Brutalité

1932 c'est à dire plus de dix ans après l'armistice et la fin de la guerre 14-18. Otto Dix a réalisé ce grand triptyque aujourd'hui exposé à Dresde (204x204 cm pour le panneau central, 204x102cm pour les panneaux de côté) pour rappeler l'extrême brutalité de la première guerre mondiale et la sauvagerie que les soldats ont subi durant le conflit. Né le 2 décembre 1891 à Untermhaus l'artiste peintre allemand Otto Dix s'est engagé volontairement durant cette guerre meurtrière. Il combattra en France

parler du contenu)La mère expose un trait de caractère commun à Antoine et Suzanne : la brutalité . La Mère évoque ensuite l’attitude de Louis. Ligne 22 à 25 puis ligne 31 à 33.Elle prédit l’incompréhension de Louis confronté aux propos (Reproches ?) maladroits de son frère et de sa sœur . Elle évoque ensuite le silence et la passivité de Louis qui contrastent avec la brutalité de Suzanne et Antoine . La mère procède à une deuxième digression

agencé : 1/ Les parallélismes entre quatrains et tercets : dans la syntaxe ( subordonnée de temps avec accumulation puis brutalité de la proposition principale, rejetée en fin de phrase sur un seul vers,…), et dans le lexique (yeux/voix/main/esprit) 2/ Les oppositions entre quatrains et tercets : dans la syntaxe (opposition « Tant que »/ « Quand » : durée, espoir/ brutalité, désespoir, …ampleur ds les quatrains des subordonnées/ brièveté et rapidité de l’enchaînement ds les tercets, « ma voix cassée

et d’apporter des améliorations aux personnes privées de liberté, de rendre public les conditions de vie certaines personnes, sans exagération. Suite à ces visites au sein d’établissements pénitentiaire, Mr JM Delarue parle de « vétusté, brutalité, pauvreté et indignité. » La France compte actuellement 194 établissements pénitentiaires, (comprenant les Maison d’Arrêt, les Centre de Détention, les Centres pénitentiaire, les Maisons centrales, les centres de semi-libertés et les Etablissements

effets de la colonisation. En second lieu, Aimé Césaire va avancer des contres arguments pour appuyer sa thèse. Il soutien que les rapports entre colonisateurs et colonisés sont fondés sur la violence, comme l'indique ce passage: « la force, la brutalité, la cruauté le sadisme, le heurt ». Il dit aussi que les noirs sont traités je cite, comme des « boys », comme des « fonctionnaires subalternes ». De plus, l'auteur assure que les noirs sont soumis et persécutés: « Entre colonisateurs et colonisés

libéraux (= idées révolutionnaires) : en 1824 Goya quitte l'Espagne pour la France, où il décède en 1828. Analyse - 1er plan : 1. La répression : elle est figurée par des soldats faisant dos au spectateur. Unis, et anonymes, ils représentent la brutalité aveugle de la guerre et la répression. 2. le massacre : il est souligné par l'entasse- ment des corps baignant dans leur sang (43 personnes ont été fusillées) . 3. Le personnage central : un martyr à l'image du Christ en croix. La position des

Jr. (dirigeant du mouvement pour les droits civiques) ; ces morts déclenchèrent une révolte des afro-américains et des grèves d’étudiants, ce qui entraîna une brutalité des attaques policière, ce qui choqua profondément la Nation. De plus, cette année là, à Mexico, un gigantesque mouvement populaire ce met en route mais la brutalité de l’Etat fait basculer les étudiants révoltés dans la clandestinité. L’issu en sera un massacre de masse à Tlatelolco prémédité par l’armée. La dernière date

New York mais en 1981, il retourna en Espagne au musée du Prado. Il se trouve aujourd'hui au Musée National Reine Sophie à Madrid. Picasso se sert de symboles empruntés à la mythologie espagnole, le taureau et le cheval ; le taureau c’est la brutalité et le cheval c’est le peuple. Dans la période qui suit les années vingt, Picasso exécute déjà des œuvres tourmentées de corrida qui préfiguraient Guernica et en 1935, dans une eau-forte, la « Minotauromachie », il exécute une représentation, aux

remarque une certaine brutalité et violence d’entrée en matière de la part de Paneloux : « mes frères, vous êtes dans le malheur, mes frères, vous l’avez mérité » à la ligne 3. Cette violence est accentuée par les termes « martelée » (ligne 3), « attaqua » (ligne 2) qui annoncent la prise de parole de Paneloux. B) La péroraison est la dernière partie du discours. Dans cet extrait, on la trouve de la ligne 140 « on sentait que Paneloux avait fini » à la fin du texte. • La brutalité de l’exorde amène

agencé : 1/ Les parallélismes entre quatrains et tercets : dans la syntaxe ( subordonnée de temps avec accumulation puis brutalité de la proposition principale, rejetée en fin de phrase sur un seul vers,…), et dans le lexique (yeux/voix/main/esprit) 2/ Les oppositions entre quatrains et tercets : dans la syntaxe (opposition « Tant que »/ « Quand » : durée, espoir/ brutalité, désespoir, …ampleur ds les quatrains des subordonnées/ brièveté et rapidité de l’enchaînement ds les tercets, « ma voix cassée