Bruit blanc

B comme blanc, B comme belle, B comme blanche neige, B comme bye bye le noir, B comme butiner, et oui le blanc nous rend belle et à de beaux jours devant lui. Cet été le blanc ne connait aucune limite, il claque sous les talons lors des défilés. Et c'est pas trop tôt! Ca fait des mois qu'on l'attend dans notre grisaille, il est enfin là : à la une des magazines, sur les brunes, les blondes, simplissime, minimaliste, il se suffit à lui même en été mais en hiver à encore besoin de sa sombre jumelle

un bonhomme tout bizarre. Il était vieux et blanc de peau et avait l´air de méchamment crier après quelqu´un. Ce monsieur blanc avait l´air très riche. Il hurlait après un garçon non-blanc de peau et un peu noir aussi qui avait lui l´air très pauvre et qui était en train de cirer les chaussures d´un autre blanc riche et vieux pour se faire un peu d´argent. En effet, il avait 15 copains noirs et il voulait gagner de l´argent pour eux. Donc le premier blanc criait fort "quoi tu ne veux pas me cirer mes

Gros Homme Blanc est là, s’agitant, comme à son habitude. De jolies perles translucides se forment sur son nez, son front, grossissant rapidement avant de pleurer péniblement le long des pores de sa peau grasse.Tapie sous le comptoir, Zée observe un bien étrange ballet. Des mollets cachés sous des bas noirs reprisés, des pantalons grossiers, tirent des pieds chaussés de godillots. Les pieds arrivent toujours par la porte et se dirigent tous vers le comptoir. Gros Homme Blanc les rejoint

la décorateur; toute agressivité et à bannir au profit de la douceur des couleurs pastel des objets seront rons et lisses 5) l'éclairage Jaune : renvoie au soleil, donne l'impression de chaleur, d'action, est synonyme de royauté(roi-soleil) Blanc : est symbole d'innocence, de pureté, de sagesse, de vérité. Vers : renvoie à la nature, au repos, est synonyme d'espérance, de vie et de fertilité. Cependant terne il évoque la maladie, le malheur Rouge : il évoque la passion le sexes le dynamisme

accordent aux Noirs des droits plus proches de ceux des Blancs qu'auparavant. c’est pourquoi Forrest va sillonner le pays pour y tenir des réunions. Chacune de ses apparitions sera suivie d'une vague de violence contre les Noirs. Les membres du KKK brûlent des croix devant les maisons des Noirs, font irruption chez eux pour les fouetter ou même les tuer en les pendant aux arbres. Certaines femmes enceintes sont éventrées et des hommes castrés. Les Blancs qui côtoient ou instruisent les Noirs sont également

L’expansion coloniale. 2 Les raisons de la colonisation. L’ensemble des métropoles européennes est favorable à l’entreprise coloniale. Pourquoi ? La colonisation est une entreprise légitime de « l’homme blanc ». L’idée de Kipling, un écrivain anglais selon laquelle « le fardeau de l’homme blanc » est d’initier et d’éduquer les peuples dits « primitifs » s’est répandu à travers tout le continent européen. Ce fardeau est un devoir une tâche dont il doit s’acquitter. Cette idée à servit de principal

HISTOIRE ÉTUDE D’UNE ŒUVRE D’ART 1. Le sujet : 1.1 Auteur : ALLORI, Alessandro Titre : Allegory of human life Date : 1570-90 Support : Cuivre Dimensions : 37*27 cm Lieu de conservation : Galleria depli uffigi, Florence 1.2 Le genre de cette œuvre est une allégorie. 1.3 Ce qui est représenté : Au premier plan un homme qui garde la terre et un ange qui lui joue de la trompette, a l’arrière plan il y a plusieurs personnes qui font une sorte d’orgie. Tout

L’artiste : Né en 1830 aux Antilles , Pissaro vient en France étudier . Il découvre l’exposition universelle de 1855 mais il préfère fréquenter les ateliers des peintres officiels ( C.Monet). Il a peint des paysages ruraux puis des paysages urbains : une série de tableaux représentant les rues de Paris et d’autres villes. Il a réalisé 11 tableaux de cette œuvre. C’est un des maîtres de l’impressionnisme. Il a vécu à Eragny et Pontoise. Il meurt en 1903. Thème de l’œuvre : Paris Description de l’œuvre :

passant par les Landes désertes, Vrai Sahara français, poudré de sable blanc, Surgir de l'herbe sèche et des flaques d'eaux vertes » Gautier sollicite nos sens. La vue, grâce à l’évocation des couleurs « sable blanc » ou « eaux vertes » et à l’expression « On ne voit ». Les sensations tactiles avec « poudré » et « sèche ». Il continue ainsi et dans la deuxième strophe, il nous fait entendre le bruit de la scie contre l’arbre « Dans son tronc douloureux ouvre un large sillon

baïonnettes. Les deux camps avaient des canons, et du gaz. Les couleurs de cet extrait sont sombres et très froides, gris, bleu, blanc, noir. De plus, nous entendons les bruits des balles, des obus et les cris des hommes. A la 30e seconde nous entendons la voix off de Mathilde. La guerre a été une boucherie, plus 500 000 hommes on perdues la vie. Les soldats ont vécus un enfer, le bruit, la mort omniprésente, la peur font de cette bataille inhumaine le symbole de la violence de masse. Les pertes des deux