Brutalité

gueule ouverte et sa langue pointue évoquent un cri de douleur. La lance qui le blesse au flanc rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ dans de nombreux tableaux religieux. Le corps démembré et décapité témoigne de la violence et la brutalité du combat. Il montre la détermination, la valeur. Ses yeux renversés indiquent la mort. Il tient à la main une épée brisée, dérisoire pour lutter contre les bombes. Elle symbolise la défaite et l’inégalité du combat. (Les républicains étaient en

signifie: sûr de lui et conquérant. Il joue de son corps pour séduire (tout en se dandinant avec grâce l.23) avec de l'ironie. b) le caractère Il contraste par rapport a l'allure. Ce qui frappe, c'est la brutalité de ses pulsions à l'égard des paisibles consommateurs (l.18-19). Cette brutalité se transforme en haine dans la séquence finale. Le personnage rêve de tués, avec l'esprit de vengeance (toute la dernière phrase). C'est un homme "sans scrupule" donc près a tout pur arriver à ses fins. L'injure

et gaillard: sûr de lui et conquérant. Il joue de son corps pour séduire ( tout en se dandignat avec grâce l.23) avec l'ironie. b) Le caractère Il contraste par rapport à l'allure. Ce qui frappe, c'est la brutalité de ses pulsions à l'égard des paisibles consommateurs (l.18-19). Cette brutalité se transforma en haine dans la séquence finale. Le personnage de rêve de tués, avec des l'esprit de vengeance ( tout dernière phrase). C'est un homme "sans srupule" donc près à tout pour arrviver à ses fins

jaune et blanc). 4) Cette absence de couleur évoque la mort, à la fois la mort des victimes et la mort de la civilisation.
Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole, le taureau et le cheval ; le taureau représente la brutalité et le cheval, le peuple. La lance qui transperce le flanc du cheval rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ. La crucifixion est l'archétype de la souffrance et de l'agonie. (analyse empruntée à W. rubin, L'Art dada et surréaliste.) La pièce

l’auteur et nous fait ressentir une pitié, c’est pathétique. De plus il y a un travail autour des sonorités en « i » comme avec « maudit », « tragédie », « incendie », « dit », « jeudi » qui accentuent la brutalité de la tragédie, de la guerre. En effet, l’auteur engagé denonce la brutalité de la guerre à travers ce poème qu’il se remémore et qui fait rage puiqu’il s’agit d’un poème parut en 1945. Le travail des sonorités se retrouvent aussi dans les sons en « oir » pour mettre l’accent sur

défense. Mais, d'autre part, la violence est contraire à la raison, elle n'est pas légitime même si elle s'exerce contre un pouvoir, une institution injuste. D'autre part, il n'est pas toujours facile de se faire entendre sans avoir recours à la brutalité, voyons quelques exemples.. Un exemple tout à fait d'actualité est celui de la lybie. Il y a quelques semaines, un soulèvement populaire à eu lieu. En effet, le colonel Kadhafi étant tyranique, la population lybienne ne disposait plus d'aucuns

Voltaire, ses techniques d’exagération et de contraste accentuent le mal et la brutalité du monde lorsque les hommes acceptent doucement leur destin. Leibniz, un philosophe et mathématicien allemand de l’époque de Voltaire, a développé l’idée que le monde où ils vivaient était à ce moment- là « le meilleur des mondes possibles ». Dans Candide, Voltaire a montré le monde avec toutes ses catastrophes naturelles et sa brutalité. Voltaire a utilisé également le contraste dans les personnalités des

" ils arrivent, ils volent " qui désigne les français s’oppose à " les voitures lentes d’Asie ..... " qui reproduit la lenteur asiatique. - La brutalité des Parisiens : l’hyperbole : " Je suis plus brisé que si j’avais fait 10 lieues "L ; 16, " un homme qui vient " Ligne 15. Le rythme de la phrase avec une succession de verbes symbolise cette brutalité. - Le roi et son pouvoir : " ce roi est un grande magicien " Ligne 25 " prodige " Ligne 23 champ lexical de la magie, du miracle : "la force et

Analyse 5 : Ce fut en vain, Le Rouge et le Noir, 1830Intro :Stendhal fait partie des auteurs majeur de la littérature française du 19ème siècle. Ces romans à la fois romantique et réaliste, reflète ses goûts : Napoléon, l’Italie, la sensibilité individuelle et le caractère énergique de ces personnages jetés dans une époque, une société qui cherche à les contraindre, à les broyer. Dans le roman Le rouge et le noir, sous-titré « Chronique de 1830 », qui souligne le caractère réaliste et l’actualité

« un nègre étendu par terre » l 21,22 , comme condamné à être peu actif à même le sol. Puis son état physique est énoncé comme un constat : «il manquait ce pauvre homme … droite» l 23,24 . Aucun adjectif qui ne manifeste la pitié, mais la brutalité même du fait mis à part une seule marque du narrateur, l'adjectif « pauvre ».L'esclave est déshumanisé, et on prend les esclaves comme des animaux. Il n'a plus de religion, il est dépossédé de ces racines culturelles et religieuses. L'homme