Britannicus Dénouement

même lieu d'ensemble, une ville par exemple. Par la suite, l'unité de lieu s'est resserrée autour d'un lieu unique représenté par la scène. • L’unité de d’action Tous les événements doivent être liés et nécessaires, de l'exposition jusqu'au dénouement de la pièce. L'action principale doit être ainsi développée du début à la fin de la pièce, et les actions accessoires doivent contribuer à l’action principale et ne peuvent être supprimées sans lui faire perdre son sens. Aucun meurtre, assassinat

des lourdes conséquences sur la vie et le destin des personnages, l’amour leur inspire un sentiment de haine comme Phèdre pour Aricie « Il faut perdre Aricie » qui montre bien la haine de Phèdre et la puissance de la passion et de l’amour. Dans Britannicus de Racine, l’amour pousse Néron au crime. La passion de Phèdre la conduit au suicide se sachant responsable de la mort d’Hippolyte, cette même passion conduit aussi au suicide de sa confidente Oenone, mais cette passion a d’autres conséquences que

l’hypocrite, il conduit au dénouement et permet également de punir la bassesse morale de l’un et l’aveuglement stupide de l’autre. Le spectateur peut se réjouir sans scrupule de la manœuvre d’Elmire et de son habileté à manier les doubles sens, car il sait que c’est pour la victoire de la morale et de la société. Mais ce qui est utilisé dans la comédie peut aussi l’être dans la tragédie, de façon beaucoup plus cruelle. C’est le cas, par exemple, dans la scène 6 de l’acte II de Britannicus de Racine où Néron

multiplient les efforts pour sortir de la situation inextricable dans laquelle ils se trouvent. Ces efforts sont opposés et contradictoires, les personnages s’affrontent tandis que l’action progresse sur scène et hors scène. L’acte V est celui du dénouement, il est souvent constitué d’une CATASTROPHE, renversement de situation qui dénoue le nœud de l’intrigue. (IPH est sauvée car on a trouvé la vraie « fille du sang d’Hélène » : la victime supposée est sauvée, son accusatrice condamnée). FICHE

l'ensemble, mais le tissu du style est trop parfait pour n'être pas d'un seul et même écrivain. Le succès « d'Andromaque », qui n'était comparable qu'à celui du « Cid », avait éveillé l'envie : peut-être aussi avait-il rendu le public plus difficile. « Britannicus » fut reçu froidement (1669) et se traîna péniblement jusqu'à la huitième représentation. On ne sentit point d'abord tout ce qu'avait de vrai, de profond, de terrible, ce tableau historique du caractère de la cour de Néron. Boileau, presque seul

action importante et des personnages illustres, qui est propre à exciter la terreur ou la pitié, et qui se termine ordinairement par un événement funeste. Ex : « Britannicus » de Racine, « Le Cid » de Corneille… Tragi-comédie : genre théâtrale dont la nature du conflit est tragique avec de nombreuses péripéties et dont le dénouement est heureuse Ex : Le Cid de Corneille. Drame bourgeois : genre théâtrale en prose du 18ème siècle, inspiré de la comédie larmoyante et théorisé par Diderot, qui

L’extrait de la scène 7 de l’acte V, il s’agit du dénouement de tragédie classique, on le voit car Racine obéit aux règles classiques. Ici on a un dénouement marqué par le malheur mais ce n’est pas tout le temps le cas dans les tragédies, Phèdre est l’image de la mort, Phèdre va jusqu’au bout. Thésée se sent coupable. Ici c’est l’aveu de Phèdre, c’est un choc pour Thésée. On voit Phèdre mourir sur scène. En quoi ce dénouement constitue-t-il un dénouement exemplaire ? I) Les regrets de Thésée 1)

troupes se disputent. Andromaque est jouée dans la troupe de l’Hôtel du Marais. Cette pièce fait un succès grâce au talent de la Marquise du Parc, débauchée de la troupe de Molière. 1670 => préface de Britannicus, où Racine insulte Corneille. Les rivaux choisiront les mêmes sujets (Britannicus, Bérénice, Mithridate ; sujets romains, familiers de Corneille). Molière monte Tite et Bérénice, de Corneille ; Racine donne sa Bérénice à la troupe rivale. On accuse Racine d’avoir empoisonné Melle du Parc

d'éclairer les rapports de forces entre les divers personnages. Exemple : mais supériorité tantôt du Comte, tantôt de Figaro dans diverses scènes du Mariage de Figaro de Beaumarchais ; emprise provisoire d'Agrippine sur Néron au début de l'acte IV de Britannicus (tragédie). 3. Montrer la vérité : Grâce à des quiproquo ou autre procédés on peut enfin apprendre ce qui s’est réellement passern ce que les personnages voulaient vraiment. Exemples : dans la fin du Mariage de Figaro, le conflit entre Figaro

l’apogée de la pièce. Prenons pour exemple l’Acte III de Horace, Corneille : Lors de cet acte on s’en remet aux Dieu pour connaître leur volonté par rapport au combat, le combat a lieu et Rome perd la bataille contre les Horace. La scène de dénouement est la dernière scène de la pièce. Tous les personnages arrivent à leurs fins, leur destin est accomplis. Une tragédie classique est également rédigée en alexandrins (jusqu’au XIXème siècle) avec des rimes à chaque vers. C’est dans Andromaque