Boutros Boutros Ghali

réputé avoir renoncé à sa souveraineté ; il est alors du devoir de la communauté internationale de la rétablir. Antoine Mekinda Beng 523 2. Les faits constitutifs d’évolution par rapport l’article 2, § 4 de la Charte de l’ONU (48) Ainsi que M. Boutros-Ghali l’a fait observer : « Le temps de la souveraineté absolue et exclusive... est passé et il est des devoirs des chefs d’Etat de nos jours de trouver un équilibre entre les besoins d’une administration interne efficace et les exigences d’un monde

 T C À C H A N G E R BOUTROS BOUTROS-GHALI P E U T- O N R É F O R M E R L E S N AT I O N S U N I E S ? L à laquelle on a assisté dans les enceintes de l’ONU, quelques semaines avant l’intervention américaine en Irak, a conduit les plus pessimistes des observateurs à prédire la fin de l’organisation mondiale, tandis que quelques rares optimistes, dont je suis, rappelaient que l’Organisation des Nations unies avait traversé, depuis sa création en 1945, d’autres moments tout aussi

assemblee-nationale.fr/11/rapports/r2191.asp: Assemblée Nationale sur l’installation d’un bureau de la ligue a Paris Wissa-Wassef Cerès. La Ligue des Etats arabes face aux conflits inter-arabes. In: Politique étrangère N°1 - 1973 - 38e année pp. 51-83. Boutros-Ghali. La crise de la Ligue Arabe. In: Annuaire français de droit international, volume 14, 1968. pp. 87-137.

(Birmanie), Secrétaire général de novembre 1961 à décembre 1971 5. Kurt Waldheim (Autriche), Secrétaire général de janvier 1972 à décembre 1981 6. Javier Pérez de Cuéllar (Pérou), Secrétaire général de janvier 1982 à décembre 1991 7. Boutros Boutros-Ghali (Égypte), Secrétaire général de janvier 1992 à décembre 1996 8. Kofi Annan (Ghana), Secrétaire général de janvier 1997 à décembre 2006 9. Ban Ki-Moon (Corée du Sud) Secrétaire général depuis janvier 2007. III. Les bases des Nations

Society Publishers, 1999. 9 Joseph E. Stiglitz, La grande désillusion, Fayard, Paris, 2002. 10 Lire, par exemple, Démocratisation, économie et développement : la place de l’enseignement supérieur , Montréal, Éditions de l’AUPELF, 1992. 11 Boutros Boutros-Ghali, « L’interaction démocratie et le développement ». Rapport de synthèse, Paris, Unesco, 2003, p. 11. 6 37 a) La démocratie : créatrice ou corollaire du développement ? Une analyse de l’interaction entre la démocratie et le développement

cadre du conflit opposant l’Égypte et Israël, que le concept de «maintien de la paix» fera véritablement son apparition60. Dans son rapport de 1992 au Conseil de sécurité, Un Agenda pour la paix, le secrétaire général de l' ONU de l’époque, Boutros Boutros-Ghali, a proposé la définition suivante du concept de «maintien de la paix» : Le maintien de la paix consiste à établir une présence des Nations Unies sur le terrain, ce qui n' jusqu' présent été fait qu' a à avec l' assentiment de toutes les parties

TPE SUR LES DEBATS AUTOUR DE L'ORGANISATION DES NATIONS UNIES « L’ONU est un miroir grossissant de l’opinion internationale. S’y reflètent, jusqu’à l’excès, les espoirs et les angoisses des Etats et des peuples ». Cette phrase de Boutros Boutros-Ghali, ancien secrétaire général de l’ONU, dit tout, elle démontre ce que représente l’Organisation des Nations Unies dans le monde, c’est un constat. Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, lors de la Conférence de San Francisco le 26 Juin

aux tentations d’hégémonie, non seulement politique, mais aussi culturelle. Cette assistance ne doit pas être une simple transposition dans des sociétés très diverses, de « recettes » de démocratie libérale. L’Agenda pour la démocratie de Boutros BOUTROS-GHALI mettait clairement en garde contre ce danger. C’est en cela que les Nations Unies, de par leur quasi-universalité, peuvent jouer un rôle de premier plan, par rapport aux agences nationales d’aide au développement, qui agissent forcément dans

opérations coercitives (comme les Opérations des Nations Unies en Somalie II, de 1993 à 1995). Il n’est donc pas possible d’envisager les OMP comme un ensemble homogène. 6 « Agenda pour la paix », rapport présenté par le Secrétaire Général Boutros BOUTROS GHALI, le 17 juin 1992 7 Par exemple, l’article 38 du Statut de la Cour International de Justice, créée en 1946, dispose que celle-ci a pour « mission de régler conformément au droit international les différends [entre Etats membres de l’Organisation

interétatiques se sont substituées des tensions intraétatiques dont la dimension est à la fois plus souterraine et plus irréconciliable. Après la fin de la bipolarité, le monde, à la recherche d’un nouvel équilibre, se trouve confronté à deux 1 Boutros Boutros Ghali en fera également écho, en vain, dans son «Agenda pour la paix ». Devant les difficultés et les réticences qui marquent la création d’une « armée internationale », le Secrétaire Général préconisaient la création d’ « unités d’imposition de