Bruyère cendrée

Par quels procédés la guerre est-elle dénoncée dans ces textes ? Le premier texte de ce corpus est de l'auteur Jean de La Bruyère. A la fin du XVIIème siècle, en 1688, il publie Les Caractères qui sont de brèves pièces littéraires ayant pour sujet les mœurs de son époque. Ce corpus est aussi composé d'un extrait du conte philosophique de Voltaire, Micromégas qu'il publia en 1752, c'est une œuvre qui résume l'esprit des Lumières en critiquant les travers sociaux de son époque. Enfin le

de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668 Jean de La Bruyère : Jean de La Bruyère, né à Paris le 17 août 16451 et mort à Versailles le 10 mai 16962, est un moraliste français. La Bruyère est célèbre pour une œuvre unique, Les Caractères ou les Mœurs de ce siècle (1688). Cet ouvrage, constitué d’un ensemble de brèves pièces littéraires, compose une chronique essentielle de l’esprit du XVIIème siècle. La Bruyère fut l’un des premiers écrivains à mettre en avant le style littéraire

plaisir le plus délicat est de faire celui d’autrui. Jean de La Bruyère 4-L’homme qui dit qu’il n’est pas né heureux pourrait le devenir par le bonheur de ses amis ou de ses proches. L’envie lui ôte cette ressource. Jean de La Bruyère 5-Une grande âme est au dessus de l’injure, de l’injustice, de la douleur, de la moquerie. Jean de La Bruyère 6-Il y a une espèce de honte d’être heureux à la vue de certaines misères Jean de La Bruyère 7- Si l’on est pas sensible on n’est jamais sublime. Voltaire

Recherches Français Définition du mot «moraliste»: Nom masculin. Écrivain qui traite des meurs.Un profond moraliste. Montaigne, Pascal, La Rochefoucauld, La Bruyère sont les principaux moralistes français. Définition du mot «morale»: Étymologie : du latin mores, mœurs. Nom féminin. Ensemble de principes de jugement, de règles de conduite relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs, parfois érigés en doctrine, qu'une société se donne et qui s'imposent autant à la conscience

et qui font autorité dans une certaine matière, comme Homère, Platon, Aristote. Il s'inspire d'Homère, Platon, Aristote, Demosthène. La Fontaine s'inspire d’Ésope. Molière s'inspire de Plaute. Racine s'inspire d'Euripide. La bruyère s'inspire de Théophraste. La querelle des anciens et des Modernes au 17èmes siècle : Les Anciens menés par Boileau, soutiennent une conception de la création littéraire en imitant les auteurs de l'antiquité. Cette thèse est formée sur l'idée que

de la compassion. L’auteur à travers ce portrait nous dénonce que la perte d’emploi conduit à la misère, et la misère en elle-même conduit à perdre son humanité, pour éviter de souffrir. On peut observer un parallélisme avec l’œuvre de Jean de La Bruyère : « De l’homme » au XVIIe siècle, qui décrit également la perte d’humanité chez les paysans, qui sont pourtant des hommes, à cause de leur travail mal payé.

Jean de La Bruyère: né le 17 aout 1645 et meurt le 11 mai 1696 Son mouvement: le classicisme = Le mot latin «classicus» désigne un individu "de la première classe des citoyens". L'adjectif «classique» apparaît au XVIème siècle avec le sens d'«écrivain de premier ordre», mais ce sont les Romantiques qui, en définissant leur esthétique, imposeront a posteriori le sens que nous donnons aujourd'hui au mot «classicisme» : nous englobons par cette notion l'ensemble de la production littéraire et artistique

lionne de la Fontaine et les caractères "de la cour" de la Bruyère : Sujet : quelle est la cible visée par la Fontaine et la Bruyère et quels sont les arguments utilisés dans ses deux textes ? Le corpus soumis à notre analyse contient une fable écrite par la fontaine intitulée "Les obsèques de la lionne", tirée du recueil Fables et un extrait des Caractères de la Bruyère portant le titre "De la Cour". Dans leur texte respectif

long du texte, La Bruyère compare les hommes à des animaux. Il commence tout d'abord par les comparer à deux chiens qui se battent : "chiens qui s'aboient, qui s'affrontent, qui se mordent et se déchirent" : gradation. Ensuite l'auteur les compare à des chats. De plus il utilise des hyperboles : "milliers", "à dix lieues", "neuf à dix mille chats" pour mettre en relief la cruauté et l'absurdité de la guerre. La comparaison est de plus en plus frappante. En effet, La Bruyère compare les hommes

persuasion, on le remarque dans Les Misérables de VH lorsqu’il prend la parole pour mettre en scène le personnage de Fantine. On ressent toute l’indignation de l’écrivain grâce aux indices de subjectivité ou par le pronom personnel « je ». Jean de la Bruyère procède de la même manière dans Les Caractères lorsqu’il critique la misère sociale du 17èmeS. L’argumentation directe à aussi un pouvoir de conviction important, on peut l’observer dans le Discours de l’Abbé Pierre du 1er février, ainsi que dans