Brasero

rue Duquesne 69330 Meyzieu 04.78.04.63.03 Présentation : L’institut fut créé le 8 Décembre 2009, l’ancien locataire était un Institut en faillite. Il fait partit d’une grande maison de plein pied ou l’on peut trouver plusieurs commerces : Le Brasero restaurant pizzeria (propriétaire du bâtiment) ainsi qu’un coiffeur Athmosph’hair. Installé dans une impasse, éloigné du centre ville. Le bus 95 s’arrête à 50 mètres, l’arrêt Meyzieu Charcot. Les véhicules de nos clients peuvent stationner sur notre

contenu liquide s’échappe 32. Le contenu coule vers une rigole d’évacuation voisine 33. Une légère explosion retentit à 30m 34. Un homme apparait en hurlant 35. Un homme est brûlé au visage et aux mains 36. Mr Létain allume un brasero 37. Mr Létain commence une réparation de bardage 38. Le feu se propage jusqu’au fût à terre 39. Le premier fût s’enflamme 40. Le feu dégage une fumée âcre et épaisse 41. MLP dégage son camion du quai 42. MLP s’évanouit à bord

puniques), des immeubles (de rapport) (insulae). divisés en appartements ou logements (cenacula). - Des fenêtres sans vitres et des balcons aèrent les logements, Il n'y a ni atrium, ni cheminées (on cuisine sur des réchauds, on se chauffe avec des braseros), ni eau dans les étages. - Certains de ces bâtiments ont plus de 20 mètres de haut et jusqu’à 7 étages. Les riches occupent les étages inférieurs, les pauvres sont sous le toit. - A Rome au cours du Ier siècle a.C. les loyers ont flambés, ils sont

nocturne, les gens doivent circuler avec une lanterne à la main, grands monuments en pierres, maisons particulières construites en bois (hauteur 9 mètres) 1 à 2 étages. Maisons sans balcons en saillis cause d'incendie. Les habitants se chauffent en braséro (bassin rond en cuivre dans lequel on dépose des braises) diffuse de la chaleur. En 1633 : 1/5 de la ville est détruite à (Istanbul), 1693 : 2000 maisons détruites... La ville est sur une faille (séisme), Tremblement en 1509 (13000 victimes). Pas

habitations dangereuses car elles étaient en bois et brûlaient très vite en cas d'incendie. Comme les insulae étaient des immeubles avec des appartements collés les uns dans les autres, il n'y avait pas de cheminée. Pour se chauffer, on utilisait alors des braseros. C'est lors de l'augmentation de la population qu'on construisit ces immeubles verticaux. Au début, les insulae ne comportaient que deux ou trois étages puis il y en eu de plus en plus. Les étages supérieurs étaient les plus misérables, plus on montait

boie dans le creux de sa main une poignée de thé vert ,effeuille le bouquet de menthe .La vapeur de l’eau versée de la bouilloire en cuivre dans la théière de nickel qu’il lui tend à bout de bras noie la figure de la femme accroupie devant lui. Le brasero est ventre les deux plateaux, l’un pour les verres et la théière, l’autre portant trois boîtes de cuivre ciselé : sucre, thé, menthe .Sans qu’une seule goutte tombe sur le plateau, la théière remplit les verres de très haut .L’homme goûte l’infusion

en rose À l’aide d’une cale, les douelles seront ensuite agencées verticalement à l’intérieur d’un cercle. D’autre cercle sont ensuite placés pour tenir l’ensemble. * La chauffe Afin d’assouplir le bois, le tonneau est placé sur le feu (brasero). Une fois qu’il est bien chaud, il est légèrement mouillé afin de faciliter le cintrage ultérieur. Le cintrage consiste à resserrer la base du fût. Il donne sa forme ventrue et sa solidité au tonneau. Le fût est placé environ 45 minutes sur une flamme

dodu. Espaces (été biné ? gnaule ?) verts. Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé : canon ! Leur cruel gibet te niera, têtard raté, pédicule d'aimé rejailli. Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville…) tu déconnes. Été : bètel à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir ! Amassez. N'obéir. Pali, tu es ici : lis abécédaires, lis portulan : l'un te sert-il ? à ce défi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ? Oh, arobe d'ellébore

boie dans le creux de sa main une poignée de thé vert ,effeuille le bouquet de menthe .La vapeur de l’eau versée de la bouilloire en cuivre dans la théière de nickel qu’il lui tend à bout de bras noie la figure de la femme accroupie devant lui. Le brasero est ventre les deux plateaux, l’un pour les verres et la théière, l’autre portant trois boîtes de cuivre ciselé : sucre, thé, menthe .Sans qu’une seule goutte tombe sur le plateau, la théière remplit les verres de très haut .L’homme goûte l’infusion

recommencer à tout instant, tel le Phénix qui se consume pour se régénérer mieux encore, tel le Maître qui est relevé "plus resplendissant que jamais". Lorsque nous avons consommé le pain (solide), le vin (liquide), la parole (air), puis dans le brasero (le feu), dans la transmission et au travers du regard de l'autre nous entrevoyons l'infini, nous arrivons au Grand Œuvre car nous avons résolu la dualité, tout ne fait plus que Un. Je finirai par une citation attribuée à Lao Tseu que je trouve