Bourrasque de neige

un poste privilégié : Zeus observe les actions des hommes, peut intervenir et les corriger. Maître d’en haut, ce dieu commande à toute la machinerie atmosphérique. Il est le maître du temps météorologique : orages, tonnerres, pluies, neige, grêles, foudre, bourrasques, trombes, nébulosités... mais aussi les canicules et les sécheresses. Le dieu peut se montrer dans « son mauvais jour » : Zeus Terpichéraunos (qui aime manier la foudre); Zeus Néphéléghèrétès (qui accumule les nuages) ; Zeus Maïmaktès

l'étrange véhicule.     Le cocher Césaire Horlaville, un petit homme à gros ventre, souple cependant, par suite de l'habitude constante de grimper sur ses roues et d'escalader l'impériale, la face rougie par le grand air des champs, les pluies, les bourrasques et les petits verres, les yeux devenus clignotants sous les coups de vent et de grêle, apparut sur la porte de l'hôtel en s'essuyant la bouche d'un revers de main. De larges paniers ronds, pleins de volailles effarées, attendaient devant les paysannes

L’hiver avançait à grands pas, faisant voltiger des flocons de neige qui s’écrasaient par milliers, dans une danse sournoise sur la ville de Londres. Les avenues étaient désertes en ce temps rude, les gens se précipitaient lorsqu’ils rentraient chez eux après une journée longue et glaciale . Vêtus jusqu’au cou, crispés par le froid, Zayn, un jeune étudiant de 19 ans, était assis ramenant ses jambes vers son torse pour finir en boule, à l’arrière du taxi. Le pakistanais regarder les immeubles défilaient

l’image souligne l’impression d’espace et d’ouverture par de nombreux plans de très grands ensembles qui rappellent le western (notamment le plan où s’inscrit le titre du film et qui montre le personnage de Chris qui semble tout petit dans le champ de neige avec le panorama impressionnant des sommets en arrière plan). Si Chris rappelle le personnage du trappeur, il évoque aussi sans nul doute le cowboy solitaire des terres de l’ouest. b. Une nature inquiétante - par ses brusques variations de lumière

chaque matin, parcourait la ville sans but réel, pour laisser s’échapper les heures inutiles. Un jour de janvier, un matin, presque par hasard, oui, nous pourrions dire par hasard, elle l’a rencontré, c’était un lundi, il était encore tôt, il avait neigé toute la nuit, elle portait des chaussures bleues. Elle a regardé ses yeux, sa bouche, ses épaules. Il avait vingt-deux ans, elle trente-huit. Après cet instant, elle n’a plus pu vivre sans lui, même pas une seconde. Très vite, elle a commencé à lui

19 octobre 1812. La retraite des français à travers les plaines glacées de la Russie est une épreuve terrible. Décimée par le froid et le manque de nourriture, une armée de spectres , harcelée par des unités de cosaques, avance dans les bourrasques et la neige. Grâce à l’héroïsme du Général Eblé et de ses pontonniers, elle peut traverser en novembre la Bérézina. Lorsqu’elle arrive enfin au Niémen, en décembre près de 400 000 hommes ont disparu. Il n’y a plus de Grande Armée : le « général Hiver »

Il veut à tout prix entendre le chant des sirènes qualifié de « lourd trésor de science. » b)un homme pieux c) un conteur Il est un orateur incomparable capable de tenir son auditoire sous le charme  « avec des mots tombant comme des flocons de neige en hiver. » (l’Iliade) L’altérité 1) qu’est-ce-que l’autre? a) la nomination b) la différence physique c) la différence des mœurs 2) Sauvagerie et civilisation a)« les mangeurs de pain » b) les coutumes et lois « des

le cook finissait son préambule et se préparait à raconter une histoire de circonstance. On était à la veille du jour de l’an 1858, en pleine forêt vierge, dans les chantiers des Ross, 13en haut de la Gatineau. La saison avait été dure et la neige atteignait déjà la hauteur du toit de la cabane. Le bourgeois avait, selon la coutume, ordonné la distribution du contenu d’un petit baril de rhum parmi les hommes du chantier, et le cuisinier avait terminé de bonne heure les préparatifs du fricot

pleine trouée d’un vasistas. L’abattement d’un marchepied de trois degrés tournant sur charnière et dressé derrière la porte à vasistas donnait entrée dans la cahute, bien fermée la nuit de verrous et de serrures. Il avait beaucoup plu et beaucoup neigé dessus. Elle avait été peinte, mais on ne savait plus trop de quelle couleur, les changements de saison étant pour les carrioles comme les changements de règne pour les courtisans. À l’avant, audehors, sur une espèce de frontispice en volige, on

pleine trouée d'un vasistas. L'abattement d'un marche−pied de trois degrés tournant sur charnière et dress derrière la porte à vasistas donnait entrée dans la cahute, bien fermée la nuit de verrous et de serrures. Il avait beaucoup plu et beaucoup neigé dessus. Elle avait été peinte, mais on ne savait plus trop de quelle couleur, les changements de saison étant pour les carrioles comme les changements de règne pour les courtisans, A l'avant, au dehors, sur une espèce de frontispice en volige, on