Bras-mort

Sujet : Vous commenterez l’extrait de la scène 9 de l’Acte II d’Electre. (Introduction) Ce texte de Giraudoux, extrait d’Electre, est un long monologue du Mendiant ; Il évoque la mort d’Egisthe et de Clytemnestre, tués par Oreste, frère d’Electre, tous deux enfants de Clytemnestre ; ils vengent la mort d’Agamemnon, leur père, qu’elle a assassiné avec Egisthe. (Situation du texte) La scène 9 de l’acte II est l’avant dernière scène de la pièce ; = il s’agit donc d’un texte décisif sur

Montaigne nous dit que pour profiter de la vie il faut suivre ses envies : si on a envie de dormir, il faut dormir car on en a besoin. Mourir Les humaniste nous disent que la mort fait partie de la vie, c'est l'aboutissement de la vie et qu'il ne faut pas avoir peur de mourir car cela est naturel, depuis notre naissance la mort grandi en nous. L’Antiquité Grec et Romaine Les humanistes utilisent très souvent des références de l'Antiquité car grâce à l'imprimerie les textes antiques, des textes

Excusez moi, j'ai pas vu l'heure. C'est ça mon cul! Là, j'ai flippé. Et il s'est passé... Sur mon bras droit son apparus des inscriptions et des symboles entrelacés qui iradiais une lumière bleutée. Un instant plus tard, un craquement sec brisais le silence. Le militaire baissais les yeux et tirais sur ce qui venais de lui saisir la jambe. Mais comment blesser un mort? En effet, le bras jaillissait du coin d'une tombe. Avant que je comprenne ce qui se passais, mes mains me brûlais et je fus

période bleu , où un de ses amis est mort , donc ses peintures sont tristes , douleurs . La période Rose , où il a rencontré l'amour , les thèmes abordés sont la joie et l'inquiétude existentielle. II ) Analyse Après une première impression de chaos, on constate que la composition repose solidement sur quelques figures. - A gauche, la mère et l’enfant. Accroupie, par terre, le buste dénudé, cette femme tient son enfant mort dans ses bras. Cette représentation n’a rien d’une

blessure, la mort, la douleur. 2,5pts R.A2 : Relevons les champs lexicaux de : - La bête : Ses flancs ouverts, le souffle, une bête de luxe, ses entrailles, haleine, bave. 0,5pt - L’humain : Ses joues, ses paupières, les yeux, un cadavre humain, des bras convulsifs, son âme, colosse broyé, cœurs, le dos, enfant, pleure, membres épars, le sang des veines. 0,5pt - La blessure : Ses flancs ouverts, une petite plainte, pleure, un accident, le sang des veines, des bras convulsifs,

Britannicus est l’instructeur de Britannicus, c’est lui qui va déclarer la mort du jeune prince à Agrippine. Comme la mort n’est pas montrée sur scène la règle de bienséances n’est pas brisée. Dans Phèdre, Phèdre mourra sur scène, mais les règles de bienséances sont supposées empêcher que la mort soit représentée. Racine va certes représenter la mort sur scène, mais pour ne pas trop choquer les bienséances, il n’y a pas de mort violente : Phèdre se suicide par le poison. Dans Electre, à la fin de la

Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras. Les expressions Toutes les bouches sont ouvertes et expriment la terreur

rédemption d'un valet romantique ? I) La mort sur scène A) Rupture avec le classicisme Le vers utilisé est l'alexandrin. Il est fréquemment disloqué, ce qui rompt avec la régularité de l'alexandrin racinien: le dialogue se rapproche ainsi du language parlé, du naturel. Le cas le plus flagrant est le vers 2234, paratgé en quatre répliques (stichomytie) => dynamisme et rupture du vers qui font ressortir la vivacité et le ton de la scène. Mélange des genres: la mort:<<Je meurs >> (v.2253) renvoie à la

Art Contemporain Reina Sofia Pablo Picasso peintre, dessinateur et sculpteur espagnol. Il s’installe à Paris en 1904. Ses premières œuvres correspondent à la « période bleue » (couleur bleu, teinte dominant de ses tableau) empreinte de mélancolie (mort, vieillesse, pauvreté). Sa « periode rose » (couleur orange et rose) (1904-1906) est plus paisible ( arlequin, clown,..). En 1907, il peint LES DEMOISELLES D’AVIGNON et il invente en compagnie de Georges Braque un mouvement artistique majeur du XXème

lecteur assiste à la mort du personnage éponyme, après son triomphe à la Bourse, son futur gendre, Popinot a voulu faire une surprise en rachetant l’ancienne maison de César. César Birotteau éprouve un malaise (dû à la joie ? ) puis meurt ; c’est toutefois une seconde apogée. Malgré l’atmosphère festive, César Birotteau éprouve un malaise qui le conduira à la mort. Ce malaise se traduit d’abord par la difficulté à se mouvoir. En effet, César s’appuie sur le bras de Pillerault pour se