Bourrage de crâne

écrasantes. -Faire appel au patriotisme de chacun, en forcant le peuple de l'arrière à aider celui sur le front en versant de l'or et en travaillant dur pour ramener des vivres aux soldats. En conclusion, la propagande est avant tout du bourrage de crâne pour manipuler aussi bien le peuple que les soldats. Il faut donner la rage à la population pour détruire ses allemands et redonner de l'espoir aux familles. La Première Guerre Mondiale, STRACHAN Hew, Presses de la Cité, 2003 : p.35-63

les civiles doivent payer des frais d'occupation ,faire des travaux forcés sinon ils seront fusillés . Pour rassurer les civils , les État font de la propagande . La presse est alors censurée, le courrier est contrôlé , on parle alors de bourrage de crâne . Mais aussi les dépenses de l'état deviennent considerables , alors l'état fait des emprunts à la population pour acheter des armes (fins militaires) et entretenir les troupes . On peut donc dire que la premiere guerre mondiale est une guerre

poilus en 1917 : lassitude, ras-le-bol, mutineries. Une guerre totale est une guerre où tous les pays sont mobilisés : les soldats et les civils. Guerre totale : réquisitions, reconversion des usines, effort financier demandé à la population, bourrage de crâne, rationnement des soldats puis des civils, femmes à l’usine et aux travaux. La presse est aussi mobilisée : elle doit donner de bonnes nouvelles : elle censure. Les partis politiques doivent oublier leurs différences : ils forment un gouvernement

et la mémoire.Tout d'abord, avec la comparaison, « On ne cesse de criailler à nos oreilles (d'enfants),comme si l'on versait dans un entonnoir » (l.5-6) qui souligne de façon subtile que l'accumulation du savoir est en réalité une sorte de « bourrage de crâne » et quelque chose que l'on force à apprendremais au finale cela n'a aucun intérêt pour l'élève car il ne sait pas le réutiliser après. De plus, avec l'enploi du nom « témoignage » et le complément du nom « de sa mémoire » , « non par letémoignage

(inflation) qui entraînent une difficulté accrue de respecter les obligations financières. Enfin, il n’y aucune possibilité pour les civils de dénoncer leur situation ou de critiquer le gouvernement en raison de la censure et de la propagande (bourrage de crâne) pratiquée par le gouvernement. Ainsi, les difficiles conditions de vies des soldats et des civils poussent les Français au pacifisme. Ce conflit entraînera notamment de profondes transformations dans la société française : émancipation de

population une culture de guerre. Cette culture de guerre doit permettre desoutenir le moral des civils et des soldats dans cette guerre interminable. Elle passe par deux aspects essentiels. Le premier passe par ce que les soldats appellent le « bourrage de crâne ». En effet,dans les premiers temps de la guerre, les Etats et notamment en France ont tendance à minimiser les pertes et à glorifier les actions des soldats au combat. L'objectif est de maintenir l'espoir...

affiche électorale Le financement de la guerre se fait par les impôts, mais aussi par des emprunts auprès des populations ( lourd endettement des Etats qui font des emprunts Une mobilisation de l’esprit : le bourrage de crane Doc 5 p.27 Question 6 « Le bourrage de crâne dans la presse française Leurs projectiles ont très peu d’efficacité et tous les éclats font simplement des bleuc à nos braves soldats » Le Matin, 15 septembre 1914 « Nos troupes se rient de la mitrailleuse. Plus

1939, aux Etas Unis et avait par la suite acquis la nationalité américaine. Après avoir écrit de nombreux livre il décéda à Locarno le 25 septembre 1970. 2) Résumé : Paul Baumer est un jeune homme âgé d’à peine 20 ans. A cause du « bourrage de crâne » exercé par l’un de ses professeurs, il s’engage dans l’armée allemande alors que la première guerre mondiale commence à peine. Il combat sous le drapeau allemand depuis deux ans. Avec lui, quelques camarades de classe et deux amis chers : Kropp

munitionnettes ») et coloniale, des entreprises (Renault), rationnement sur de nombreux produits, recours massifs aux emprunts à l’intérieur et à l’extérieur (en particulier aux Etats-Unis).Les gouvernements mobilisent les esprits par la propagande (« bourrage de crâne » selon les soldats français) qui entretiennent le patriotisme, mais surtout par la censure (le Canard Enchaîné pour contrer) et la surveillance des correspondances. Mais très vite, dès 1916, l’arrière connaît la réalité du front. Les méthodes

pas dans les pays belligérants, les Etats ont fait appel aux soldats des colonies, comme le montre le doc. 1 avec des soldats de Madagascar. Dans cette idée de « guerre totale », il faut savoir que ces soldats font l’objet d’un intense « bourrage de crâne » dont l’objectif est maintenir le moral. Mais la « guerre totale » nécessite également la mobilisation des civils, à l’arrière. En effet, les femmes, les enfants, les vieillards mais aussi les ouvriers de l’usine (doc. 2) participent à l’effort