Bourreau

Terreur sans pour autant donner des nouvelles de lui. A partir de cet instant il existe deux fins écrites par Balzac. 2nde fin : Après le 9 Thermidor, au passage d'une charrette de condamnés, l'abbé Marolles reconnaît l'« inconnu » : c'est le bourreau Sanson. (Publié en 1842) 1ère fin : La Terreur prend fin et l’abbé reprend une vie normale. Un soir, il reçoit un homme qui l’amène finalement à l’inconnu, mourant. Avant de partir, l’inconnu lui confie ses écrits. Par la suite, l’abbé apprendra

qui cette fois se déroule comme prévu, le grand-duc est mort. Acte IV - Le condamné bourreau Kaliayev qui a lancé la bombe a survécu l’attentat et se retrouve maintenant en prison. Il y deux dialogues majeurs dans cet acte. D’abord, le condamné à mort parle à Foka qui est à la fois prisonnier et bourreau: en effet pour chaque homme qu’il pend, on lui retire une année de prison. Ensuite, la grande-duchesse veut parler avec Kaliayev

oblige à être aussi généreux autant l’un que l’autre. C dans sa volonté de poursuivre R en justice et son refus de le tuer, elle opère une distinction entre partie et bourreau «Vas ,je suis ta parie et non pas ton bourreau ». On voit une distinction entre prendre et obtenir dans le vers suivant. Si elle la prend elle est son bourreau si elle obtient elle sera sa partie. Tout comme il y a une distinction entre punie et poursuivre dans le vers suivant : poursuivre = amener devant le justice ,punir=

J’en suis sûr. Phrase courte Voc de la certitude Face à l’inquiétude de Stepan (« n’est-ce pas ? ») se voit le calme de Annenkov Stepan : Nous tuerons ce bourreau. Tu es le chef, Boria, et je t’obéirai. Précision sur ce fameux « le » : « ce bourreau » Futur proche Information supplémentaire sur Annenkov Qualifié de « bourreau », mais qui ? Forte signification : celui qui exécute la peine de mort/qui martyrise >action de la pièce qui se rapproche >une certitude pour le public :

« Le premier, le plus grand, le plus vieux, était gras et avait la face rouge. » (l.11) Nous comprenons qu’il s’agit du bourreau. L’adjectif « rouge » peut connoter le sang (démoniaque), et l’adjectif « gras » peut faire penser à la richesse du bourreau grâce aux exécutions.A la ligne 13, nous pouvons retrouver l’expression « le valet de la guillotine » qui désigne le bourreau : c’est une périphrase. La guillotine est personnifiée, elle est dominante, puissante et « maîtresse » de la cérémonie. Il

la pièce. Il sonne mais la sonnette ne marche pas. La porte ne s'ouvre pas non plus. Il appelle alors le garçon et celui-ci rentre dans la pièce accompagné d'Inès. Scène 3 : Le garçon sort et Inès et Garcin se présentent. Celle-ci le traite de bourreau car elle trouve qu'il a peur. Puis Garcin décide de conserver entres eux une extrême politesse mais cela ne fonctionne pas très bien. Tous deux sont nerveux et veulent savoir ce qui les attend. Scène 4 : Estelle accompagné du garçon entre dans

ridiculise ses deux personnages, Rodolphe devient un bourreau des coeurs aux multiples conquêtes et qui ne cherche qu'à mettre Emma dans son lit et Emma apparaît comme une femme naïve et crédule qui se laisse charmer par des belles paroles. III. Critique de la société/vie provinciale selon Flaubert - Clichés de la vie provinciale : la scène d'amour (pas si romantique que ça), la femme mariée qui se laisse séduire et commet un adultère, l'homme bourreau des coeurs qui séduit pour son plaisir. - La femme

et Garcin essaye la sonnette mais elle ne fonctionne pas donc il tape sur la porte en vint. Scène 3 : Inès entre. Elle cherche un certaine Florence mais Garcin ne sait pas qui c'est. Elle prend son absence pour un punition et Garcin pour un bourreau, il se présente s'en dire qui il est vraiment et explicite la situation et affirme qu'il n'a pas peur. Scène 4 : L'arrivée d'un nouveau personnage Estelle qui croit connaître Garcin, il explique la situation. Scène 5 : Inès fait des

dernier jour. Le matin on le réveille et on lui dit que il va mourir aujourd’hui, alors il s’habille, se rase les cheveux, se confesse puis est emmener à l’échafaud. Arrivé le bourreau l’installe et lui tranche la tête à l’aide d’un couperet mais cela ne fonctionne pas, c’est à partir de la 5ème fois que le valet du bourreau monte sur la scène du crime et lui tranche enfin la tête. En troisième lieu Victor Hugo écrit un texte argumentatif sur « le Pourquoi » de la peine de mort. Il justifie ses convictions

prisonniers, analphabètes pour la plupart et faisant partie du petit peuple, travaillant tout le jour et pourtant pas assez nourris dans la prison de Clervaux. Mais également un directeur, des surveillants, un greffier du tribunal, un prêtre, un bourreau, une foule assistant à une mise à mort,… Le procès de Claude Gueux est fortement développé, une allusion est faite quant au clou, au morceau de fil de fer et à l’anse de seau jetée par le soupirail par des détenus voulant aider Gueux à s’évader.