes les variations de la lumière. Travaillant ensemble durant l'été 1869 à « La Grenouillère », dans l'île de Croissy près de Bougival, Claude Monet et Renoir tentent de rendre dans leur peinture le miroitement du fleuve, tous les reflets du soleil multipliés par le frémissement de l'eau. Renoir, plus sensible à la présence humaine et à celle des objets, attentif à l'ensemble,

qu’il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de distinguer leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l’avait tellement gêné et contre quoi il s’était battu avec force et vigueur … Au vide grenier de Bougival, il rencontra à nouveau le Vieux Sage qui achetait un chandelier à trois branches, « Qu’as-tu appris sur le chemin ? » demanda ce dernier. « J’ai appris, répondit le Prince, qu’en étant en accord avec moi-même, je n’avais plus rien à reprocher

mère au chapeau en 1860 La Pie, Musée d'Orsay, Paris en 1868 La Promenade en 1875 La Promenade, Madame Monet et son fils en 1875, exposé à Washington La Route rouge près de Menton en 1884 La Rue Montorgueil en 1878 La Seine à Bougival le soir en 1869 La Seine à Vétheuil, Musée Malraux, Le Havre en 1878 La Tamise à Westminster en 1871 Le Bateau atelier en 1876 Le Chêne, forêt de Fontainebleau en 1865 Le Déjeuner en 1868 Le Déjeuner en 1873 Le Jardin