Boulevard Victor

corpus est constitué de trois textes, portant sur la description physique et sociale des héroïnes de ces textes. Le premier extrait est de Gustave Flaubert, Mme Bovary de 1857, dont le mouvement est réaliste, le second extrait Les misérables écrit par Victor Hugo, en 1860 dont le mouvement est romantique et réaliste, enfin, le troisième extrait L'assommoir d’Émile Zola, écrit en 1876, dont le mouvement est le naturaliste qui découle du réalisme. Il s'agira de montrer ici quels sont les aspects de ces

|Adresse Office du Tourisme | |Hendaye |67 Bis boulevard Mer 64700 Hendaye | |Saint Jean-de-Luz |20 boulevard Victor Hugo BP 265 64500 Saint Jean-de-Luz | |Biarritz |1 square d'Ixelles 64200 Biarritz

dimanche de 09h30 à 18h30. 5 rue Lobau 75004 Paris / Tél.: 01 42 76 50 49 www.paris.fr MAISON DE VICTOR HUGO Visite libre samedi et dimanche de 10h à 18h. Visite contée « L’art d’être grand-père », d’une durée d’1h30, samedi à 10h et 11h30, inscription au 01 42 72 69 49. « Correspondances : Hugo et ses correspondantes féminines » : Découvrez la correspondance de Victor Hugo avec les femmes Victor Hugo, avec 2 conférenciers, samedi à 14h30, 15h, 15h30 et 16h et dimanche à 11h30. 6 place des Vosges

Victor Hugo est un grand écrivain romantique, un poète classique et aussi un homme politique, un intellectuel engagé. En 1851, Louis Napoléon Bonaparte a renversé la II République par un coup d’Etat. Un comité de résistance était établi, au premier rang desquels se trouvait Victor Hugo. Dans le massacre de boulevard du quatre décembre, il s’est rendu dans la rue Tiquetonne, chez la grand-mère de l’enfant qui venait d’être tué. Le lendemain, recherché par la police, il était contraint d’abandonner

et « il passait son temps à se promener aux Tuileries et au boulevard ». Paul Foucher l’avait mis en relation avec Victor Hugo. Il fut admis dans le cénacle romantique et s’y grisa de savoureuses discussions littéraires. Il fréquenta aussi le salon de Nodier et courut les femmes auxquelles plaisaient sa grâce élégante, sa fatuité et les ardeurs de sa jeunesse. Il commença à rimer des poésies qui, tour à tour, étaient du Chénier ou du Victor Hugo et il traduisit (1828) de la manière la plus inexacte

Paris au temps des misérables Victor Hugo a commencé à écrire Les Misérables en 1845 sous le titre Les Misères. Puis il "les" a abandonné pendant quinze ans. Il les reprend en 1860, et la première partie du livre paraît le 3 avril 1862. Les quatre autres parties sont publiées dans la foulée. C'est un immense succès populaire. Victor Hugo, dans la préface des Misérables, affirme la mission morale, sociale, et politique qu'il s'est fixé en créant cette épopée : "Tant qu'il existera, par le

qui ont dit à l’homme abandonné, avec des yeux clignotants et spirituels: ‘‘Prends-moi avec toi, et de nos deux misères, nous ferons peut-être une espèce de bonheur!’’ Les immenses villes … reprend-il. Walter Benjamin a noté que contrairement à Victor Hugo, il n’y avait pas chez Baudelaire de description de la ville. Sa ville est une ville abstraite, métaphysique, voire théologique. Il cite Le cygne (Fleurs du mal) : Le vieux Paris n’est plus (la forme d’une ville / Change plus vite hélas que le

malgré le succès pas bonnes tragédies. Marivaux, Beaumarchais créent théâtre de l’engagement (prérévolutionnaire) en lien avec philo des lumières. XIXe s : 1ère salles de théâtre crées. Drame romantique (Victor Hugo et Chateaubriand avec pièce Hernani) bouleverse toute l’action. Théâtre de Boulevard/ Vaudeville : théâtre populaire (Rostand). III. XXème siècle : Libération des auteurs de toutes les conventions Références antiques très présentes dans certaines pièces (Antigone d’Anouilh). Théâtre

valeurs de la III ème république clôturent ce siècle. Durant cette période des courants importants vont toucher tous les arts, il s’agit du : romantisme, réalisme, naturalisme, symbolisme. De nombreux artistes et écrivains ont marqués ce siècle comme Victor Hugo, Emile Zola, Maupassant, Jules Verne, Rimbaud, Verlaine, Baudelaire ils se son distingués dans des genres comme la poésie, le théâtre et le roman. I La richesse artistique du XIXe s Dans le domaine des arts, à coté du néo-classicisme officiel

divertissement improvisé sur un léger canevas. Ce théâtre de salon est encore en vogue vers 1830, témoignant par là du déclin de la comédie, non seulement celle de Molière, mais aussi la comédie populaire considérée comme genre mineur (comédies de boulevard, vaudevilles, mélodrames…). La réactualisation du proverbe figure comme tentative de renouvellement du genre. La visée morale du proverbe s’observe dans son titre qui prend souvent la forme d’un avertissement ou d’une leçon, d’une interdiction