Bourrage de crâne

en 1917 (elle ne fut abrogée officiellement qu’en état de siège en 1919). b. « Bourrage de crâne » ou propagande ? • Contrôle de la presse → préservation des secrets militaires + acceptation large de la guerre → encadrement opinion publique → « bourrage de crâne ». • Bcp de français ont déduit que la presse avait usé délibérément du mensonge (ex : elle disait que les armes allemandes ne tuaient pas). • Bourrage de crâne à relativiser → il faut plutôt parler de propagande, car ses vecteurs ont été

évènements, des personnes ou des enjeux, de façon a endoctriner ou embrigader une population et la faire agir et penser d’une certaine manière. Elle a sévit principalement pendant les guerres. En bref, c’est l’interception, ou plus vulgairement le «bourrage de crane», sur une idée en laquelle les gens puissants veulent que la population croit et adhèrent. La propagande existe depuis longtemps, mais on la connait le plus a l’époque des premières et secondes guerres mondiales. Des affiches et des textes étaient

Le mouvement Dada : Un peu avant la fin de la guerre, des mouvements Dadas sont créés dans les grandes villes allemandes Berlin, Hanovre et Cologne. Les différents « Manifestes » parviennent à Paris, malgré la censure et le « bourrage de crâne » contre tout « germanisme ». Dada, dit aussi dadaïsme, est un mouvement intellectuel, littéraire et artistique qui, entre 1916 et 1925, se caractérisa par une remise en cause de toutes les conventions et contraintes idéologiques, artistiques et politiques

allumés en permanence et qu’il leur est impossible d’éteindre. Ceux-ci servent à diffuser continuellement des informations mensongères, sous les traits de Big Brother, qui est l’image du Parti et qui manipule les pensées en leur faisant subir un bourrage de crane avec toutes les annonces qui montrent que «le Parti a toujours raison». «Le Parti finirait par annoncer que deux et deux font cinq et il faudrait le croire» (p.111) De plus, le fait d’être perpétuellement sous surveillance

des individus les richesses enlevées aux jeunes, la « classe dominante ». Globalia est désignée par « société démocratique idéale » et les divers termes illusoires vus précédemment permettent la manipulation des esprits et font référence au « bourrage de crane » pratiqué à l’époque des grandes dictatures du siècle passé. Ensuite, l’auteur stigmatise également le système de contrôle des naissances.

kilomètres carrés dévastés. Définitions Front : Zone de guerre où ont lieu les affrontements. Arrière : Population civile, zone hors-combat. Censure : L’interdiction de diffuser des informations qui critique les décisions de l’État (« Bourrage de crâne ») Génocide : massacre contre un peuple tout entier. Mutinerie : Refus d’obéir au pouvoir hiérarchique ; se révolter. Les soldats se sont mutinés. Désertion : Fuite des soldats pour ne pas aller combattre. Réquisition : La prise par

Première Guerre mondiale. Des libertés suspendues= Avec le déclenchement de la guerre, la presse est strictement contrôlée pour éviter une rupture de l’Union sacrée et la démobilisation de l’ « arrière ». Ce retour à la censure est qualifié de « bourrage de crâne ». La crise politique est évitée au prix de la liberté d’expression. Le maintien d’une presse libre= Pour lutter contre ce contrôle, une nouvelle presse libre apparaît. Le 1er septembre 1915, est fondé le Canard Enchainé, journal satirique

certains journaux ) après la faillite qui devient un scandale antisémite ( financiers véreux et juifs ) 1914-1918 : relativisation de la liberté de la presse = retour de la censure ( guerre )  information sous contrôle militaire : journaux = bourrage de crâne = vecteurs propa. ≠ journaux de tranchée / ≠ Le Canard Enchainé ( montre la censure ) Années 30 : crise économique / grande dépression ( crise politico-sociale ) = - presse  critique de la IIIème Rép ‘ vieux régime’ et de l’Etat qui dirige

pourchassé dès 1930 par les nazis – pour son pacifisme comme pour ses origines – émigre en Suisse, puis aux États-Unis ; son livre subit un autodafé nazi le 10 mai 19332. Paul Bäumer est un jeune allemand de 19 ans. Après avoir été soumis à un bourrage de crâne patriotique par leur professeur, Kantorek, tous ses camarades de classe et lui-même s'engagent volontairement dans l'armée impériale allemande. Après dix semaines d’entraînement, la rencontre du fameux caporal Himmelstoss et la brutalité de la

soutient les civils. Les journaux sont soumis à la censure dès le début de la guerre. Ne sont donc publiés que les communiqués rassurants et les reportages qui montrent l’héroïsme des combattants ou qui dénoncent l’atrocité des Allemands. Le bourrage de crâne invoque sans cesse l’Alsace-Lorraine perdue. Les combattants sont particulièrement choqués lors de leurs permissions, lorsqu’ils découvrent l’insouciance de l’arrière et l’enrichissement des profiteurs de guerres ; comme le dit la chanson