Boutros Boutros Ghali

(avril 1992-février 1996) Textes possibles : Articles d'Oslobodenjne (journal bosniaque avec une rédaction multi-éthnique qui continue à paraître pendant le siège).  DISDAREVIC Z., Journal de Guerre, chronique de Sarajevo assiégée, 1993. BOUTROS-GHALI B., Mes années à la maison de verre, 1999.  Le siège de l'agence de presse de Sarajevo, aujourd'hui mémorial du siège (Wikipédia) Histoire : Nouvelles conflictualités / Le siège de Sarajevo (avril 1992-février 1996) Progression de la séquence

paix. 6 secrétaires généraux se sont succédé: le Norvégien Trygve Lie (1946-1952), le Suédois Hammarskjöld (1952-1961) ; le Birman U Thant (1962-1971) ; l’Autrichien Waldheim (1971-1981) ; le Péruvien Pérez de Cuellar (1982-1991) ; l’Égyptien Boutros-Ghali (1992-1997) ; le Nigérian Kofi Annan (depuis 1997). L'un des rôles essentiels du Secrétaire général est d'user de ses "bons offices", c'est-à-dire de se prévaloir de son indépendance, de son impartialité et de son intégrité pour faire, publiquement

recevoir les représentants de peuples sans Etats, c’est le cas de Yasser Arafat en 1971. Le secrétariat de l’ONU, actuellement dirigé par Ban Ki Moon, est forcément dirigé par des pays neutres. Le secrétaire général de l’ONU est un diplomate. Boutros-Ghali n’a pas été réélu. C’était un égyptien. (CF : feuille pour les institutions). Il y a le GATT et le FMI qui travaillent avec l’ONU mais ne sont pas issus de l’ONU. Ils doivent permettre de construire la paix. CDG appelait l’ONU le Machin, Churchill

développement des OMP depuis les années 90, une autre catégorie d’opération a vu le jour : les opérations de « deuxième génération ». Elles intègrent une dimension politique et dans l’Agenda pour la paix, l’ancien Secrétaire-général de l’Onu, Boutros Boutros-Ghali, distinguait à cet égard quatre types d’actions possibles dans lesquels s’insérait le maintien de la Paix : * la diplomatie préventive pouvant intégrer un déploiement de troupes étrangères/onusiennes avant que ne se déclare le conflit:

communiqué officiel grincheux portant sur l'usage de l'anglais dans le monde. À partir de 1997, on eut l'idée de donner à l'organisme le nom de Organisation internationale de la Francophonie et de nommer à sa tête une personnalité prestigieuse: Boutros Boutros-Ghali, ancien secrétaire général de l'ONU. Il s'agissait sans doute pour la Francophonie, d'une part, de renforcer sa dimension, d'autre pat, sa visibilité politique. Dès lors, d'autres observateurs ont reproché à l'organisme de prôner la «diversité

francophonie intéresse des pays qui ne sont pas francophones comme la Bulgarie ou des pays lusophones comme la Guinée-Bissau ou Sao Tomé et Principe. La francophonie essaye de renforcer sa dimension — et sa visibilité — politique. Le choix de Boutros Boutros-Ghali, ancien secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU), comme secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie en 1997, participe de cette démarche. En 1998 et 1999, l’Organisation francophone, désormais

présidence de Mahmoud Abbas et à la suite de Yasser Arafat, son 1er président élu en 1996, œuvre en vue de la création d'un État palestinien. Le 25 mai 2006, il annonce la tenue d'un référendum en ce sens2. Bibliographie[modifier le code] Boutros Boutros-Ghali, Shimon Peres, 60 ans de conflit israélo-arabe, Témoignages pour l’Histoire, Éditions Complexe, 2006 (ISBN 2804800709) David-André Belhassen, La Haine maintenant ? : Sionisme et palestinisme Les 7 pièges du conflit, Éditions de La Différence

Kenovic, 1997.. No Man’s Land, film de D.Tanovic, 2001. | . World Trade Center d’ O. Stone, 2005.. des photographies du site.. Don DeLillo, L’Homme qui tombe, Actes Sud, 2008. | Evaluation : analyse d’un document en histoire : texte de Boutros Boutros Ghali sur le nouvel ordre mondial (Histoire Première, Nathan, 2011, p. 155) ; texte de l’historien André Kaspi sur les Etats-Unis,…

conflit ». L’un des principaux but de cette Commission est de permettre une collaboration étroite entre les acteurs politiques, militaires, humanitaires et civils afin d’assurer une paix viable. Une paix viable ne saurait être une paix imposée. M. Boutros Ghali invoquait à juste titre la nécessité d’une « culture de la paix ». Cette culture de la paix passe par la compréhension des peuples et des individus localement concernés par une sortie de conflit. En ce sens, « Si société civile n’est pas impliquée

être un moyen pour les Etats-Unis de réaliser leur projet de gouvernement mondial. Aussi les USA ont-ils installé un Secrétaire général de leur choix, en ma personne de Kofi Annan, contre la volonté de la grande majorité des pays, voulant élire Boutros-Ghali pour un second mandat. Comme les grandes puissances disposent du droit de veto pour l’élection du patron de l’ONU, les Etats-Unis ont ainsi pu désigner «leur» Secrétaire général. *par le jeu des vetos, etc* "L'ONU renie sa charte" Sous la pression