Brutalité

meurtrier, souligné par un champ lexical de la violence : « serra plus fort », « serrait à la gorge », « secouait toujours », « il finit par l’arracher de la barque », « lança brusquement le commis ». Les adverbes relevés ici contribuent à renforcer la brutalité de l’attaque. Le lexique du corps domine dans l’extrait, qu’il s’agisse de celui du meurtrier « figure », « main rude », « bras vigoureux », « le cou »… ou de celui de la victime « les genoux », « les dents ». Le combat est donc physiquement intense

et néant ». Calliclès célèbre donc les vertus guerrières, l’ivresse de la volonté de puissance à l’égard du troupeau de l’humanité que représente à ses yeux la société. Il est rare d’entendre un discours entretenant un tel cynisme. Cette brutalité a le mérite de mettre la violence au grand jour. Elle nous permet de discerner ce qu’est l’homme violent. L’homme violent est celui qui, renonçant au respect de l’humain, suit la logique de la violence. L’homme violent s’enivre de sa violence, il

personnage qui n’a rien fait (l’armée de Napoléon va en effet fusiller des centaines d’innocents), les bras en croix sont une référence à Jesus-Christ, victime innocente des romains. Les soldats napoléoniens, en rang, disciplinés, symbolisent la brutalité et la barbarie, ils représentent l’obéissance « bête » à des ordres injustes. La lumière met en valeur les victimes, au détriment des bourreaux et l’individu qui se masque les yeux représente l’horreur des événements. La ville calme, en pleine nuit

déplorable. Aussi, son état physique est annoncé avec un optimisme exagéré : « il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite » (l.21-22) dans cette phrase, on ne cite aucun adjectif qui manifeste d’une manière ou d’une autre la brutalité de la chose. De plus, la relation maître-esclave se démarque par un ton de soumission fortement ressenti dans la phrase : « j’attends mon maître » (l.24), qui rabaisse l’esclave à l’état d’animal domestiqué. De plus, le nom « Venderdendur » (l.24)

l'emporte, et puis le mange '' → effet de SURPRISE et de BRUTALITE- Le Loup est: ''enragé'' + ''en colère'' + ''bête cruelle'' → excès 3) Opposition / Affrontement→ il y a deux couleurs: - le blanc = le Bien = l'Agneau - le noir = le Mal = le Loup Opposition entre le Loup et l'Agneau: - l'Agneau se trouve ici car il a soif → instincts seulement - le Loup a faim + ''cherchait aventure → il ne se réduit pas à ses instincts, recherche de brutalité: MENACANT - ''jeun'' + ''faim'' → redondant → faim

richesse « leurs misères hautaines » : marque la motivation de leur départ (la misère en Europe).L'oxymore souligne la noblesse à laquelle ils aspirent. Ils désirent connaître de nouvelles aventures. Ils sont « Ivres d’un rêve héroïque et brutal ». La brutalité est ici magnifiée par l'héroïsme. L'ivresse montre que le désir d'aventures et de découverte les passionne. « Espérant des lendemains épiques » renvoie à de nouvelles épopées. C’est vraiment ce vers qui transcrit les volontés des conquérants. néanmoins

rien résout mais par désir de vengeance, elle a tué son époux et à amplifier sa souffrance. Ce sont des criminels hors du commun, tous les meurtriers tuent un membre de leur famille avec une grande violence. On constate aussi dû à cette brutalité, une dévalorisation de l’être humain. Nous avons l’exemple de Thyeste qui a tué les enfants de son frère jumeaux(Atrée), on a même l’impression dans cette pièce de théâtre qu’il a tué des animaux mais ce sont des enfants («  détaché la viande des

En quoi ce poète rend il hommage aux résistants? I / torture morale et brutalité a. harcèlement/chantage. "dis le mot qui te délivre" (v.11), verbe impératif = ordre = un mot contre la vie. "rien qu'un mot la porte cède" (v.17), "rien qu'un mot, rien qu'un mensonge" (v.21); minimise la trahison. Il suffirait d'un mensonge pour vivre. "J'ai dis tout ce qu'on peut dire" (v.29) = voix de Gabriel Péri, "il répète calmement" (v.48) ; insistance du bourreau, "sous vos coups chargés de fer" (v

phrase clef « Le poète est semblable » dénonce la cruauté des humains par le biais des « marins » représentatifs de la vie médiocre à laquelle l’Albatros, tout comme le poète, ne peut s’adapter. C’est lorsque l’Albatros est au sol, affaibli par la brutalité des hommes, parmi les marins, qu’il devient maladroit. De la même façon, c’est le poète, qui, dès qu’il quitte son monde de la création poétique, est exclu et se sent malmené.· « Ce cœur qui haïssait la guerre » de

ici aucune beauté dans la naissance, même la femme la plus heureuse des trois s’en rendra compte. La vie est cruelle et fondamentalement injuste pour ces femmes qui ne sont pas prêtes. Ce film est dérangeant car il y a dans ce film une sorte de brutalité qui est visible. Les hommes sont ignorantes ou trop confiants face à la naissance, les femmes se retrouvent seuls et essayent de se soutenir dans un désespoir collectif. J’ai beaucoup aimé ce film car Bergman est un réalisateur hors du commun à tels