Brahman

l'inspiration». Mon travail au contraire fait mon chagrin. La littérature est un vésicatoire qui me démange. Je me gratte par là jusqu'au sang. Cette volonté qui m'emplit n'empêche pas les découragements, ni les lassitudes. Ah ! tu crois que je vis en brahmane dans une absorption suprême, et humant, les yeux clos, le parfum de mes songes. Que ne le puis-je ! Plus que toi j'ai envie de sortir de là, de cette oeuvre, j'entends. Voilà deux ans que j'y suis ! C'est long, deux ans, toujours avec les mêmes personnages

grande influence dans la sphère privée et dans l’organisation de la société. C’est la société brahmanique. Cette dernière est divisée en quatre grandes classes, basées sur la place que l'homme a dans le rituel védique et la profession : * les Brahmanes : les prêtres, le clerc enseignant ; * les Kshatriyas : les guerriers, les rois et les administrateurs ; * les Vaishyas : les paysans, commerçants et artisans ; * les Shudras : les serviteurs. Ces classes sont appelées varna et le système

(les membres des trois castes supérieures, qui ont été initiés à la religion par l'investiture avec le fil sacré). décrit d'abord la période de brahmachari étudiants (un temps de la discipline ascétique consacrée à l'étude des Védas un enseignant brahmane. Après avoir expliqué les principales fonctions de grijasta (vivant à la maison), comment choisir une femme, le mariage, l'entretien du feu sacré, des sacrifices aux dieux, des fêtes pour le défunt, l'exercice de l'hospitalité. Les nombreuses restrictions

les Hindous disent que l'Univers est Brahman et Brahmâ, car Brahman est dans tout atome de l'univers, les six Principes de la Nature étant tous le résultat – les aspects variés et différenciés – du PRINCIPE SEPTIEME et UN, l'unique Réalité de l'Univers, tant cosmique que microcosmique ; et c'est pour cela aussi que les permutations psychiques, spirituelles et physiques, sur le plan de la manifestation et de la forme du Sixième Principe (Brahmâ véhicule de Brahman) sont regardées, par antiphrase métaphysique

le panthéisme et le monothéisme : Dieu n’est pas à chercher à l’extérieur mais bien à l’intérieur. Et cela, à travers la méditation. a. Dans le panthéisme : religion de l’immanence, la méditation vise à intégrer le principe divin « en soi » (le brahman dans l’atman). J’échange mon individualité contre un principe cosmique, je me dissous en lui, c’est le nirvana. L’immanence est don le lieu du bien-être, du bonheur par extinction du principe individuel. b. Dans les religions monothéistes : musulmane

moyennes et des élites qui ont instrumentalisé la domination étrangère pour asseoir leur propre position sociale et économique. En vertu de la stratégie du « diviser pour régner », les administrateurs coloniaux favorisent certains groupes, comme les brahmanes* ou les sikhs, sur lesquels ils s'appuient pour maintenir l'ordre social, aux dépens du reste de la population. Cette coopération d'une partie de la population a été vigoureusement dénoncée par Mohandas Karamchand Gandhi à de nombreuses reprises

amorcé le Renouveau tamoul. Par différenciation avec la Religion malbare[ix] issue des engagés indiens de la fin du XIXe siècle, il s’agit d’une forme moderne de l’hindouisme empruntée directement à l’Inde contemporaine. Marquée par l’influence des Brahmanes, elle tend à évacuer les sacrifices d’animaux, trop liés au monde rural peu cultivé. Appelée désormais Religion tamoule, elle s’accorde mieux avec la vie urbaine et l’appartenance à la classe moyenne. Elle ne supplante pas cependant en nombre la

d'amour et de délices...Une fois au moins, milieu de la grisaille des jours de ma vie, j'aurais regardé dans le coeur de la réalité, j'aurai été témoin de la vérité. »[5] Cette épisode ressemble énormement à la signification du terme sanskrit Brahman, souvent utilisé dans l'hindouisme qui enveloppe l'absolu et le relatif. Chacun des termes adoptés mettent l'accent sur un aspect privilégié, d'une réalité englobante qui ne se renferme pas dans une définition rigide. Bien des mots sont employés dans

et s’arrêta soudain .Il y avait un bruit qui se rapprochait .En première ligne s’avançaient des prêtres .Derrière eux il y avait une statue hideuse, Sir Francis Cromarty la reconnu c’était la déesse de l’amour et de la mort .Derrière eux quelque brahmanes qui traînaient une jeune femme qui se soutenait peine .Derrière cette femme il y avait un animal qui portait un cadavre .C’était le corps d’un vieillard .Sir Francis Cromarty expliqua qui était ses gens : la femme sera brûlée le lendemain aux première

Caractéristiques de sagesse/clairvoyance des dieux ouraniens dont la hiérophanie elle-même pouvait être une révélation métaphysique explique leur lente transformation en concepts abstraits (par exemple Iho, celui de Nouvelle-Zélande et de Tahiti ou le Brahman des hindous). Pour l’homme primitif, le Savoir et la connaissance étaient des épiphanies de la puissance, de la force sacrée. Contrôle cycles cosmiques et se confond avec substance et principe métaphysique de l’Univers. Dieux du ciel chez les populations