Brasero

de la cité, pas là où se dressaient fièrement les temples et les palais officiels, mais au quartier des boucheries et des bordels, des tripots et des tavernes borgnes. Les odeurs de la ville assaillaient nos narines : crottin de chevalet fumée de braseros, poisson cru et parfums, urine et pain fraîchement cuit. » …....... (pages 165-166) Au bout d'un moment, nous quittâmes la rue de Subure et empruntâmes un réseau de rues qui contournaient l'Oppius, en coupant un moment la voie Sacrée. Là nous tournâmes

au point des orages Pour y boire le sang des clairs Jai hant ton baiser et ta fivre Ta chaleur ton souffle sensuel Got ton Rimmel ton rouge lvres La morsure dun rire cruel Jai vu des hliotropes mauves Dans ton regard et dardents braseros Dans la toison fine dune alcve Jai laiss le cristal dun sanglot Je me suis assis au bord dun songe Sur ton ventre jai pos ma joue Je nai pas vu en toi de mensonges Mais tu joues sans savoir que tu joues. Jai pntr dans tes yeux qui brillent L o tu

l’écourtage/dolage, puis le jointage/appareillage, poste dans lequel chaque barrique est identifiée individuellement. Ensuite, le montage, le cintrage puis la chauffe (poste 3,4 et 5) permettent d’assembler les barriques pour ensuite les disposer sur un brasero alimenté avec des chutes de chêne. Ces 3 étapes seront décisives pour la forme finale de la barrique ainsi que pour le futur goût du vin que la barrique contiendra. Le rognage, la préparation des fonds, le taillage et la mise en place des fonds sont

qu'il parlait quelque langue secrète mais Lalla semblait suivre avec attention. Elle hochait sa tête en signe d'accord. De temps en temps, elle lui posait quelques petites questions à mon sujet. Il répondait brièvement en ajoutant de l'encens dans le brasero qui était devant lui. Puis, sans que j'arrive à comprendre ni pourquoi ni comment, ma grand-mère lui glissa nerveusement quelque chose dans la main, me porta dans ses bras et sortit vite les yeux en larmes. Ce que le Ch'rif lui dit, je ne l'ai point

surtout dans la pièce où est installé l’appareil à combustion. • Une mauvaise évacuation des produits de la combustion via les conduits. • Une mauvaise utilisation de certains appareils (chauffages d’appoint mobiles utilisés sur de longues durées, braseros utilisés comme mode de chauffage, groupes électrogènes placés à l’intérieur…). 16 En cas d’intempéries, de grands froids ou de coupure d’électricité, soyez particulièrement vigilant car pour chauffer votre logement, vous pouvez être tenté d’utiliser

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de graisse animale. Plus tard, la roche est remplacée par un coquillage, puis par des lampes en poterie. * En Grèce, les premières lampes apparaissent vers le septième siècle avant J.C. et commencent à remplacer les torches résineuses et les braseros. * La lampe antique était formée d’un récipient, destiné à contenir une quantité plus ou moins importante d’huile, et d’un ou de plusieurs becs, d’où sortait la mèche, qui s’imbibait d’huile et que l’on allumait. La face supérieure était percée

Antique. Programme des thermes : • Tout d'abord, on se déshabillait dans l'apodyterium (vestiaire), où l'on confiait ses habits à un esclave. • Ensuite, l'on se réchauffait dans le tepidarium, salle chauffée dans ces thermes par un vaste brasero. 8 • Puis l'on entrait dans le caldarium, salle très chaude chauffée par hypocauste (chauffage par le sol). Le sol était tellement chaud qu'on devait chausser des sandales pour ne pas se brûler les pieds. D'un côté se trouvait un bassin

des grandes villes, avec une certaine fréquence. Ceci était favorisé par les caractéristiques de construction des édifices antiques, constitués en grande partie d'éléments en bois (plafonds, balcons, etc.), et qui pour la plupart utilisaient des braseros pour l'éclairage, la cuisine et le chauffage. Les voies de circulation étaient étroites, sinueuses et l'accotement des insulae facilitait la propagation des flammes. La lutte contre les incendies était assurée à Rome par un corps d'intervention constitué

mer un peu plus loin... Au stand numéro 10, une curiosité : de la viande de mouton uniquement, mais sous toutes ses formes (tête, langue, mamelle, méchoui...). L'ensemble forme un grand rectangle bien ordonné au-dessus duquel flotte la fumée des braseros. On s'installe sur de petits bancs et on déguste. Autrefois les règles d'hygiène n'y étaient pas draconiennes (euphémisme !), mais aujourd'hui cela se passe nettement mieux : outre la grande affluence (et donc l'écoulement rapide des denrées), les