Brutalité

par les dynamiteurs asturiens. En ce moment, l'artiste Pablo Ruiz Picasso (né en 1881 et mort en 1973) était le directeur du musée du Prado à Madrid et reçu le commandement par la République espagnole de peindre un tableau qui représenterai la brutalité et la violence de la guerre pour l'Exposition Internationale de Paris de 1937. Il s'agit d'un tableau cubiste (du a la décomposition des objets en formes géométriques) et expressionniste (car il exprime de l'angoisse et elle reflète les problèmes

au trône d'Autriche-Hongrie par un indépendantiste serbe, met en marche la machine de guerre. Des alliances se créent, les pays comme la France ont déjà lancé un appel à la mobilisation. Les Etats sont prêts pour ce qui va être une guerre d'une brutalité sans précédents, engageant plus de la moitié des pays de la planète. En 1914 dès le début de la guerre se met en place une stratégie de mouvement de la part des allemands qui prévoient une invasion totale de la France par la prise de Paris en

Frères , c’est semblable. Une description du monde démontre que rien n’est parfait : « …le sentiment de la brutalité du monde. » (p.101). Cette expression rejoint le contexte de l’autre extrait. Le monde dans lequel les deux jeunes garçons vivent n’est pas rose et ils le savent. C’est justement pourquoi ils partent en mer pour aller trouver mieux pour eux. La brutalité du monde englobe un paquet d’éléments comme les comportements de la société, par exemple. En bref, il est clair que notre

modulation de la brutalité le long de lignes raciales que le pouvoir voulait rigides. Sous l’apartheid, la brutalité avait trois fonctions. D’une part, elle visait à affaiblir les capacités des Noirs à assurer leur reproduction sociale. Ils n’étaient jamais en mesure de réunir les moyens indispensables à une vie digne de ce nom, qu’il s’agisse de l’accès à la nourriture, au logement, à l’éducation et à la santé ou, davantage encore, aux droits élémentaires de citoyenneté. Cette brutalité avait d’autre

jaune et blanc). Cette absence de couleur évoque la mort, à la fois la mort des victimes et la mort de la civilisation. [pic]Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole, le taureau et le cheval ; le taureau c’est la brutalité et le cheval c’est le peuple. [pic] •  La mère portant son enfant mort : la douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles au premier abord, alors que le reste du tableau peut sembler plus difficile d’accès. L’enfant mort dans les

République. ● Le taureau ne semble pas souffrir, contrairement aux autres personnages. Il est ici spectateur et témoin de la tragédie. Le taureau est le symbole de la brutalité, de la cruauté. Il représente les nationalistes. Son regard se détourne de la scène mais il fixe le spectateur, comme pour nous prendre à témoin. ● Cheval blessé

plus de dix ans après la première Guerre Mondiale , une période en Allemagne et en Europe ou les gens commence a oublier les souffrance de la guerre. C’est de dans ce contexte que Otto Dix réalise sont oeuvre dans le but surement pour rappeler la brutalité et la sauvagerie lors de ce conflit inter-étatique. Description et analyse de l’œuvre Dans tous ses panneaux, on remarque l’apparition de couleur dominante, que l’artiste a mis plus en avant que d’autres couleurs comme le rouge pouvant signifier

conséquences sociales dramatiques, jetant sur les chemins quantité de personnes dénuées désormais de tout moyen d'existence, et cela avec brutalité. « Vos moutons si doux, si faciles à nourrir de peu de chose, mais qui, à ce qu'on m'a dit, commencent à être si gourmands et si indomptables qu'ils dévorent même les hommes. » Thomas More dénonce ces conséquences et cette brutalité dans la première partie d'Utopia : « On se trompe en pensant que la misère du peuple est une garantie de paix, car où y a-t-il

voir : - En bas un jeune homme qui a le crâne rasé comme un militaire, décapité et son corps est démembré, ses yeux sont désordonnés, sa bouche ouverte laisse apparaître une dentition précise qui traduit toutes les brutalités de la guerre et la décapitation est un signe de brutalité - Juste au-dessus de l’homme décapité est peint une femme qui tient dans ses bras son enfant, elle regarde le ciel avec des yeux en forme de larme qui symbolisent sa tristesse et son désarroi. - Tout en haut se trouve

Phèdre fait l’aveu de son amour pour Hippolyte, la passion est présentée sous deux aspects = titre du I. Elle apparaît d’abord comme un sentiment très brutal = titre du 1) ; elle est ensuite décrite comme une force négative = titre du 2). C’est la brutalité qui, dans un premier temps, caractérise l’amour que ressent Phèdre pour son beau-fils = idée principale. D’une part, ce sentiment est né d’un coup = idée dérivée n°1; l’indice temporel « à peine » signale qu’il a surpris Phèdre à un moment où elle