Brodeck Renards

Introduction Nous avons tous en tête des fables de La Fontaine apprises à l'école primaire : « La Cigale et la Fourmi », « Le Corbeau et le Renard », « La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf »… Puis, après quelques années d'oubli, en classe de première les programmes officiels de littérature les rappellent à nous : en effet, quel meilleur exemple du genre de l'apologue que les Fables de La Fontaine ? Et pourtant, si Rousseau ressuscitait de nos jours, il interdirait formellement

Fontaine "Le Renard et le Bouc". Après l'introduction, détail du schéma narratif rigoureux puis analyse des animaux personnifiés et enfin la morale puis la conclusion. Capitaine Renard allait de compagnie Avec son ami bouc des plus haut encornés : Celui-ci ne voyait pas plus loin que son nez ; L'autre était passé maître en fait de tromperie. La soif les obligea de descendre en un puits : Là chacun d'eux se désaltère. Après qu'abondamment tous deux en eurent pris, Le renard dit au bouc :

Le Corbeau et le Renard Maître Corbeau, sur un arbre perché,Tenait en son bec un fromage.Maître Renard, par l’odeur alléché,Lui tint à peu près ce langage :«Hé! bonjour, Monsieur du Corbeau.Que vous êtes joli! que vous me semblez beau!Sans mentir, si votre ramageSe rapporte à votre plumage,Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois.»À ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie:Et pour montrer sa belle voix,Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.Le Renard s’en saisit, et dit: «Mon bon Monsieur

et âme de la fable Dans le corps on a 4 parties : v.1 à 7 : présentation des personnages ; situation initiale v.8 à 13 : réaction du Loup, qui diffère de celle du Renard vis à vis du Lion v.14 à 30 : partie centrale au discours direct ; intervention du Renard v.31 à 34 : chute de la fable, le Lion suit les conseils du Renard ; la ruse, ou l’habilité, triomphe. Le récit est solide et structuré ; il commence au passé, se poursuit au présent de narration pour plus de vivacité et finit au passé

âge. | |-Le chène |-Le chêne. | |-Le Renard |-Le renard. | |-L’Agneau |-L’agneau. | |-Une thèse

montrer le contraire, ici les animaux sont utilisés pour critiquer les hommes et leurs mœurs. Les différents animaux : Le Lion représente le pouvoir, la puissance et l’habileté, Il affirme son autorité et rappelle qu’il est le représentant de Dieu. Le Renard est un animal rusé, qui cherche à se défendre et à se sauver. L’âne est un beau parleur, c’est un animal très naïf, et insouciant. II/ la parodie d’un procès Représente la peste : « Inventa pour punir les crimes de la terre » Le cadre de la

financier, un modeste savetier prend possession d’une fortune mais perd son bonheur de vivre. La sagesse du savetier fait qu’il préfère récupérer ses « chansons » et son « somme » en rendant au financier les « cent écus ». le lion le loup et le renard : c'est une moquerie encore envers la cour et le roi que fait JDLF ici Fable écrite en premier par esope le pouvoir des fables : Les femmes et le secret : La plupart des femmes ne savent rien taire le rat et l'huitre : C'est l'huitre

Oliver Twist Charles John Huffam Dickens, né à Landport, près de Portsmouth, Hampshire, le 7 Février 1812, mort à Gad's Hill Place, Higham, KENT, le 9 Juin 1870 , est considéré comme le plus grand romancier de l'époque victorienne, et, dès ses premiers écrits, est devenu immensément célèbre, sa popularité ne cessant de croître au fil de ses publications. L'expérience de son enfance, que certains considèrent comme la clef de son génie, a été, peu avant l'incarcération de son père pour dettes à

ils acceptent ce qui s’offre à eux, du haut de leurs égaux surdimensionnés.• 6, « La cour du Lion » où un Lion représenté en tant que Roi qui organise un conseil où avec sévérité il puni un singe et un Ours. Puis dans le corps d’un animal rusé, un renard trouve une excuse pour ne rendre aucun jugement, ainsi il ne peut être puni.• 12, « Les deux coqs » avec un vautour comme prédateur pour représenté la perte travaillée par l’insolence du coq vainqueur. Ainsi le perdant en profita pour y trouver son

Anouilh élimine la fourmi au profit du renard, réputé pour sa ruse, discret clin d’oeil au Roman de Renart. La cigale devient le personnage principal, héroïne triomphante qui dément ainsi sa légende et la fable source. La cigale est en réalité une fourmi. Elle est le moteur du récit (vers 9), impose sa parole, calcule, décide, ordonne (« j’entends » répété deux fois, v. 38 et 42, « vous l’augmenterez », v. 40, « je veux », v. 50, contraignant le renard à « s’incliner », v. 57). La progression