Bourrage de crâne

la guerre : 3 communiqués quotidiens, souvent laconiques et incomplets sont transmis aux journaux. Cela explique le ton très uniforme d’une presse qui se caractérise par son outrance patriotique et par sa complaisance à l’égard des bobards et du bourrage de crânes. A la fin du mois d’août 1914 l’invasion du territoire français est ainsi cachée plusieurs jours au public alors que plusieurs journaux envisagent déjà de quitter la capitale pour se replier vers Bordeaux … Le conflit est présenté comme

soldats fraternisant avec l’ennemi furent punis de mort. d. La propagande est la diffusion d'idées destinées à influencer ou à conditionner le comportement humain. Elle se manifestera principalement sur les journaux de l’époque. On appellera bourrage de crane le procédé qui essayera faire comprendre à la population française et aux familles que la France se bat pour le droit, qu’elle participe à la lutte du bien contre le mal, que les pays alliés participent à la défense de l'humanité et de la civilisation

fut ma plus grande souffrance que l’idée de ne jamais vous revoir» Gaston Biron (lettre 18). Chaque famille est touchée par la mort d'un proche envoyé au front et vit donc dans l'angoisse. Les civils sont soumis à une intense propagande: le «bourrage de crâne» de l'État afin qu'ils gardent le moral et participent au financement de l'effort de guerre. Le mot «cafard» devient un élément habituel du langage des combattants aux tranchées et peut désigner n’importe quelle affection psychologique, la dépression

illustre bien ce fait : le culte de la personnalité du « petit père Staline ». Sa présence sur toutes les affiches prônant le bien du communisme a permis de leurrer l’opinion publique sur la vérité de sa politique. Le peuple étant victime d’un « bourrage de crâne » ou chaque individu n’agréant pas aux fausses informations était destiné à une mort imminente La démocratie permet une grande liberté d’expression. Nous le voyons à travers la presse écrite, par exemple, dans laquelle la diversité des opinions

secteurs de l'économie . Doc 4 p 27 Répondre à la question relative au doc . Pour maintenir le moral et l'union nationale , l'Etat censure , contrôle le courrier et la presse . La propagande minimise les effets de la guerre . C'est le" bourrage de crâne ". VI LA SOUFFRANCE DES POPULATIONS CIVILES A La pénurie et les massacres Doc 3 et 4 de la fiche polycopiée. Le document 3 est une lettre de permissionnaire sur la vie à l'Arrière. Le document 4 est un extrait de l'appel à la

Anglais et Français (Renault) fournissent de nombreux avions et chars d’assaut. La propagande a travers la presse, les affiches et le cinéma, joue un rôle important pour permettre aux civils de garder le moral. Mais elle devient vite le « bourrage de crane ». Cette guerre entraine la « brutalisation » des individus confrontés a l’horreur quotidienne. L’économie au service de la guerre. - pour financer une guerre très couteuse, les Belligérants (part. au conflit) on recourt a l’économie

Allemande. *2 blocs rivaux à la veille de la guerre. Personne n’a voulu cette guerre mais personne n’a cherché à enrayer le processus. *Les combattants sont victimes brutalisation, de démodernisation, d’ennui. *Les civils sont victimes, de « bourrage de crâne », du deuil, de privations, de violences subies. *Par contre, évolution de la condition féminine (autonomie financière, mode plus aérée…) BILAN : En 1918, la 1 Guerre Mondiale est la guerre la plus sanglante de l’histoire. Le pacifisme

1ere Guerre mondiale est-elle une guerre totale ? Il y a la mobilisation militaire (70 millions de soldats), des femmes (munitionettes), des industries (Armes fabriqués par Renault), des finances (emprunts nationaux), des médias (propagande, bourrage de crâne). Les civils sont aussi victimes (Arméniens, Belges…) Les révolutions Russes de 1917 : -La révolution de février 1917, à Petrograd, est due à la hausse des prix, à la pénurie et à la guerre. Cependant les conséquences de la révolution causer

autour des autorités. Des ministres socialistes sont appelés au gouvernement et, pendant les deux premières années du conflit, cette attitude n'est pas vraiment remise en question. La censure est instaurée dans la presse. Une propagande massive ('bourrage de crâne') se développe pour faire accepter les sacrifices et les efforts. La prolongation du conflit entraine une évolution de la situation et une réapparition des tensions. L'année 1917 est une année à crise. A côté des mutineries au front se développent

« de grossir démesurément », voire de « mentir » afin d’encourager le nationalisme et le ressentiment contre les Allemands, ce dont s’aperçoit l’auteur de ce texte et qu’il dénonce dans ses Carnets de Guerre. On peut effectivement parler de bourrage de crâne à propos de la propagande pendant la Première Guerre Mondiale. Cette propagande vise à faire croire que l’armée française est bien meilleure que l’armée allemande, et que l’ennemi ne sait pas ce que c’est de s’attaquer à l’armée française