Brian De Palma

culture : - L’exemple « le Parrain » De nombreux films ce sont inspirés de la mafia et de son organisation, ses activités, etc.… Ainsi, des films tels que Le Parrain I, II & III de Francis Ford Coppola en 1972, 1974 et 1991, Scarface de Brian de Palma en 1984, Les Affranchis de Martin Scorsese en 1990 et bien d’autre encore ont eu un succès phénoménal dans le monde du cinéma. -L’exemple Sinatra Mais la mafia a elle aussi, en quelque sorte, créé sa propre culture, notamment dans la musique

identité à l'acteur, dans un acte paradoxal de suppression. C'est par la manifestation corporelle que l'on ressent que quelque chose d'invisible ronge le personnage de l'intérieur, que quelque chose de monstrueux grandit en lui, de la même façon que Brian de Palma mettait en scène le mal-être resurgissant dans son film Carrie. D'ailleurs, dans la dernière séquence où le François Sagat zombie creuse une tombe, on a par surimpression finalement et pour la première fois le visage « nu » de l'acteur en gros

République actuelle - Une population mécontente INTRODUCTION Pour certaines personnes la vision de la mafia d’aujourd’hui se résume à des clichés distribués par des films culte comme Le Parrain de Coppola ou encore Scarface de Brian de Palma dans lesquels la vie mafieuse est définie comme étant un univers de règlements de comptes, de sang, de limousine de luxe, de drogue et d’un patriarche … Nous nous sommes porter sur l’étude d’une mafia qui sort de ces idées reçues de la mafia

une génération de jeunes metteurs en scène émergent issues de la contre culture, dans les années 1970. Regroupés sous la bannière du nouvelle Hollywood par le journaliste Peter Biskind. Steven Spielberg, Francis Ford Coppola, Martin Scorcèse ou Brian de Palma pour ne visiter que les plus connus, revisitent le cinéma américain classique (violence, errance, marginalité). Tournant avec des acteurs encore inconnus, Robert de Nico, Al Pacino ou Jack Nicholson, ces réalisateurs deviennent très vite les

toute déception, la notion de préparation/paiement existe. Une préparation est un élément de l'intrigue (objet, personnage, etc.), apparaissant pendant le déroulement de l'œuvre, afin d'être réutilisé plus tard. Dans le film Mission impossible de Brian De Palma, Jim Phelps, agent de la CIA, reçoit une tablette de chewing-gum explosif, tout au début. Il l’utilise à deux reprises : la première fois pour fuir et la deuxième fois pour vaincre l’antagoniste. Ce sont des paiements que le spectateur ne vit

Don Camillo (1952) La femme et le pantin (1959) Sur la route de Madison (1995) Minuit dans le jardin du bien et du mal (1998) Le cuirassé Potemkine (1925) Octobre (1927) Alexandre Nevski (1938) Ivan le terrible (1942-1946) Jacques DEMY : Brian DE PALMA : Vittorio DE SICA : Edward DMYTRYK : Stanley DONEN : Carl DREYER : Marguerite DURAS : Julien DUVIVIER : Clint EASTWOOD : Serge M. EISENSTEIN : Robert ENRICO : Pierre ETAIX : Le vieux fusil (1978) Le Soupirant (1963) Yoyo (1965)

Voici sa liste 1. The Good, the Bad and the Ugly (Leone) 2. Rio Bravo (Hawks) 3. Taxi Driver (Scorsese) 4. His Girl Friday (Hawks) 5. Rolling Thunder (Flynn) 6. They All Laughed (Bogdanovich) 7. The Great Escape (J. Sturges) 8. Carrie (De Palma) 9. Coffy (Hill) 10. Dazed and Confused (Linklater) La même question à été posé à d’autres réalisateurs (105 au totale) parmi lesquels on trouve entre autres Olivier Assayas, Cameron Crowe, Ken Loach, Milos Forman etc. Voici le classement des

BLANCHIMENT DE CAPITAUX ET FISCALITE INTERNATIONALE Citations introductives « What can I do with all this money ? » Al Pacino Scarface de B. De Palma « Tout le monde me traite de gangster. Je me considère comme un homme d’affaire. » Al Capone « Si vous voyez un banquier suisse se jeter par la fenêtre, suivez-le sans hésiter, car il y a de l’argent à gagner… » Voltaire « Le souci légitime de gagner de l’argent ne doit pas conduire à occulter les valeurs universelles de la morale

Questionnement sur les limite du montrable au cinéma. Elephant Man – David Linch (1980) Retour au Néo classicisme. Retour à la décence et donc au hors champ. On ne montre plus forcement l'horreur. Le public en a trop vu. Blow out – Biran De Palma (1981) Séquence basé essentiellement sur le son. Le son est au dessus des images. Les images sont au service du son. Utilisation du hors champs sonore. Réflexion sur le cinéma plus particulièrement sur le son. ) Projet Blerwith Film indépendant

du split screen chez Brian De Palma Si le split screen est utilisé déjà lors du cinéma des premiers temps, notamment pour représenter le monde onirique et imaginaire, il connaît un essor particulier à partir de la fin des années 60, notamment dans le cadre du cinéma hollywoodien. Cet essor est favorisé par le contexte artistique