Boulevard Voltaire

privilèges régissent encore la réussite des salles de spectacle. Dans une période historique bouleversée, les spectateurs boudent les salles prestigieuses comme l’Odéon ou encore le Théâtre-Français et se tournent davantage vers le théâtre de boulevard. c. Le mélodrame, à la frontière des deux siècles C’est là que l’on joue le mélodrame, genre apparu à la fin du XVIIIe siècle. Inspiré d’abord des pantomimes et de l’opéra-comique, il est surtout défendu par Guilbert de Pixérécourt qui en écrira

l'Europe tout entière. Toute éducation aristocratique complète doit comporter un voyage à Paris, les échos de la vie littéraire des gazettes sont attendus, les classiques français circulent, les souverains appellent les écrivains comme conseillers (Voltaire, Diderot), la langue aussi se diffuse : en 1714, le traité de Radstadt, avec l'Empereur d'Autriche n'est rédigé qu'en français, signe d'une langue des élites. C'est Maupertuis, un savant et philosophe français qui préside l'académie de Berlin. Les

Révolution étant donné qu'il offre l'expression de « bons sentiments » conforme à l'idéal républicain. Il sera abandonné avec l'arrivé de Napoléon au pouvoir. A partir des année 1840 il réapparaîtra sous la forme de « théâtre de boulevard » qui reprend l'esthétique des boulevards de l'ancien Paris. Ici les pièce jouées sont un pur divertissement généralement promues par des théâtre privés. Alexandre Dumas fils avec Dame aux camélias va rencontrer un grand succès dans le genre. Il s'agit d'une pièce

en 1701 afin de contrôler les productions. Le théâtre populaire qui se joue lors des foires parisiennes de Saint-Germain et Saint-Laurent ouvre cependant la voie à de nouvelles formes de théâtre de divertissement. L'"opéra comique" et le théatre "de boulevard" y font leurs premiers pas. La professionnalisation des spectacles de la foire inquiéte la Comédie-Française, qui y voit une dangereuse concurrence. Après de nombreux procès, elle obtient l'interdiction des pièces dialoguées. Mais c'est compter

ses eaux dans les différentes parties de la ville basse. Partout où le terrain les empêche d'arriver, de vastes citernes recueillent l'eau de pluie et rendent le même service. Un rempart haut et large ferme l'enceinte, coupé de tourelles et de boulevards ; un fossé sec mais profond et large, rendu impraticable par une ceinture de buissons épineux, entoure l'ouvrage de trois côtés ; le fleuve occupe le quatrième. Les rues ont été bien dessinées, à la fois pour servir le trafic et pour faire obstacle

?, Paris, 1983, 128p. CONDEMI Concetta, Le café-concert à Paris 1849-1914, essor et déclin d’un phénomène social, thèse EHES, 1989, 556 p + annexes. CONDEMI Concetta, Les cafés-concerts, histoire d’un divertissement (1849-1914), Editions Quai Voltaire Histoire, Paris, 1992, 205p. DILLAZ Serge, La chanson sous la IIIe République 1870-1940, Tallandier, Paris, 1991, 314p. FESCHOTTE Jacques, Histoire du music-hall, Puf, Que sais-je ?, Paris, 1965, 128 p. JOSEPH Mathilde, Le poilu du music-hall

une édition « rarissime [et qui serait] parue en 1703 à Paris, chez Cellier » (Wolff 63). Au XVIIIe siècle, Fufelier, de son côté, réécrit le texte et fait de la Matrone d’Éphèse une pièce en trois actes qui est jouée à l’opéra comique en 1714 et Voltaire, en 1747, parlera de cette histoire dans son conte philosophique Zadig. Au XIXe siècle, selon Mudry, « c’est Musset ou encore Guy de Maupassant » (Mudry 43) qui reprennent le conte mythique. Au XXe siècle, ajoutons Jean Richeplin qui reprend le conte

François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 à Paris, ville où il est mort le 30 mai 1778 (à 83 ans), est un écrivain et philosophe français qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale. Figure emblématique de la philosophie des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre le fanatisme religieux, qu’il nomme « l’Infâme », pour la tolérance et la liberté de pensée

étouffe le génie, Et le pupitre égare l’écrivain. C’est sans doute sans aucune prétention, ni aspiration à la postérité que furent écrit ces quelques vers, aussi nous faut il prendre du recul par rapport à la valeur ou non d’un poème. Dans Zadig, Voltaire commente que ‘’des vers impromptus ne sont jamais bons que pour celle en l’honneur de qui ils sont faits’’. Cela ne retire en rien la qualité d’un poème de circonstance, simplement il n’est pas atemporel. Si l’on critique aujourd’hui farouchement

Henri Monnier Un soldat doit être prêt a mourir pour sa patrie, même au péril de sa vie. Henri Monnier Si haut que l'on soit place, on n'est jamais assis que sur son cul. Montaigne On parle toujours du boulevard des Filles du Calvaire, mais jamais du calvaire des filles du boulevard. Rochefort Les cures se consolent de n'être pas maries quand ils entendent les femmes se confesser. Armand Salacroix Que l'on meurt gros ou maigre, la différence, c'est pour les porteurs. Peter Ustinov