Britannicus Le Dénouement

remarques en un plan détaillé 1. Première organisation évidente : suivre les structures du texte ou les étapes du récit. 1. Nœud : les causes futiles d’un conflit, 2. Péripéties : une guerre désordonnée et cruelle, 3. Dénouement auxquelles j’adjoins la leçon de l’apologue final : l’enfer du mal et la caution de la religion. 2. Deuxième organisation qui va de l’apparent au caché. Cette organisation est meilleure car elle est plus équilibrée et surtout rend mieux compte

coup de foudre et du destin. Argument 2 : le . . . rapprochement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .amoureux . . . . . . . . . . . . . conduit . . . . . . . . . . les . . . . deux . . . . . . .amants . . . . . . . . . .vers . . . . . un . . . . dénouement . . . . . . . . . . . . . . . . tragique. ........................................ ..................................................................................................................................................... – Exemple 3

bibliographie sur ce sujet sur le site suivant : www.civilization.ca/mcc/explorer/ musee-virtuel-de-la-nouvelle-france/population/ les-filles-du-roy/les-filles-du-roy27. 2. La présentation, page 52, laisse entendre, dès le début du roman, un dénouement tragique. La jeune fille semble être une prostituée exilée vers l’Amérique. La lecture des pages 15 à 20 permet de découvrir le Chevalier Des Grieux suivant le convoi des « filles de joie » où se trouve Manon, puis de le retrouver seul, éploré

bibliographie sur ce sujet sur le site suivant : www.civilization.ca/mcc/explorer/ musee-virtuel-de-la-nouvelle-france/population/ les-filles-du-roy/les-filles-du-roy27. 2. La présentation, page 52, laisse entendre, dès le début du roman, un dénouement tragique. La jeune fille semble être une prostituée exilée vers l’Amérique. La lecture des pages 15 à 20 permet de découvrir le Chevalier Des Grieux suivant le convoi des « filles de joie » où se trouve Manon, puis de le retrouver seul, éploré

des sentiments. On pourra ainsi étudier les rapports de l'amour et de la dévotion dans la déclaration du « dévot personnage' » à Elmire (Tartuffe, 1664, acte III, scène 3), ceux de l'amour et de la cruauté dans la déclaration de Néron à Junie (Britannicus de Racine, 1669, acte II, scène 3), les séductions du roué dans une lettre de Valmont à Mine de Tourvel (Les Liaisons dangereuses de Laclos, lettre 48), le narcissisme de la passion chez Adolphe (Adolphe de Benjamin Constant), son jeu dans la déclaration

tragédie en prose, il faut toujours que l’émotion dévore le sentiment. Voici donc la différence entre les extrêmes de la tragédie et de l’opéra. Dans la tragédie le dénouement est simplement une fin ; et la nature y est pour beaucoup, et même pour tout, dès que la poésie fléchit. Dans l’opéra au contraire, et par le son seulement, le dénouement est partout ; j’y entends un bonheur qui menace toujours, si je puis dire, les passions, une vie humaine qui se reprend et qui continue, enfin un sublime ordinaire

conséquent l’autorité à mesure qu’il se constitue en sujet, qu’il s’émancipe. Il doit se libérer de la question même de la servilité – qui réside tout entière dans la dialectique suivante : ou s’opposer, ou collaborer – pour accéder à l’autonomie. Le dénouement ne met donc pas en scène l’avènement d’une inversion de la position de sujétion, un renversement des rapports de force entre Clov et Hamm : il ne s’agit pas tant de pousser Clov à prendre l’ascendant sur son maître, que de faire éclater – définitivement

scènes déjà éculées par cette littérature. Il s’agit en quelques sortes pour l’auteur d’offrir au lecteur la satisfaction de la prémonition. Les ressemblances entre les scènes du roman et d’autres déjà lues permettent au lecteur d’anticiper leur dénouement. Le lecteur, fier de son succès se juge 116 117 Ibid.,, p.337 Nous empruntons cette expression au titre de l’ouvrage de Zingrind Hunke. 118 BERCHET, Jean-Claude, Introduction à l’Anthologie des voyageurs dans le Levant, op.cit., p.17 36

véritable effet; le reste n'était qu'une simple expression de reconnaissance et d'étonnement pour des dons superflus. Cependant, au milieu des bénédictions bavardes de cette famille, je ne ressemblais pas mal au Héros d'un Drame, dans la scène du dénouement. Vous remarquerez que dans cette foule était surtout le fidèle espion. Mon but était rempli: je me dégageai d'eux tous, et regagnai le Château. Tout calculé, je me félicite de mon invention. Cette femme vaut bien sans doute que je me donne tant

simple expression de reconnaissance et LETTRE XXI 35 Les liaisons dangereuses d'étonnement pour des dons superflus. Cependant, au milieu des bénédictions bavardes de cette famille, je ne ressemblais pas mal au Héros d'un Drame, dans la scène du dénouement. Vous remarquerez que dans cette foule était surtout le fidèle espion. Mon but était rempli : je me dégageai d'eux tous, et regagnai le Château. Tout calculé, je me félicite de mon invention. Cette femme vaut bien sans doute que je me donne tant