Bruges La Morte

t i q u e Od R e n a issa n ce rhénane Mayence in Dresde Cologne o c é a n Munich Bâle R e n a issa n ce fra n ça ise Genève Trente Lo ir e Milan Pô e ro n Rhôn Ga ne Poznan Anvers Bruges Le temps de l’humanisme et de la Renaissance e ul 4 R e n a issa n ce fla m a n d e Londres Elb Vérone Pavie Mantoue Venise Padoue Ferrare Da nub e R e n a issa n ce ita lie n n e Florence Urbino

: Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur. " Victor Hugo (" les voiles " = les bateaux à voiles) Une tête si chère; une lame; le cèdre (coffret de cèdre)... La PÉRIPHRASE : elle remplace un mot par sa définition. Ex. : La Venise du Nord = Bruges; la capitale de l'hexagone= Paris L' ANTIPHRASE (procédé de base de l' ironie) : cette figure consiste à exprimer une idée par son contraire, dans une intention ironique. Ex. : C'est de bon goût! = C'est tout à fait déplacé. -- Ne vous gênez pas

originaux d’un mouvement symboliste qui a su garder son autonomie par rapport à l’école française .Il est l’auteur de plusieurs recueils Jeunesse blanche (1886), Le Règne du silence(1891), Les vies encloses (1896), mais aussi des romans tel Bruges la morte(1892) , Le Carillonneur (1895)sur le même ton du silence et de l’obscurité . 3-Emile Verhaeren (1855-1916) : poète belge dont les poèmes sont influencés par le symbolisme ou il pratique le vers libre ; auteur de : Les Flandres (1883)

Tous les matins on met les montres à l'heure Le train avance et le soleil retarde Rien n'y fait, j'entends les cloches sonores Le gros bourdon de Notre-Dame La cloche aigrelette du Louvre qui sonna la Barthélémy Les carillons rouillés de Bruges-La-Morte Les sonneries électriques de la bibliothèque de New-York Les campagnes de Venise Et les cloches de Moscou, l'horloge de la Porte-Rouge qui me comptait les heures quand j'étais dans un bureau Et mes souvenirs Le train tonne sur les plaques

états d’âme * Privilégier la musicalité du vers Les thèmes essentiels du mouvement : * La quête de l’Idéal * La pureté et le blanc * La mélancolie Auteurs : * Laforgue * Les complaintes * Rodenbach * Bruges-la-morte * Maeterlinck * Pelléas et Mélisande 20ème siècle * Poèmes plus modernes Apollinaire * Le poète de la modernité * Peu de ponctuation dans les poèmes * Totale liberté formelle * Parle de choses concrètes de la

premiers à utiliser la couleur à l'huile. » et c'est sur elle que tous les historiens se sont basés globalement, pour reconstituer la chronologie des autres œuvres de Goes. Entre 1474/1475, Tommaso Portinari, responsable à la banque des Médicis de Bruges depuis 1466, engagea l'artiste à peindre le majestueux triptyque destiné à la chapelle San Egidio que sa famille avait fondé pour l'hôpital de Santa Maria Nuova à Florence. Il est d'ailleurs toujours conservé aux offices de Florence aujourd'hui.

aux risques de tempêtes qui mettent en péril beaucoup de traversées. Cela a pour conséquence de paralyser le transport maritime pendant environ la moitié de l’année et l’homme d’affaires devra gérer au mieux ce problème pour s’affranchir de cette morte saison. Enfin, les risques liés au transport routier (coût élevé et faible capacité de fret) et au transport maritime (pertes importantes si les bateaux coulent et lenteur) qui paralysent les échanges pendant une grande partie de l’année vont inciter

» (Gil Blas, 3 juillet 1883), « La Chevelure » (Gil Blas, 13 mai 1884), « La Tombe » (Gil Blas, 12 août 1884), « A vendre » (Le Figaro, 5 janvier 1885), « L’Inconnue » (Gil Blas, 27 janvier 1885), « Sur les chats » (Gil Blas, 9 février 1886), « La Morte » (Gil Blas, 31 BENHAMOU, Noëlle79 tiel à l’œuvre de Maupassant – associé au fantastique pour montrer la proxi- mité permanente avec le réalisme. Ces écrits ancrés dans le quotidien unis- sent les fantasmes érotiques masculins d’une époque et l’angoisse

feux allumés sur les collines l’obscurcit. Le brun est, avant tout, la couleur du sol terrestre Cette représentation tripartite rappelle la technique des grands triptyques, et notamment ceux de Jérôme Bosh avec Le Jugement dernier de Vienne et de Bruges, mais aussi La Charrette de foin ou encore le Jardin des délices. Dans chacun des ces triptyques on voit que le paradis est représenté à gauche qui représente la droite de Dieu, et l’enfer à droite. Avec des représentations allégoriques d’anges et

Barthélemy Aneau, Étienne Tabourot, et Béroalde de Verville, auteur de Moyen de parvenir (1616)16. Poésie Peinture de Pierre de Ronsard vers 1620. L'appellation « Renaissance » est ici aussi problématique : après tout, la littérature n'était pas morte et l'Âge d'or (1530-1560) est finalement assez court et évolue très rapidement vers le Baroque. La poésie compose alors un ensemble assez polymorphe et disparate. D'un côté, quelques formes médiévales subsistent - que l'on songe notamment à Marot